Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le bougeoir en photo, qui comporte sept bougies exactement, pas une de plus, pas une de moins, pas à côté non plus, n’est pas une ménorah et la personne qui l’allume n’est pas une shabbat goy : nous assistons à une célébration du Kwanzaa…
La fête se déroule chaque année du 26 décembre au 1er janvier, sur sept jours donc, une bougie par jour, chaque bougie ayant une signification profonde Umoja (Unité), Kujichagulia (Auto-détermination), Ujima (Travail collectif et responsabilité), Ujamaa (Économie coopérative), Nia (But), Kuumba (Créativité) et Imani (Foi).
Ces sept principes de sagesse remontent à une tradition immémoriale, en gros : 1966 (c’était avant le Covid et avant le téléphone portable quand même, c’est dire).
Selon Wokemédia, Kwanzaa « est une fête afro-américaine, qui se tient pendant la semaine du 26 décembre au 1er janvier (…) venant d’une très ancienne tradition, datant du « Temple du Roi Salomon » où le Grand Prêtre allumait la Kinara (ou anciennement nommé en Araméen la Ménorah) » (tiens donc). Elle a été créé en 1966 par l’activiste afro-américain Maulana Karenga. « Son but originel était de promouvoir et d’affirmer les liens entre les Afro-Américains et l’Afrique, mais aussi de se démarquer des fêtes de Noël importées par les Américains d’origine européenne ».
Mais n’en déplaise à Wokemédia, peut-on avoir un doute critique sur l’origine de cette fête, qui leur en a donné l’idée, qui leur en a fourni le symbole et pourquoi ?
Le mouvement américain des droits civiques atteint son apogée entre les années 1954 et 1968, avec l’adoption de différentes lois fédérales comme le Civil Rights Act de 1964, le Voting Rights Act de 1965 et le Civil Rights Act de 1968 prohibant toutes les lois et réglementations ségrégatives sur l’ensemble des États-Unis.
Il s’agit incontestablement d’une lutte noire pour l’émancipation, mais des intellectuels juifs sont activement et intensément derrière. Voici un petit échéancier de leur influence sur un sujet légèrement différent, les quotas d’immigration, mais qui a fondamentalement le même objectif : Diversité – Égalité – Inclusion, c’est-à-dire, en clair, la destruction totale et complète de l’Amérique blanche.
- 1900 – Naissance de l’anthropologie antiraciste boasienne, auteur Franz Boas, un Juif ashkénaze né en Allemagne et parti aux USA : ses émules seront en majorité juifs.
- 1924 – Première loi restrictive sur l’immigration, elle repose sur un principe de quotas proportionnels au poids des ethnies déjà en place, le but de la loi est de maintenir le statu quo ethnique à prédominance blanche, des juifs sont contre ce système qui bloque à la fois le niveau de l’immigration et sa composition ethnique.
- 1952 – Instauration de la PCiN, commission présidentielle sur la naturalisation et l’immigration, instaurée par Truman, les juifs y prédominent, le but est clairement de faire sauter le système des quotas et donc le statu quo ethnique.
- 1952 – Deuxième loi, toujours d’inspiration restrictive : le système des quotas s’ouvre à d’autres pays, mais les quotas sont limités, et le système lui-même est préservé, victoire d’arrière-garde des restrictionnistes.
- 1958 – Kennedy publie son livre A Nation of Immigrants – le livre est en réalité écrit par un Myer Feldman, intellectuel juif.
- 1961 – Première grave entorse au système des quotas, le regroupement familial (family unification en américain), le regroupement familial marche même si le quota est déjà atteint, de plus, il est en cascade : un proche fait venir un proche qui fait venir un proche…
- 1965 – Le système des quotas tombe, il n’y a plus qu’un quota global, régi par le principe du premier arrivé, premier servi.
Le lecteur intéressé pourra se reporter à l’article complet de Kevin MacDonald [en français] : Le rôle des intellectuels juifs dans la réforme des lois de l’immigration aux États-Unis (The Occidental Observer).
Citons simplement les principaux intellectuels juifs derrière ce « mouvement d’émancipation » : Franz Boas – Ashley Montagu (né Israel Ehrenberg) – Jacob K. Javits – Horace Kallen – Philip Perlman – Oscar Handlin – Earl Raab – Emanuel Celler.
La thèse de Kevin MacDonald est simple et sans appel : l’influence de l’intelligentsia juive sur les sociétés blanches a été catastrophique, aux USA d’abord, dans toute l’Europe de l’Ouest ensuite. Par exemple, le « family unification » adopté aux USA en 1961 est devenu en France en 1976 le « regroupement familial », et, comme par hasard, sous l’égide d’une certaine Simone Veil (panthéonisée et qui a même une station de métro à son nom : Europe – Simone Veil).
Pourtant, certains persistent dans l’illusion qu’une certaine droite sionisée en France et ailleurs va nous protéger de l’immigration et de l’islam, nous leur opposons juste un contre-exemple flagrant : l’abattage rituel. En France, l’abattage halal n’a jamais pu être interdit, c’est curieux, car il y avait une majorité dans l’opinion en faveur d’une telle interdiction, d’autre part, il n’y a quasiment pas de député musulman à l’Assemblée Nationale. Non mais si on interdit le halal, on est aussi obligé d’interdire l’abattage casher, les rituels changent, mais matériellement, c’est rigoureusement la même chose : un égorgement large, sans étourdissement de la bête. Or, des députés et des ministres casher, il y en a.
Zemmour, pour sa part, préconisait hypocritement un simple « étiquetage de la viande, les Français choisiront ». Bien entendu, pas un journaliste pour lui faire remarquer que sa position « de Salomon » sur la question a peut-être quelque chose à voir avec son origine, Zemmour, n’est-ce pas, est Français en public et juif à la maison, les deux choses sont parfaitement étanches. Dans les récits de jeunesse qu’il écrit ou évoque publiquement, il aime rappeler qu’on lui a transmis un mode de vie juif adapté à la France. Il fallait être juif à la maison et français à l’extérieur : « Dans Le Destin français (2018), il avait expliqué que, tout en apprenant la Marseillaise, les Fables de La Fontaine et en étudiant les hauts faits des héros français, « la Torah nous était contée et commentée d’abondance. La lecture de Rachi, le grand rabbin de Troyes au XIIIe siècle, et sa langue si particulière, farcie d’innombrables mots français écrits en graphie hébraïque, n’avait guère de secrets pour moi ». » (Times of Israël)
Eh bien, pour illustrer ce travail de sape des sociétés occidentales par une certaine « élite », nous espérons que ce chandelier Kwanzaa viendra insinuer un certain doute.
Edifiant !
Exemple de relation Juifs – Noirs aux USA
Alfred Lion (né le 21 avril 1908 – mort le 2 février 1987) est un producteur musical américain, cofondateur en 1939 du label discographique jazz Blue Note Records.
Alfred Loew de son vrai nom, Alfred Lion naît en Allemagne en 19081 (Loew en allemand ou Lion on anglais, de toute façon, c’est le lion de Juda)
L’église n’a eu de cesse d’interdire les traditions antiques européennes comme le chandelier de Yul. La nature ayant horreur du vide, la place est maintenant prise par ces chandeliers venus d’ailleurs.