Hongrie : clôture barbelée et « détention » systématique pour maîtriser les flux d’envahisseurs
En août 2016 Viktor Orban avait annoncé la construction d’une deuxième clôture venant renforcer celle déjà existante face à la Serbie (achevée en 2015) afin de surveiller d’éventuelles tentatives d’envahisseurs, hypocritement appelé « migrants », d’entrer dans le pays. Les médias locaux avaient qualifié cette deuxième clôture « d’intelligente » en raison de la technologie de pointe utilisée, telle que des capteurs de chaleur et de mouvements, ou encore de caméras nocturnes. Elle fait trois mètres de hauteur et s’étend sur 10,3 kilomètres.
Pour faire face encore plus efficacement au flux d’envahisseurs et protéger la population hongroise, une nouvelle loi a été adoptée le 7 mars par une large majorité des partis présents au Parlement, par 138 voix contre 6 et 22 abstentions. Elle prévoit que tout clandestin entré dans le pays sera placé dans des « zones de transit » aux frontières serbe et croate, où il devra résider dans l’attente d’une décision définitive concernant sa demande d’asile. La mesure doit s’appliquer aussi bien aux nouveaux venus qu’aux demandeurs d’asile déjà hébergés dans le pays, au nombre de 586 en février.
La Hongrie avait renoncé en 2013 à la « détention systématique des migrants » sous les pressions provenant de diverses origines comme l’Union européenne, le Haut-Commissariat aux réfugiés des Nations-Unies ou la Cour européenne des droits de l’Homme. En réalité des organisations pro-invasion camouflées en prétendus défenseurs des « droits de l’homme » agissant pour la perte des nations et des identités des peuples européens conformément au projet du judaïsme politique.
Les médiats de la grosse presse vendue aux officines mondialistes et antinationales parlent déjà de réintroduction de cette « détention systématique ». Mais en fait de « détention », il s’agit pour le gouvernement hongrois de loger les envahisseurs non pas dans des prisons mais dans des préfabriqués à l’écart de la population autochtone, en attendant les décisions administratives les concernant.
Lors de la construction de la première clôture en septembre 2015 face à la Serbie, puis d’une autre face à la frontière croate, le nombre d’envahisseurs s’était largement réduit alors que la Hongrie avait été traversée par plus de 400 000 illégaux cette année-là. Des mesures dissuasives et efficaces, donc, dans un pays qui a encore vu en 2016 plus de 30 000 clandestins extra-européens déposer une demande d’asile…
Comme les autres pays du groupe de Visegrad (Tchéquie, Slovaquie, Pologne) et quelques pays balkaniques (Bulgarie), la Hongrie affirme sa souveraineté et protège sa population par sa volonté de relever ses frontières et contrôler les flux de population.