Le ministre israélien du Patrimoine, Amichai Eliyahu, et la député du Likud, Tali Gotliv, ont publiquement suggéré l’utilisation d’armes nucléaires dans la bande de Gaza après l’assaut du Hamas le 7 octobre de l’an dernier. Et ce n’était pas la première fois qu’un appel de ce type était lancé par des responsables israéliens en faveur du recours à l’arme nucléaire : le ministre israélien de la Défense, Moshe Dayan, avait suggéré d’utiliser des armes nucléaires contre les Arabes le deuxième jour de la guerre d’octobre 1973, selon des révélations d médiats israéliens en 2013. Alors que l’Etat juif s’apprête à « riposter » au représailles iraniennes, peut-être même sur ses installations nucléaires, c’est l’occasion de s’intéresser à la force de frappe nucléaire israélienne.
Israël pourrait bombarder les installations nucléaires iraniennes après les frappes de missile de représailles de Téhéran du 1er octobre sur des installations militaires israéliennes. La raison en est que l’État juif, qui possède officieusement des armes nucléaires, ne veut pas permettre à son plus grand ennemi, l’Iran, d’en développer également. Si les deux pays en possédaient, cela signifierait soit la dissuasion et une non-agression réciproque, soit la destruction mutuelle d’Israël et de l’Iran.
Selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI), en janvier 2024, Israël disposait d’environ 90 ogives nucléaires. Il s’agit notamment de 30 bombes gravitationnelles à larguer depuis des avions de combat F-16 ou F-15, de 50 ogives pour les missiles balistiques terrestres Jericho III, et de 10 missiles de croisière nucléaires pour les sous-marins israéliens de classe Dolphin.
Mais, Israël pourrait disposer aussi de 750 à 1 110 kilos de plutonium, soit suffisamment pour construire jusqu’à 277 ogives nucléaires supplémentaires, selon le rapport du SIPRI.
Le gouvernement américain a découvert pour la première fois le programme nucléaire secret d’Israël au Centre de recherche nucléaire situé dans le désert du Néguev, près de Dimona, en 1960, révèlent des documents du gouvernement américain déclassifiés en 2015. Selon les estimations de la CIA de l’époque, Israël disposait déjà d’un arsenal nucléaire construit en 1974. Le Centre Dimona a été construit à la fin des années 1950 avec l’aide de la France.
L’État juif n’a jamais officiellement confirmé ou nié qu’il possédait des armes nucléaires et n’est pas non plus partie au Traité de non-prolifération nucléaire (TNP). Du reste, étant donné que les États-Unis interdisent officiellement le financement des pays qui possèdent des armes de destruction massive, cela signifierait pour Israël la perte des milliards de dollars par an d’aide de l’oncle Sam…
Soulignons également la morgue affichée de cette entité qui se vante publiquement d’empêcher des États de se doter de cette arme (et même de la technologie du nucléaire civil) tout en nourrissant en son sein un arsenal considérable libre de tout contrôle international ! Y compris par des actes de guerre qu’aucun autre pays de la planète ne s’est permis :
- opération « Opera » du 7 juin 1981 contre le réacteur nucléaire de classe Osiris (après le dynamitage « inexpliqué » de deux cuves liées dans le port de La Seyne-sur-Mer…) acheté par l’Irak à la France qui ne pouvait servir qu’à des fins de recherches scientifiques et non militaires…
- opération « Hors de la boite » du 5 septembre 2007 contre le réacteur nucléaire syrien d’Al-Kibar situé dans la région de Deir ez-Zor,
Une morgue qui ne durera que le temps que les valets occidentaux de l’État juif pourront continuer à pratiquer le deux poids – deux mesures…
Ben voilà pourquoi la France a quelques milliards de dette Ce n’est pas ce mini -état (Hébreux depuis qq temps !) exportateur d’olives et d’oranges qui pourrait avoir eu, à lui seul ,les moyens financiers de ses ambitions militaires .Voilà pourquoi les Appalachiens attendent des secours sans succès , s’ils sont encore en vie .Voilà pourquoi les Français et les Américains s’appauvrissent irrémédiablement ,diablement surtout .Il n’ya plus un koppek dans les caisses de France pour les hopitaux et les SDF ni AUX USA pour les logés sous tente ,mais à chaque boite de haricots que les 10 millions d’Américains pauvres achètent ,qq dollars/Shekels filent au pays des élus de Dieu ,avec l’approbation des Judéos Chétiens et toute leur compassion larmoyante . Mangez des Haricots et bonne nuit en camping .
A la première occasion – il ne manque plus que le prétexte mais le boucher Netanyahou a beaucoup d’imagination pour ça – l’Iran sera donc, après le Japon, le deuxième pays à faire l’expérience de bombardements nucléaires.
Les cibles seront peut-être les installations nucléaires iraniennes, mais je gage que les dégâts « co-latéraux » seront cette fois beaucoup plus importants qu’à Gaza ou qu’au Liban…
Franchement, ce sont les spécialistes de ce genre de choses :
inventeur de la bombe A : Robert OPPENHEIMER
inventeur de la bombe H : Edward TELLER
inventeur de la bombe N : COHEN (je n’ai pas retenu son prénom)