Plutôt que de subir la propagande, le mieux est de revenir aux fondamentaux : que disent les chiffres ?
La première chose à savoir pour sortir du brouillard c’est que le GIEC n’est pas un comité de scientifiques mais un groupement intergouvernemental de représentants d’Etats. Ils présentent un point de vue politique.
Christian GERONDEAU passe en revue la température, le CO2 ou les catastrophes naturelles pour montrer que l’alarmisme est construit à partir de rien pour imposer une politique. On retrouve les même ficelles que pour l’escroquerie Covid.
Christian GERONDEAU présente son livre : Le climat par les chiffres, sortir de la science-fiction du GIEC.
Certains d’entre-vous se souviennent sans doute, en se rapportant aux années 80, de la « crise » des « pluies acides »… avec, en prime, la « promesse » apocalyptique de la disparition des forêts ! —Or, il semble qu’elles ne sont jamais aussi bien portées, hormis le fait que, dans les pays riches, nous ne les nettoyons plus et que, dans les pays pauvres, on aurait tendance à les surexploiter. Dans ce contexte, c’est la perte de diversité des essences arboricoles qu’on pourrait craindre, due ni à leur exploitation, ni à quelque cause « métaphysique », mais à la négligence !— Et c’est exactement ce qui se rejoue aujourd’hui, avec le « réchauffement climatique » ou le « dérèglement » de macrophénomènes qui, par nature, n’ont jamais été réglés… toujours assez enracinés dans le temps long, et souple (à l’instar du jonc chez Jean de La Fontaine) pour régler tout ce qui en découle !
Mais mon propos s’articulera principalement autour de la notion de « promesse apocalyptique » car, en effet, dans ces années, si jeune crétin encore, je donnais en plein dans le panneau… Or, je m’interroge, aujourd’hui, sur la prégnance de la jeunesse actuelle à l’égard des plus funestes effets d’annonce… allant se multipliant et parvenant de tous les horizons… et toujours plus pressants et catastrophiques. Phénomène tout aussi troublant : le fait que c’est la jeunesse dite « instruite », celle qui fréquente les lycées qui forme des rangs toujours plus serrés plus serrés pour l’abattage… non pas des arbres, mais du sens critique !
Je fis partie d’une jeunesse fort gâtée, bien qu’issu d’un milieu modeste… et force est de constater que cela induit du gâtisme… On cracherait volontiers dans la soupe, quand on nous la sert plusieurs fois par jour et avec force morceaux de lard… C’est l’adolescence, enfin !… mais cela semble passer de moins en moins vite, jusqu’à éblouir son bonhomme jusqu’au terme de son existence… ce qui, en général, touche de trop près notre génération, laquelle encouragea et abandonna —à de soit-disant, plus compétents— sa rare progéniture.
Le paradoxe, ici, est que la jeunesse actuelle est bien moins gâtée que nous ne le fûmes ; nous nous attendrions, donc, à ce qu’elle mette quelque peu le pied dans la porte ! « Ô là, assez de ce brouet insipide (i.e., sans recul critique) et empoisonnant (i.e., catastrophe !… catastrophe !), que vous nous faites avaler, matin, midi et soir ! » Seulement voilà, il n’est point exagéré d’affirmer que le système les livre à d’éternels adolescents ! Au programme : haine du passé, primauté à quelque Autre, aussi défavorisé que subliminal, imbécillité scientifique, anémie adipeuse (i.e., études à la carte & enflures idéologiques), etc. Autrement dit, toute une contradiction contraignante et militante — bénéficiant d’innombrables relais et d’énormes moyens,— opposée à l’Archè & au Futurisme du regretté Guillaume Faye : La seule issue moyenne (i.e., susceptible de capter l’attention et les énergies du plus grand nombre) à la crise actuelle.
À partir de la vingt-troisième minute de l’exposé de Christian Gerondeau, belle volée de bois vert à propos de «perceptions»… —ou du «vécu», dans ce premiers quart du vingt-et-unième siècle;— encore une resucée ! Ah, la primauté du vécu ou des perceptions, donc de tout ce qui dépend beaucoup de la suggestibilité, de faux-souvenirs, de simples créances, sur la raison ! Ici le système joue sur du velours. La «raison», la société contemporaine la réduit à la « raison calculante », au nom de l’égalitarisme; toute politique évacuée au nom du tout-économique… « Panem et circenses », etc. Dans ce contexte, l’attrait pour des concepts fluides, des principes à géométrie variable, le mépris des formes, des inductions de «perception» est devenu malheureusement par trop séduisant comme évident, à toutes les strates de la Société. Cet attrait, dans un quotidien asséché ou quasiment putride, sous les chromes et le strass qui le recouvre, s’éprouve comme un ultime recours. Et la confusion est telle qu’on croirait alors baigner dans une eau de source, alors qu’on se vautre dans un marais !
Le catastrophisme ambiant et récurrent devrait plutôt résonner à nos esprits (communautairement parlant), comme l’ultime politique de la canonnière d’un système en voie de décomposition avancée; comme l’envers ou la contradictoire de la catastrophe qui, elle normalement, devrait atteindre et abolir les maîtres et autres directeurs de conscience de ce même système. Et non entraîner les peuples et leur avenir dans leur perdition !
Ce même Gérondeau en 1973, alors haut fonctionnaire à la sécurité routière et lors du premier « choc pétrolier », avait interdit toutes les compétitions automobiles en France et fait arrêter les illuminations des magasins dès 21 heures sous prétexte que dans 10 ans (1983 !), il n’y aurait plus de pétrole…Ce bonhomme a été le premier emmerd…. officiel des automobilistes en limitant leur liberté (vitesse, ceinture, casque pour les deux roues, etc.) Et le comble c’est qu’il a été élu par la suite président des automobiles-clubs…
Selon un député allemand, fin des maisons et véhicules privés en vue, sauf pour les élites
Volti samedi 4 mai 2024Actualité générale
Source Nouveau-Monde
Incroyable discours de Thomas Ehrhorn député AfD au parlement allemand.
Extrait :
… Cela signifie concrètement que si l’on s’en tient à l’exigence maximale de la norme Euro 7, c’est-à-dire que chaque véhicule devant être immatriculé à partir du milieu de l’année 2025 devra être conforme à la norme Euro 7 et non uniquement les nouvelles séries produites. Cela conduira inévitablement à l’effondrement d’une grande partie de la production automobile en 2025.
Il me vient à l’esprit qu’en 2025 nous avons des élections et je suppose que beaucoup d’entre vous ne seront plus ici après cette échéance. De ce fait, cette situation est plutôt positive. Il faut en particulier bien comprendre une chose, à savoir que les durcissements de plus en plus absurdes des valeurs limites ne concernent ni le climat ni la protection de la santé (mort due soi-disant aux particules fines).
Il ne s’agit pas non plus de remplacer 50 millions de voitures à moteur à combustion par 50 millions de véhicules électriques. Non, il s’agit de rendre, à moyen terme, la mobilité privée si chère qu’elle ne sera plus disponible que pour une élite triée sur le volet. Cela signifie donc que la plupart des citoyens devant leur écran d’ordinateur n’en feront malheureusement plus partie.
Il est important de le comprendre. Car dans les plans d’avenir des Verts, socialistes et communistes, qui donnent actuellement le ton ici, il n’est prévu ni de maison privée ni de voiture privée. Le vieil homme blanc, qui crée de la richesse par son travail et son éducation, qui accumule de la propriété privée et qui, peut-être, roule à 180 km/h dans un SUV, c’est un véritable cauchemar et il est détesté.
C’est le portrait de l’ennemi de l’idéologie de gauche. Nationaliser, exproprier, redistribuer, ce sont les objectifs de tous ceux qui gouvernent ce pays en le détruisant sous nos yeux. Et quand les citoyens l’auront compris, mesdames et messieurs du gouvernement, vous aurez un sérieux problème.
Merci beaucoup.
Traduction : Christine.
https://twitter.com/silvano_trotta/status/1783206340619379095
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