Le 19 février à Zagreb, on annonçait le retrait du Journal d’Anne Frank de la liste des lectures obligatoires des collégiens croates. Cette décision suscite un certain émoi dans le pays, et le ministère de l’Education a précisé qu’il allait sonder les professeurs pour établir les nouveaux programmes.
Depuis 2006, Le Journal d’Anne Frank n’était plus obligatoire en classe de quatrième. L’œuvre fait encore théoriquement partie d’une liste de 33 livres au sein de laquelle les professeurs choisissent six ouvrages qui doivent être étudiées intégralement.
Plusieurs personnalités ont déjà exprimé leur indignation de cet éventuel retrait. Une pétition a été lancée pour réinscrire Anne Frank au programme et la ministre de l’Education, Blaženka Divljak, a annoncé qu’elle allait mener un sondage auprès des enseignants pour que les ouvrages qu’ils proposent soient inscrits au programme. Pour le Forum pour la liberté de l’enseignement, il est essentiel que l’œuvre d’Anne Frank soit étudiée par les collégiens.
« Le ministère a simplement décidé de ne pas se casser la tète. Ses responsables n’ont pas réfléchi, ils n’accordent aucune importance au Journal d’Anne Frank », explique de son côté Miljenko Hajdarovi, professeur d’histoire et rédacteur en chef du Portail historique croate. « Ils délèguent la responsabilité des programmes aux enseignants et les professeurs doivent se débrouiller avec cela. Avec cette méthode, tôt ou tard, les parents iront se plaindre dans les journaux de ces choix. » Nul doute que la liste définitive des lectures obligatoires sera attentivement étudiée.
Rappelons qu’il est aujourd’hui admis par le Fond Anne Frank (par la force de la nécessité de prolonger les droits d’auteur de l’ouvrage qui allait tomber dans le domaine public en 2015/2016) que le père d’Anne Frank est le « co-auteur » du Journal d’Anne Frank comme l’avait indiqué le professeur Faurisson dès les années 70. Pas si authentique, le Journal d’Anne Frank…
Source : « Présent » du mercredi 27 février 2019 via Bocage
C’est une merveilleuse nouvelle de voir que peu à peu, l’Europe se libère de l’oppression et de l’esclavage, en cessant de se recroqueviller autour du juivouillardisme obligatoire international, pour retrouver de belles aspirations nationales, protégées, saines. C’est très important de rappeler la liberté de chaque peuple à disposer de lui-même, notamment hors du contrôle des Troupes d’Occupation sionistes.