Le journaliste juif Sefton Delmer, qui dirigeait le Political Warfare Executive durant la Seconde Guerre Mondiale, en est un parfait exemple. On lui doit aux côtés de ses congénères, entre autres choses, le mythe de l’holocauste.
« C’est par la propagande d’atrocité que nous avons gagné la guerre. Et nous venons seulement de commencer. Nous allons poursuivre cette propagande d’atrocité, l’intensifier jusqu’à ce que plus personne n’accepte un seul mot des Allemands, que la sympathie qu’ils peuvent encore avoir à l’étranger soit détruite et qu’eux-mêmes deviennent si confus qu’ils ne sauront plus ce qu’ils font. Une fois que ce sera fait, une fois qu’ils dénigreront leur propre pays et leur propre peuple, non pas avec réticence mais avec zèle pour plaire aux vainqueurs, alors la victoire sera complète. Mais elle ne sera jamais définitive. La rééducation nécessite un entretien attentif, comme un jardin anglais. Un seul moment de négligence et l’herbe repousse, l’herbe indestructible de la vérité historique. »
Les médias qui sont actuellement saturés de « fact-checkers », d’articles contre les « fake news » et d’organisations de lutte contre le « conspirationnisme » ne sont que des structures financées et commandées par les services de renseignement occidentaux pour délégitimer l’opposition au Great Reset.
Aujourd’hui, la remise en question du discours officiel est devenue la menace numéro 1. Les juifs sont au cœur de cet effort d’embrigadement des masses. Le gouvernement britannique innove en mobilisant pour la première fois des moyens durs contre sa population pour écraser la révolution qui menace.
La « cyber guerre » récemment annoncée par le GCHQ ne se contentera pas de faire tomber la « propagande anti-vaccins », mais cherchera également à
« perturber les opérations des cybermenaces qui en sont responsables, notamment en cryptant leurs données afin qu’elles ne puissent pas y accéder et en bloquant leurs communications mutuelles ».
L’effort consistera également pour le GCHQ à contacter d’autres pays de l’alliance « Five Eyes » (États-Unis, Australie, Nouvelle-Zélande et Canada) pour alerter leurs agences partenaires dans ces pays afin qu’elles ciblent ces sites de « propagande » hébergés à l’intérieur de leurs frontières.
Cela signifie que les médias alternatifs seront ciblés par des opérations militaires afin de s’assurer de leur censure effective.
Le « Times » a déclaré que
« le gouvernement considère la lutte contre les fausses informations sur la vaccination comme une priorité croissante à mesure que la perspective d’un vaccin fiable contre le coronavirus se rapproche »,
ce qui laisse entendre que les efforts continueront à s’intensifier à mesure qu’un candidat vaccin se rapproche de l’approbation.
Il semble que, du point de vue de l’État britannique chargé de la sécurité nationale, ceux qui remettent en question la corruption dans l’industrie pharmaceutique et son impact possible sur les principaux candidats vaccins expérimentaux Covid-19 (qui utilisent tous des technologies de vaccins expérimentaux qui n’ont jamais été approuvés auparavant pour un usage humain) devraient être ciblés avec des outils conçus à l’origine pour lutter contre la propagande terroriste.
Ce mouvement plus large visant à traiter les prétendus « anti-vaccins » comme des « menaces pour la sécurité nationale » s’est poursuivi pendant une grande partie de cette année, sous l’impulsion notamment d’Imran Ahmed, le PDG du Centre pour la Lutte contre la Haine Numérique basé au Royaume-Uni, membre du Comité directeur du gouvernement britannique pour la lutte contre l’extrémisme (Steering Committee on Countering Extremism Pilot Task Force).
Ahmed a déclaré au journal britannique « The Independent » en juillet que
« je n’appellerais pas seulement les théoriciens de la conspiration anti-vaccination, je dirai qu’ils sont un groupe extrémiste qui pose un risque pour la sécurité nationale ». Il a ensuite déclaré que « une fois que quelqu’un a été exposé à un type de théorie conspirationniste, il est facile de le conduire sur une voie où il adopte des visions du monde plus radicales qui peuvent conduire à un extrémisme violent »,
ce qui implique que les « anti-vaccins » pourraient se livrer à des actes d’extrémisme violent. Parmi les sites web cités par l’organisation d’Ahmed comme promouvant un tel « extrémisme » qui pose un « risque pour la sécurité nationale » figurent Children’s Health Defense [Défense de la Santé des Enfants], le National Vaccine Information Center [Le Centre National d’Information sur les Vaccins], Informed Consent Action Network [Réseau d’Action Consentie et Informée] et Mercola.com, entre autres.
Ne pas croire au Rhume19 est désormais considéré par le gouvernement britannique comme une menace du niveau d’Al Qaeda ou de l’Etat Islamique. Le gouvernement français agit évidemment de la même façon mais contrairement au Royaume-Uni, la presse n’en parlera jamais.
Quand un gouvernement en est réduit à déployer l’armée pour « lutter contre le conspirationnisme », vous savez que c’est lui qui conspire contre son peuple.
Jacques Vecker
C’est bien ce que je pensais !
Quand je vois ce que je vois et que j’entends ce que j’entends je suis content de penser ce que je pense ».