Alors que le débat fait rage aux États-Unis sur la notification et l’autorité parentale dans les cas impliquant des enfants transgenres, le Royaume-Uni est plongé dans une controverse au sujet d’une loi qui non seulement limiterait l’autorité parentale dans de tels cas, mais exigerait également des parents qu’ils paient pour cette transition.
Selon l’interprétation proposée par la police, les parents qui refusent d’utiliser les pronoms alternatifs pour leurs enfants ou qui refusent de payer pour leur transition pourraient faire l’objet de poursuites pénales.
Selon le code britannique du Crown Prosecution Service (CPS), la conduite abusive inclut désormais « le fait de retenir de l’argent pour la transition [et] de refuser d’utiliser le nom ou le pronom de son choix ».
Ainsi, un parent ayant des objections familiales ou religieuses à la transition d’un enfant serait tenu, en vertu de la loi, de financer les opérations ou les traitements.
Selon le document d’orientation, il ne s’agit même pas d’une « liste exhaustive », mais de certains des premiers « exemples » de comportement potentiellement criminel qui viennent à l’esprit.
Les lignes directrices suggèrent que les parents ayant des convictions religieuses profondes contre le statut de transsexuel devraient soit financer une opération qu’ils considèrent comme immorale, soit être arrêtés s’ils ne le font pas.
Poursuivre potentiellement un parent pour avoir refusé d’utiliser le pronom adopté pour son enfant fait froid dans le dos et est répréhensible. Néanmoins, un porte-parole du CPS a doublé la mise en déclarant à Fox News que « la violence domestique est un crime grave qui laisse aux victimes un impact durable (…). Cela aide les procureurs à s’assurer que toute victime, quelle qu’elle soit, puisse obtenir justice pour les abus qu’elle a subis ».
Cette décision fait suite à l’érosion de la liberté d’expression et des droits religieux en Grande-Bretagne, les tribunaux anglais ayant notamment confirmé la criminalisation des « idéologies toxiques ».
C’est Sir Edward Coke, dans The Institutes of the Laws of England, 1628, qui a déclaré : « La maison d’un homme est son château, et domus sua cuique est tutissimum refugium [et la maison de chaque homme est son refuge le plus sûr] ». William Pitt, premier comte de Chatham, a ajouté plus tard :
« L’homme le plus pauvre peut, dans sa chaumière, défier toutes les forces de la couronne. Elle peut être fragile, son toit peut trembler, le vent peut la traverser, la tempête peut entrer, la pluie peut entrer, mais le roi d’Angleterre ne peut pas entrer ».
Cela ne semble plus être le cas lorsqu’il s’agit d’utiliser des pronoms erronés ou de ne pas faire de chèque pour la transition d’un enfant, ce qui sera désormais traité de la même manière que la violence physique à l’égard des enfants.
L’élargissement de la définition de l’abus permet à l’État d’exercer un contrôle et une direction plus importants sur les affaires et les relations familiales. En outre, le fait de laisser l’application de cette liste « non exhaustive » à la discrétion de la police ne fait que miner davantage cette protection de longue date sur les questions familiales internes. La question est de savoir quel sera le principe limitatif lorsque l’État définira un éventail plus large de comportements comme étant de la maltraitance d’enfants. L’hypothèse par défaut de Pitt semble s’être inversée au Royaume-Uni.
Si leurs enfants se font violer par des envahisseurs du Moyen-Orient, c’est le devoir des parents britanniques de s’assurer que cela se passe suivant le sexe choisi par les victimes.
C’est la morale arc-en-ciel.
Source : jonathanturley.org
Quel homme de bon sens, dans les années 1950, eut jamais supposé, même dans ses pires délires, que l’Angleterre, qui avait régné sur tous les continents et fut, au temps de la Reine Victoria, la première puissance au monde, ait pu descendre aussi bas en quelques décennies à peine ?
Evidemment, comme à chaque fois qu’on s’efforce d’expliquer qu’en politique, rien n’arrive par hasard et est toujours le fruit d’une volonté plus ou moins avouée, les mêmes crétins péremptoires nous taxeront de « complotisme »…
Ils nous diront que les Francs-Maçons, le Bilderberg, le Forum de Davos et autres sociétés d’influence ne pèsent en rien sur les orientations sociétales… Que ce ne sont que de joyeux drilles se réunissant pour faire la fête…
Que c’est tout à fait par hasard que la domination à la fois militaire, industrielle, scientifique, et culturelle des Européens sur le monde a reculé, jusqu’à s’inverser…
Au point que nous finissons par avoir honte du degré d’ignominie imposé à notre peuple génération après génération, en particulier depuis 1945…
Pourtant, la question se pose pour les plus lucides : « QUI » ?
« QUI » est animé d’une haine obsessionnelle, pathologiquement fanatique, des Européens Caucasiens ou Nordiques, au point de s’acharner à les pervertir dès leur plus jeune âge et à les rouler dans la fange ?
« QUI » est celui que nous n’avons même pas le droit de nommer ?