À peine l’encre était-elle sèche de notre sujet sur la flambée de pédomanie à Hollywood qui a éclaté avec la dénonciation de toutes les turpitudes du producteur juif Harvey Weinstein, dans lequel nous rappelions toutes les accusations contre son coreligionnaire Polanski, qu’une nouvelle victime de ce dernier vient de se manifester.
Une cinquième femme accuse de viol le réalisateur juif détenant des papiers français et polonais. Dans les colonnes de « The Sun », Marianne Barnard, une artiste californienne, affirme qu’à l’époque elle n’avait que 10 ans…
« Il m’a dit d’enlever la culotte de mon bikini »
Les faits se seraient déroulés en 1975. Sa mère avait pris rendez-vous avec Rajmund Polanski, dit « Roman Polanski », pour une séance photo. « Je pensais aller à la plage à Malibu juste avec ma mère. Après un petit moment à deux, soudain, il était là », se souvient la quinquagénaire originaire de Santa Barbara. Même si elle n’était pas au courant, elle s’est prêtée au jeu. « Il y avait des rochers sur lesquels il a pris des photos de moi. Je pensais que c’était pour un magazine », raconte-t-elle, affirmant toutefois qu’elle était « intimidée ».
« D’abord, il a pris des photos de moi en bikini, puis j’ai dû remplacer le haut par une petite couverture en fourrure puis il m’a dit d’enlever le haut de mon maillot de bain. Cela ne me dérangeait pas vraiment vu que je n’avais que dix ans et que je me baladais souvent sur la plage sans haut. Mais ensuite, il m’a dit d’enlever la culotte de mon bikini, et là j’ai commencé à me sentir très mal à l’aise. Puis, à un moment donné, j’ai réalisé que ma mère était partie. Je ne sais toujours pas où elle était partie et je n’avais d’ailleurs pas réalisé jusque-là qu’elle avait quitté les lieux mais elle n’était juste plus là… Et c’est là qu’il m’a violée. »
Rayer Rajmund Polanski de l’Académie des Oscars
Elle n’a pas osé à en parler à qui que ce soit. Un regret qu’elle porte en elle depuis de longues années : « Je regrette de n’avoir eu le courage de parler à une amie, un parent, un professeur à l’époque des faits. Si je l’avais eu, il n’aurait peut-être pas pu abuser de ces autres filles après moi. Ce poids est lourd à porter pour moi. »
Aujourd’hui, à cause de Roman Polanski Marianne Barnard affirme souffrir « de stress post-traumatique et de claustrophobie ». Elle n’a pas seulement brisé son silence, elle a également décidé d’agir. Son objectif : rayer Roman Polanski de l’Académie des Oscars, à l’instar d’Hervey Weinstein. Pour ce faire, elle a lancé une pétition qui avait déjà récolté le 21 octobre près de 14 000 signatures.
Par l’intermédiaire de son avocat, Rajmund Polanski nie les accusations de Marianne Barnard.
Il s’agit pourtant de la cinquième victime qui se manifeste et rapporte l’agression qu’elle a subi et qui témoigne de la perversité du pédomane juif Polanski qui est, rappelons encore, toujours libre à ce jour. Rétrospectives de ses victimes :
L’affaire Geimer
Rajmund Polanski est actuellement toujours recherché par les États-Unis où, en 1977, il a drogué et violé une jeune fille de 13 ans – alors qu’il en avait déjà 43 – Samantha Geimer. Arrêté, après avoir plaidé coupable il avait été incarcéré. Mais au bout de 42 jours d’incarcération, il avait payé sa caution et profité de sa libération pour fuir les États-Unis craignant de devoir purger une lourde peine. Et aujourd’hui encore les médiats, intellectuels et politiciens complices, taisent volontairement les détails horribles de ce viol pour protéger le pédomane :
« J’ai rencontré Roman Polanski en 1977, quand j’avais 13 ans. J’étais en quatrième cette année-là, quand il a dit à ma mère qu’il voulait prendre des photos de moi pour une revue française. C’est ce qu’il a dit, mais en fait, après avoir pris des photos de moi dans la maison de Jack Nicholson à Mulholland Drive (Los Angeles, Californie), il a fait quelque chose d’un peu différent. Il m’a donné du champagne et du Quaalude (un puissant sédatif). Et il a abusé de moi. Ce n’était pas du sexe consenti, en aucune façon. J’ai dit non, de manière répétée, mais il ne voulait rien entendre… J’étais seule, et je ne savais pas quoi faire. J’avais peur et, avec le recul, j’avais la chair de poule (…) C’est dur de se souvenir exactement de tout ce qui s’est passé (…). Quand je repense à tout ça, il ne fait aucun doute que ce qu’il a fait était horrible.... » (Los Angeles Times, 23 février 2003).
L’affaire Renate Langer
Le 3 octobre dernier la police suisse a annoncé enquêter sur des accusations d’agression sexuelle lancées contre Rajmund Polanski par une femme qui affirme que le réalisateur juif l’a agressée à Gstaad en 1972. Le chef de la communication de la police du canton de St. Gallen, Krusni Hanspeter, confirme ainsi l’existence d’une enquête au cours de laquelle Renate Langer, interrogée le 26 septembre par la police suisse, dit avoir été violée à Gstaad par le pervers pédomane quand elle avait 15 ans.
Aujourd’hui âgée de 61 ans, Renate Langer est une ancienne actrice née à Munich. Elle aurait rencontré Rajmund Polanski quand elle était mannequin à Munich. Attirée par la possibilité d’un casting, elle aurait rendu visite au metteur en scène dans sa maison de Gstaad, où il l’aurait violée. Elle a affirmé être sortie de son silence à la suite des déclarations de « Robin » en août dernier, et parce que ses parents n’étaient plus en vie.
L’affaire « Robin »
En effet, le 15 août dernier une femme, identifiée seulement par le prénom « Robin », a déclaré lors d’une conférence de presse à Los Angeles qu’elle avait été « abusée sexuellement » par le célèbre cinéaste juif détenant des papiers français et polonais. Le viol se serait produit alors qu’elle avait tout juste 16 ans, en 1973. « Le lendemain, j’ai dit à une amie ce que Roman Polanski m’avait fait », a-t-elle expliqué en lisant une déclaration. « Mais, à cette seule exception près, la raison pour laquelle j’ai gardé cela pour moi, c’est que je ne voulais pas que mon père fasse quelque chose qui aurait pu l’envoyer en prison pour le reste de sa vie », a-t-elle ajouté.
Cette troisième victime du pervers pédomane Rajmund Polanski a affirmé qu’elle avait décidé de sortir de son silence après que Samantha Geimer, la première victime au centre des affaires de viol sur mineure qui hantent Polanski, eut enjoint les autorités de clore le dossier…
L’affaire Lewis
En 2010, l’actrice britannique Charlotte Lewis avait déclaré que le réalisateur l’avait forcée à avoir une relation sexuelle lorsqu’elle avait 16 ans… L’actrice avait affirmé, pour la première fois, avoir été « abusée sexuellement » par le cinéaste, dans son appartement parisien au début des années 80, alors qu’elle avait 16 ans.
« M. Polanski savait que je ne n’avais que 16 ans quand nous nous sommes rencontrés, et il m’a forcée (à avoir des relations sexuelles avec lui) dans son appartement à Paris. J’en reste aux déclarations que j’ai faites à la police de Los Angeles et au procureur du comté de Los Angeles, et je serais heureuse d’être confrontée à Roman Polanski, en face à face, n’importe quand, n’importe où dans le monde car je dis la vérité et il le sait. »
Jusqu’à aujourd’hui, Rajmund Polanski n’aura donc finalement purgé que 42 jours de prison pour avoir drogué et violé Samantha Geimer, sa première victime. Aucune procédure n’a pu être menée à son terme non sans doute sans le soutien de tous ceux de sa caste.
Bonjour,
pourquoi précisez-vous juif à chaque fois que vous parlez de cet homme ?
je ne vois nulle mention de la religion des autres personnes que vous mentionnez dans cet article.
Agathe PINELLI