Cette Journée internationale des droits des femmes est une absurdité. Plus que cela, c’est une arme de la subversion pour détruire ce qu’il reste de cadre naturel dans notre société. Elle découle directement de la Philosophie et de la Déclaration des Droits de l’Homme issues de la Révolution bourgeoise de 1789. Comme pour les enfants, les femmes ne sont pas protégées par une Déclaration solennelle et un contrat social.
Avec le féminisme, la Femme a perdu son royaume, la Famille où elle régnait souveraine et faisait fructifier ce don de Dieu que constitue la maternité. Elle a abdiqué son statut de pilier civilisationnel en tant que symbole et incarnation de la vie pour ne devenir qu’un individu comme un autre, interchangeable et livré à toutes les convoitises charnelles ou mercantiles.
C’est donc la Famille qui défend le mieux la femme en tant que mère, sœur ou fille. Et la déchristianisation de nos sociétés a accéléré ce mouvement général qui la livre sans défense à la barbarie d’une société sans repère ni morale. Quel plus beau et plus pur modèle de Femme peut-il exister que celui de la Vierge Marie qui constitue le centre de gravité de la Chrétienté.
Le féminisme est à combattre, d’autant plus qu’il s’inscrit dans une culture morbide, malsaine de la culpabilisation. Il faudrait que l’Homme se sente responsable de siècles de domination desquels la Femme devrait se venger. Cela n’a pas de sens. La société patriarcale est le résultat naturel de l’Histoire et de la complémentarité de l’homme et de la femme. Je ne vois pas par exemple de noms féminins sur les monuments aux morts. C’était un privilège exclusivement masculin à quelques exceptions.
Halte donc, à ces amazones hystériques et à cette mode post soixante-huitarde de la féminisation de tout, institutions, vocabulaire et même des hommes.
Je ne suis pas de ceux qui célèbrent cette journée, qui plus est qui n’est pas nationale bien évidemment, mais internationale, preuve s’il en est du caractère nocif de cette célébration.
#FéminismePiègeAConnes
Yvan Benedetti
Bravo!
Nous savons, vous comme moi (comme du reste, certain défunt poète d’en face – qui n’écrivait pas que des conneries) que la femme est l’élément-clef du couple.
À condition d’intelligence. Celle de savoir se tenir en retrait et de laisser à l’homme le rôle de monter au front.
Mais reste-t-il encore des hommes dans cette époque « transgenrisée » où les couilles – semble-t-il – « migrent » chez les femmes?
Depuis la nuit des temps, le chasseur (doublé d’un guerrier lorsque nécessité faisait loi) pouvait s’attendre à trouver au foyer un havre de paix dans des bras que l’on pouvait espérer aimants.
Dans cette époque de cons effrénés qu' »ON » s’acharne à nous imposer, dans le souverain et imbécile mépris de toutes lois naturelles; le second des serfs prestataires de services « transporté-en-commun » qui rallie ce « domicile » (qu’on disait autrefois « conjugal ») y trouve le premier: un ennemi en embuscade.
Je choisis d’être démodé.
j’ai partagé cet article !
tout d abord : suis pas feministe ( etre une femme me suffit )
pour moi les choses essentielles sont : quand on a un enfant , avoir la possibilite de s en occuper a la maison ,jusqu à 3 ans ,avec alloc. conséquentes si petit budget.Pour l egalite de salaires homme-femme, les syndicats sont là pour ça.enfin , quand les femmes reçoivent des coups de leur conjoint : la taule pour le lâche !!! apres …. sur la « tenue » vestimentaire des musulmanes , je dois etre une des rares à ne pas etre pour et ni contre ( en quoi ça nous regarde ?)
pour finir , je dirai que la femme a une force superieure à l homme , c est ce qui lui est indispensable, à lui . Elle est complementaire , elle n est pas « l egale » de l homme , mais differente .
Bravo, Madame, je vous suis sur toute la ligne. J’ajouterai qu’il me semble monstrueux qu’un régime tel que celui actuellement au pouvoir en France arraché de force un enfant au contexte maternel… il s’agit, bien évidemment de pouvoir formater l’enfant au plus vite pour qu’il aille prestement rejoindre les soumis au servage moderne.
Bravo, Madame, je vous suis sur toute la ligne. J’ajouterais qu’il me semble monstrueux qu’un régime tel que celui actuellement au pouvoir en France arrache de force un enfant au contexte maternel… il s’agit, bien évidemment de pouvoir formater l’enfant au plus vite pour qu’il aille prestement rejoindre les soumis au servage moderne.