En ce 2 décembre, date anniversaire du sacre de Napoléon Bonaparte, c’est pour célébrer un autre empereur, celui-là des Lettres et de la Polémique au sens noble, que Jeune Nation avait réuni à Toulouse ses fidèles et amis : Édouard Drumont.
Car 2017 marque le centième anniversaire du décès de ce maître en nationalisme, que Jeune Nation a déjà honoré à 2 reprises cette année. Après avoir célébré sa mémoire le 4 février dernier, sur sa tombe, à l’issue de notre cérémonie aux morts de février, après avoir célébré sa vie et son action cet été lors de notre camp-école dont la promotion porte le nom, il convenait de rendre hommage à son œuvre et à son héritage : la Libre Parole !
En effet Édouard Drumont était l’un des plus talentueux journalistes, écrivains et polémistes français, de la seconde moitié du XIXe siècle et du début du XXe siècle, l’immortel auteur de « La France Juive », et le fondateur du quotidien « La Libre Parole », dans lequel il dénonça inlassablement les scandales de leur République naissante, de l’affaire de Panama à l’affaire Dreyfus, soulevant ainsi le coin du voile sur l’action délétère du lobby déjà à la manœuvre : le judaïsme politique.
Ainsi toute l’après-midi se sont succédés les allocutions des orateurs français et européens qui avaient fait le déplacement et la lecture des messages de ceux qui, retenus ailleurs, tenaient malgré tout à s’associer à cette journée :
– Georges Dumont (président des Amis de Pierre Sidos), de retour de Syrie, livrant ses impressions et rétablissant la vérité sur les tentatives de détruire la dernière nation arabe libre,
– Pierre Dortiguier, professeur de philosophie, géopoliticien, germaniste et orientaliste, faisant profiter l’auditoire de sa longue mémoire à propos des grands hommes de notre passé français et européen qui avaient mis leur peau au bout de leurs idéal contre le judéo-bolchevisme et les tentatives d’abaissement du continent,
– un représentant du médiat roumain « Buciumul », organe du Mouvement légionnaire héritier de la geste de son héros et martyr Corneliu Codreanu,
– Nacho Larrea, camarade phalangiste du médiat en ligne « La Hora del Cafe », rappelant que les systèmes libéraux-capitalistes qui tiennent aujourd’hui nos patries, sont ceux qui tuent la vraie liberté et les racines de nos cultures millénaires,
– Scipion de Salm, journaliste à « Rivarol » et aux « Écrits de Paris », évoquant Drumont comme le modèle du journaliste du combat national que déjà, à son époque, nos adversaires tentaient de faire taire par la vindicte judicaire de l’étouffement financier sous les amendes assénées,
– Irène Pappa, directrice de l’hebdomadaire grec « Empros », proche des nationalistes d’Aube Dorée poursuivis, persécutés, embastillés dans leur propre pays sur ordre du judaïsme politique,
– André Gandillon, directeur du mensuel « Militant » et secrétaire général du Parti Nationaliste Français, saluant le courage, la lucidité et l’intelligence de Drumont, fin observateur de la société française et de son histoire, qui jeta à travers ses écrits les fondements de la doctrine nationaliste.
Entre les allocutions et la lecture des messages, le public captivé pu fréquenter les stands des organisations amis (Parti Nationaliste Français, C.L.A.N., Rivarol, Militant, Encyclopédie de l’Ordre Nouveau…) et se rafraichir des boissons préparées par nos amies de la section féminine des Caryatides.
À l’issue de la journée, leur vin chaud et mignardises ont réchauffé les corps alors que Yvan Benedetti, directeur de Jeune Nation et porte-parole du Parti Nationaliste Français, avaient réchauffé les âmes et les esprits par son intervention de clôture.
Il rappelait à l’auditoire que la mission première du militant nationaliste est de ne pas se taire et de désigner toujours l’ennemi. C’est-à-dire ce judaïsme politique, qui ne supporte pas que soit porté au grand jour et mis sous la lumière son projet funeste : faire disparaître les nations par le génocide des européens, sous l’action conjuguée d’une immigration de masse, du métissage et d’un eugénisme avorteur et euthanasique imposés à nos vieux peuples.
Mais même après le passage d’un vol de sauterelles, les blés repoussent. Tant qu’il restera sur le sol de France un seul français non renié, enfant de ces bâtisseurs de cathédrales qui firent l’admiration du monde entier, l’espoir se maintiendra. Nous avons pour nous 2000 ans d’histoire. Les maîtres du temps ne sont qu’un instant. Demain la révolution nationale, notre révolution, notre œuvre, les balaiera.
Qui vive ? FRANCE !