La plaine russe est toujours aussi monotone. Le paysage ne change pas, avec ses marécages, ses bois, ses champs pelés. Parfois, de petits bœufs noirs et blancs, des troupeaux. Les villages sont rares. Et soudain, contre une éminence, deux ou trois isbas, neuves ou vieilles, mais point différentes de celles qu’on peut voir ailleurs. Une différence cependant, et assez importante : accroché à son haut mât, le drapeau français flotte, tout seul, dans le vent russe. Tout seul. On ne saurait manquer d’être saisi d’apercevoir d’un coup l’énorme aventure, la solitude insolite, si l’on ose écrire, de ces couleurs sur la plaine infiniment éloignée, ce qu’elles représentent. Il serait difficile au plus froid de n’être pas profondément touché. Nous sommes dans un petit poste de la Légion française contre le bolchevisme.
Pour la première fois depuis qu’elle existe, un ministre du gouvernement français, de surcroît président de cette Légion, allait apporter un salut officiel aux vaillants garçons qui ont pu, si longtemps, se juger les enfants perdus de la collaboration. Il est difficile de parler d’eux, parce qu’il a toujours été difficile à un civil de parler des soldats. Le genre « correspondant de guerre » est sûrement ce qui nous est le plus odieux dans ce journal, et un certain ton nous a toujours paru insoutenable, celui qui consiste, bien tranquillement installé, à vanter l’héroïsme et les souffrances des autres, et à y pousser. Mais l’oubli dans lequel certains tiennent volontairement nos camarades de là-bas est plus grave encore, me semble-t-il, et cette poignée d’hommes perdus dans l’immensité du front oriental est digne qu’on la connaisse mieux. Sans autre prétention que de dire ce que nous avons vu, nous voudrions rapporter ici, encore une fois, quelques images.
Le camp d’entraînement.
Les premiers légionnaires auxquels M. de Brinon a rendu visite sont ceux du camp situé dans le Gouvernement général. C’est là qu’ils subissent un entraînement de plusieurs semaines avant de gagner les tâches qui leur sont réservées. Nous y sommes arrivés un matin, par des sentiers extraordinairement défoncés. C’est un bois assez vaste et triste, où ont poussé des baraques en nombre considérable. Les légionnaires français y occupent un quartier, tandis que les légions caucasiennes ou géorgiennes en occupent d’autres, et c’est un spectacle curieux que de voir se croiser dans les allées qui séparent les baraques de bonnes têtes de chez nous et des géants un peu mongols, différenciés par le seul écusson qu’ils portent à leur manche. En avons-nous dénombré, de ces écussons ? Ornés d’insignes variés, verts, rouges, bleus, avec toutes les bêtes héraldiques, tous les croisements tous les carrelages et toutes les barres ! Ce sont ceux des innombrables petits peuples de la Volga ou du Caucase qui, l’hiver dernier, suivaient en exode les troupes allemandes, effrayés qu’ils étaient par le retour des Bolcheviks…
Dans ce camp, nous passons la journée, nous déjeunons avec les officiers, c’est-à-dire que nous partageons là soupe aux pois faite pour tous, et où en l’honneur de notre venue, on a dû mettre un peu plus de lard. Ce plat unique, c’est celui que mangent soldats et officiers, car dans l’armée allemande en campagne on sait que tous se nourrissent, à la cantine ou à la « roulante », de la même manière. Le matin, on nous a amenés à quelques kilomètres de là, assister à un exercice : la « prise » d’un petit village polonais, la traversée d’une rivière. Lourdement équipés, nos gars tirent à la mitraillette en courant, se jettent à l’eau, font des « prisonniers » à qui ils retournent les poches…, et s’engueulent en français sous le regard paisible et bovin des quelques habitants qui contemplent le spectacle insolite.
Auparavant, nous avions vu le départ d’une compagnie qui avait achevé son temps d’instruction, et qui prenait le train. Les hommes avaient écouté M. de Brinon qui, en termes simples et directs, leur avait apporté le salut français, puis ils s’étaient avancés en ordre sous les grands arbres sombres, et ils chantaient en français, sur un rythme lent, un chant d’adieu de la Légion.
1943 Visite de Monsieur de Brinon aux combattants de la LVF
Tout l’après-midi, nous l’avons passé à regarder les exercices d’école du soldat. L’entraînement est très sévère, et il va de soi qu’on doit exiger du légionnaire une santé de fer pour résister aux épreuves de la campagne. Ceux que n’élimine pas la surveillance médicale, qui est très stricte, sont vraiment des hommes éprouvés par une méthode excessivement dure.
On nous a dit que très souvent la vie du front paraissait moins sévère que les mois d’entraînement au camp. Mais on nous a dit aussi que, sans rien abandonner des nécessités d’une formation indispensable, il se pourrait que l’on revînt bientôt à une méthode moins stricte, qui aurait l’avantage de favoriser un recrutement plus abondant de la Légion. Les garçons qui sont là supportent d’ailleurs ces semaines avec conviction et avec foi. Ils savent pourquoi ils sont venus, et le réconfort le plus grand que l’on puisse avoir sur le front de l’Est est de découvrir, dans notre âge incertain, des hommes qui sont des « volontaires », qui ont, une fois pour toutes, choisi.
Avec les coloniaux.
Ces hommes nous donnent parfois des spectacles étonnants. Je me rappellerai longtemps, j’imagine, ce village russe, assez important, dirigé par un adjudant français. Un vieux de la coloniale, bardé de décorations, et qui a ses deux fils à la Légion. Mais là, il est tout seul. Il a organisé le village suivant les meilleures traditions de la Grande Guerre : blockhaus en rondins, sapes, tranchées, passages souterrains de vingt mètres. Il est là, avec quinze Russes de l’OD (Ordnungs Dienst), habillés d’un pantalon civil et d’une vieille veste allemande, et armés. Il est tout seul, je le répète, tout seul avec ses quinze gaillards. Et il règne sur le village. Il règne sur les femmes, les enfants, les vieillards, les jeunes gens. Tout le monde le contemple avec un mélange bien russe de sainte terreur, d’affection et de respect. C’est le tsar, c’est le petit père. On lui baiserait volontiers les genoux. Le ravitaillement, la réfection des routes, la construction des maisons, tout dépend de lui. Il est seigneur et maître, joyeux de vivre, comme un caïd dans la montagne. C’est peut-être l’image la plus complète que j’aie vue du légionnaire français dans l’Est.
Il n’est toutefois pas le seul à s’occuper d’actions analogues. Si nous avons été souvent frappés par l’analogie entre la guerre à l’Est et la guerre coloniale, la chose nous a au moins autant frappés en ce qui concerne les légionnaires français. C’est bien la colonisation à l’état pur, si l’on peut dire, la colonisation sans conquête, la colonisation sans matérialité. Mais lorsque nous sommes reçus par un bataillon de la Légion antibolchevik qui tient un village, nous sommes accueillis par des femmes en « costumes locaux » qui nous tendent à la fois leurs enfants et des bouquets de fleurs, crient : « Vivent les Franzouski ! », rient à gorge déployée et chantent des « chants indigènes ». Partout la Légion a enlevé le fumier, amené l’eau, creusé des caniveaux, rendu les habitations plus avenantes et plus propres. En vérité, exactement le travail qu’on peut faire dans les villages berbères. Et, tout naturellement, en parlant des Russes, on dit : « les Chleuhs ».
C’est qu’il y a beaucoup de coloniaux parmi ces légionnaires, surtout dans les cadres de sous-officiers. Plusieurs officiers des armées d’Afrique, saint-cyriens d’avant-guerre, sont partis là-bas. Je voudrais que ceux qui pensent qu’à la Légion il n’y a que des repris de justice voient ces garçons nets, violents, vigoureux, qu’ils sachent ces noms, que je ne veux point dire, de gens de chez nous, qui ont choisi volontairement le métier des armes. Oui, en vérité, il y a plusieurs officiers d’active parmi les légionnaires. Sait-on qu’un danger est même là ? Et qu’il ne faudrait pas que notre Deuxième Bureau1, de sinistre mémoire, en accointance avec l’Intelligence Service2, envoie là-bas des observateurs, gaullistes paradoxalement sous l’uniforme vert, fermement déterminés à ne pas accroître le recrutement de la Légion ? Ce serait assez bouffon, on le conçoit, et je me hâte de dire que les officiers subalternes, du moins ceux que j’ai pu voir, sont des garçons extraordinairement sympathiques, fermement décidés à faire la Révolution à leur retour, et compréhensifs des nécessités françaises. Ils ont retrouvé là-bas le climat des guerres coloniales, la pacification à l’intérieur, la lutte contre les partisans, le combat et l’organisation intimement mêlés.
Qu’est-ce que les partisans ? Les Français d’ici s’en inquiètent fort, et ne comprennent pas comment l’armée allemande peut laisser subsister sur ses arrières des formations importantes. Faut-il croire que la Russie est en état de révolte perpétuelle contre les occupants ? Il n’en est rien. Il faut penser, en effet, que la Russie, tsariste ou communiste, a toujours connu les bandits, réunis dans les bois, et attaquant les diligences, les chemins de fer, les automobiles. Cela continue, tout simplement. Mais l’avance rapide des troupes allemandes a laissé dans les bois certains meneurs communistes ; d’autre part, les Rouges ont lâché des « cadres » par parachutes. Ces cadres organisent les bandits, dont le but essentiel reste néanmoins le pillage. La preuve en est que lorsque les Allemands (ou les Français) changent de garnison, les habitants épouvantés essaient de les suivre. Car ils savent que les partisans vont venir piller les isbas, emmener les troupeaux… et pendre le starost3. Il paraît qu’il devient de plus en plus difficile de trouver des starosts, qui sont les maires des villages, ce qu’on conçoit facilement. Ces partisans ne sont pas toujours des gens du pays, mais parfois des hommes venant de fort loin. Et cela encore rapproche cette guerre de la guerre coloniale, avec dissidents et partisans. On ajoutera que cette forme de guerre est extrêmement pénible, parce que c’est une guerre pourrie, qu’on n’est jamais sûr de ne pas tomber sur des partisans qui ne se distinguent en rien des civils sournois.
Journée dans un village.
La journée la plus agréable que nous avons passée est assurément la journée au centre de l’un des bataillons de la Légion, dans un gros village assez propre. Nous sommes entrés dans l’église, suivis par toute une marmaille, nous nous sommes fait photographier, Claude Jeantet4 et moi, sur un fond de dames russes, opulentes de formes et souriantes, nous avons librement bavardé avec les officiers et avec les hommes. Et nous nous sommes promenés dans le camp avec Jacques Doriot, toujours plein de vitalité, géant optimiste et vigoureux. Dans l’isba où il loge, la famille qui l’abrite le regarde avec une admiration éperdue. Il lui roucoule en souriant deux ou trois phrases de russe, caressantes et chantantes, qui étonnent dans ce grand corps. Nous le regardons en pensant qu’il est le seul chef de parti (Marcel Déat ayant été blessé le 27 août 1941) à être allé sur le front de l’Est, à partager la vie des autres combattants, hier sur la Desna, aujourd’hui à la tête de la compagnie antichars de ce bataillon. Qu’ils soient ou non de son parti, les hommes et les officiers le contemplent avec une égale sympathie. Nous visitons les chambres, avec quelques soldats, et tout à fait en dehors des inspections officielles : au-dessus des lits, bien souvent, le portrait de Doriot.
Quelques jours après, nous visitons un hôpital. C’est une vision plus triste, à mon sens, que toutes les fosses de Katyn. Ce chef-d’œuvre qu’est un corps humain, le voir abîmé, ruiné, serre le cœur. Nous regardons sur leur lit quelques blessés de la Légion. Plusieurs ont au-dessus de leur lit un grand portrait : celui de Doriot. Il n’est pas mauvais, me semble-t-il, qu’on sache cela en France. J’ajoute qu’il ne s’agissait pas là du bataillon où sert le lieutenant Doriot, mais d’un autre bataillon.
Nous nous promenons, heureusement désœuvrés, dans ce village, où règnent un ordre, et même une propreté, qui ne sont pas tout à fait accoutumés. Il est difficile de rapporter ce que pensent les légionnaires. Leur langage est sans fard. Nous pouvons seulement rappeler que l’oubli dans lequel on les tient en France les indigne profondément. C’est à ce titre que le voyage de M. de Brinon, dont l’attachement à une politique active est indéniable, dont la ligne n’a jamais varié, a eu une grande importance. Pour la première fois, la France officielle pensait à ses légionnaires, et y pensait par l’intermédiaire d’un homme qu’on ne peut accuser d’aucune palinodie.
Avec les légionnaires, nous visitons les isbas, nous regardons les installations des soldats. Le matin, nous avons assisté à une prise d’armes, à une remise de décorations. Nous en verrons encore à l’autre bataillon, sur la plaine où flottent le drapeau à croix gammée et le drapeau français. Nous assisterons à une petite revue, à un défilé à cheval, manifestations émouvantes dans cet immense désert où sont perdues quelques poignées de Français.
Je pense aussi à ce petit cimetière, où reposent une trentaine de Français et un SS tombé avec eux. Le cimetière, dominé par une immense croix, est assez loin du village. Il porte à l’entrée l’inscription : « Morts pour la France et pour l’Europe. » Ce sont trente petites croix, sur des garçons de chez nous, venus de Nice, de Savoie, de Corse ou du Berry, tombés dans cette immense aventure, au-delà de tout ce qu’ils avaient connu, au-delà, semble-t-il, de ce qui est humain.
Jamais on n’a vu cela. Et cela non plus il ne faut pas que cela soit vain.
Du Dniepr à la Bérézina
Il y a plus d’un siècle, d’autres Français ont parcouru ces plaines désolées. Ils l’ont fait à pied, à pied depuis les provinces françaises, à travers toute l’Allemagne et toute l’Europe centrale, avec cinquante-huit livres sur le dos. Il est difficile de ne pas penser à eux. Voici Smolensk, et sous ses remparts rouges Napoléon s’est arrêté. Voici, avant Smolensk, le bourg de Krasnoïé, et la Grande Armée chantait :
En allant à Krasnoïé,
On avait chaud, on avait frouê…
Voici Studenka, ce petit village sur les bords de la Bérézina, où les sapeurs du général Eblé ont dressé leurs ponts pour la grande retraite. Nous nous y arrêtons une fin d’après-midi. Les honneurs sont rendus par un groupe de légionnaires. Un petit monument de brique et de bois commémore le passage de la Bérézina par la Grande Armée, en 1812, et par la Légion en 1942. C’est un paysage désolé, sur lequel le soir tombe. La rivière est lente, presque marécageuse, assez peu large en cette saison, dans ses roseaux et dans ses joncs. Un ciel de nuages bas s’y reflète. Il monte une odeur d’eaux pourries. Comment ne pas penser à la tragédie du siècle dernier, en plein hiver glacé, sous la neige ? L’histoire ici n’est plus de l’histoire, mais devient présente et vivante…
Partout, on nous a dit que ces légionnaires français représentaient maintenant le meilleur des traditions militaires de notre race. Je le crois volontiers. Ce qui me plaît en eux, c’est leur variété : il y a les bagarreurs, les volontaires à l’état pur, les fascistes convaincus, dont beaucoup viennent du PPF, les anciens coloniaux, les soldats de métier. Il y a des garçons de tout âge, entre vingt et quarante ans et plus, représentants de cet âge désaxé qui cherche sa voie, depuis dix ans, à travers les steppes de la planète. Certains sont allés en Espagne (pas tous du côté de Franco), certains ont lutté dans les mouvements politiques d’avant-guerre. Ils ont tous le sang vif, ils veulent tous, qu’ils s’en rendent compte ou non, un changement profond et radical. En prenant les armes contre le bolchevisme, il n’est pas douteux qu’ils ont désiré aussi les prendre pour une meilleure justice, et contre le conservatisme social. Il ne faut pas les décevoir. J’ai vu de jeunes garçons tentés par cette aventure inouïe, et que j’imaginais volontiers dans des tâches d’administrateurs, de colons, aussi bien que de guerriers ; et la rapidité des mouvements militaires, l’incertitude de rester là, ajoutent à ces tâches quelque chose de gratuit et de pur. Il est beau de coloniser pour apporter un peu de bien-être, un peu de justice, un peu d’ordre, et puis de s’en aller, le fusil au dos, par les fondrières russes, apporter ailleurs le combat et la paix, et gagner on ne sait quoi d’inévaluable, d’inappréciable, qu’aucun esprit bourgeois au monde ne comprendra.
Au terme de dix mille kilomètres de voyage à travers l’Europe centrale et orientale, c’est avant tout à ces chers garçons violents et amers que nous pensons pour finir. Nos petites combines, nos craintes, nos espoirs, ils n’en ont pas de souci. Ils n’ont pas été réquisitionnés, ils ont choisi leur part. Ils l’ont choisie dure et forte, ils l’ont choisie mortelle s’il le faut. Ils sont peu, et ils savent qu’ils sont peu. Ils espèrent être davantage, et en décembre 1941 ils ont failli, eux avec les premiers, entrer dans Moscou faire flotter nos couleurs. Patiemment, dans le froid et dans l’oubli, ils ont repris leur tâche. Il ne faut pas qu’ils soient les enfants perdus, d’avance condamnés, d’une politique qui est la politique officielle. Il faut qu’ils soient compris comme les aventuriers français du monde moderne, et comme l’avant-garde hasardée d’un combat qui est le combat de tous.
Ultime Assaut : LVF
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NB. Cet article a été publié pour la première fois en 1943. Les vidéos, documents iconographiques et notes ont été ajoutées par Jeune nation.
1 Le « Deuxième Bureau » était le service de renseignements de l’armée française entre 1871 et 1940.
2 Il s’agit des services de renseignements de l’armée britannique.
3 Historiquement, les starosts étaient des petits nobles polonais, possédant une starosty, domaine ou château ; par extension, ils désignent ici les responsables municipaux.
4 Claude Jeantet, journaliste nationaliste (1902-1982). Il composait, avec Robert Brasillach, la délégation de la presse française lors du voyage de Fernard de Brinon sur le front de l’est en 1943, qui donna l’occasion de ce reportage. Les deux hommes étaient amis et avaient travaillé ensemble à Je suis partout.
Le « miracle » de Dunkerque : c’est en sous-estimant l’influence des Rothschild sur Churchill (et Roosevelt) qu’Hitler a tout perdu.
https://www.counter-currents.com/2017/07/why-hitler-let-the-british-escape-at-dunkirk/
Ejection expresse d’un editorialiste apres un article sur les salaires des animatrices de la television publique.
http://fr.timesofisrael.com/le-sunday-times-retire-un-article-antisemite-ciblant-une-animatrice-juive-de-la-bbc/
Le saviez-vous ? la serie vedette « Game of Thrones » est (presque) 100% casher !
http://www.jta.org/2017/07/14/arts-entertainment/game-of-thrones-7-jewish-facts-about-the-hit-series
L’Opera National de Lorraine accueille Laura Cahen (« entre Barbara, Bashung et Gainsbourg ») le vendredi 13 octobre.
http://nancyjazzpulsations.com/evenement/laura-cahen-camille/
La nouvelle start-up basee en israel, a ete creee par « Austin Smith », ne de parents juifs, lui-meme ancien fraudeur ayant arnaque des milliers de personnes dans le monde.
http://altogeeks.com/victimes-options-binaires-obtiennent-laide-danciens-fraudeurs/
Merci à Jeune Nation pour cet article de Robert Brasillach, et pour les videos émouvantes sur la LVF, quels hommes!
Quand on voit les reportages de cette époque, on mesure le gouffre dans lequel on est tombé.
Voir Brasillach ce héros au style littéraire si limpide, exécuté par la peste gaulliste.
Et ces 2 videos magnifiques de l’INA , combien de temps pourra t on encore les voir? Etonnant d’avoir pu les regarder à notre époque, elles m’ont bouleversé.
Et le reportage sur Katyn, à la limite du supportable, les Historiens ne l’avaient pas vu? Ils ont dû attendre la reconnaissance par les soviétiques, si longtemps après, alors que la faute était attribuée aux allemands, comme d’habitude.
Bonjour, Blackreptile
Cela m’estonne aussi, que ces vidéos ne soient pas censurées. Amitiés Nationalistes !
Magnifique document d’archives, quel dommage que mon ami Rostaing n’aie pas pu voir ce court métrage.
Longue vie à ces hommes, tombés pour L’Europe Nouvelle. Que Monsieur Brasillach, repose en paix. Magnifiques témoignages d’une époque dure et merveilleuse à la fois. Quel dommage, que je n’étais pas né, en 1921. J’aurais été heureux, à 26 ans, en 1941 de servir la France, aux portes de Moscou et dans les steppes Russes. Mort au Gaullo-Communisme, Mort à la Démocratie juive et capitaliste. Sieg Heil !