Le 16 avril 1925, les communistes commettaient un attentat de masse contre la cathédrale Sainte-Nédélia de Sofia. Le 10 juin 1944, l’église et le village d’Oradour-sur-Glane sont détruits. Il n’y a bien entendu aucun rapport entre les deux événements, mais des ressemblances qui méritent d’être relevées pour éclairer ce qui a pu se passer à Oradour.
Rappelons les données essentielles de l’attentat de Sofia, un événement aussi oublié, voire, occulté, que celui de juin 1944 est constamment exposé:
Le 16 avril 1925, les communistes font d’effondrer à l’explosif (25 kilos) le dôme principal de la cathédrale Sainte-Nédélia sur une assemblée nombreuse venue assister à des funérailles que les communistes avaient eux-mêmes provoquées (par un autre attentat les jours précédents). Le bilan est lourd, 150 morts et cinq cents blessés.
Par cet attentat, les communistes montraient déjà à l’époque tout leur manque de respect des religions que partout ils cherchent à éradiquer, et leur mépris encore plus grand des édifices religieux. Ils n’hésitent pas à planifier un attentat contre une cathédrale pour assassiner le plus de monde possible et détruire l’âme et la tradition d’un pays au nom de leur matérialisme scientifique.
À Oradour-sur-Glane, la résistance communiste n’aurait donc eu aucun scrupule à convertir les soupentes de l’église en poudrière, en soute à munitions : une église, ce n’est rien d’autre qu’une cachette commode, un endroit que les soldats allemands, catholiques ou protestants pour la plupart, n’oseront pas venir fouiller.
On le sait, c’est la thèse de Vincent Reynouard, à Oradour, c’est un stock de munitions américaines caché sous le toit de l’église qui a explosé pour des raisons qu’on ignore, provoquant la mort des femmes et des enfants regroupés là par des SS qui effectivement, comme prévu par les communistes, n’avaient pas pensé à inspecter préalablement le bâtiment.
Voilà, on nous dit sans arrêt qu’avant d’arriver à Oradour-sur-Glane, la Das Reich avait déjà un lourd passif d’exactions, seulement, l’attentat contre la cathédrale de Sofia, vient nous rappeler que ce sont les communistes qui aiment bien jouer avec les explosifs dans les églises, du reste, en l’occurrence, la compagnie SS présente à Oradour, étant une unité combattante et non une unité du génie, n’avait pas d’explosif avec elle.
Vincent Reynouard devait publier un nouveau livre sur Oradour.Il me tarde de me le procurer.
Quelqu’un sait il ce qu’il en est?
Dans les archives de l’ armée allemande on trouve ceci:
Provenant du OKH – haut commandement de la Heer-, en date du 27 mai 1940, adressé à tous les groupes d’armée et les armées, concernant le sauvetage des objets du culte :
Les objets du culte dans les édifices religieux sont fondamentalement inviolables . Cependant, si dans la zone des opérations, des édifices sont endommagés ou sérieusement menacés par des mesures militaires, et si la situation militaire le permet, il doit être porté soin au sauvetage de ces objets , parmi lesquels se trouvent souvent des objets d’art de grande valeur..
Si la prêtrise ou d’autres personnes du service public ne sont pas présentes, le sauvetage doit être effectué par la troupe elle même .
En cas de sauvetage par la troupe, il est bon d’avoir un aumônier militaire si c’est possible , lequel a la responsabilité de mettre les objets en sécurité .Il doit informer l’aumônier de l’armée correspondante, qui lui même fait rapport à l’évêque militaire de la WH.
En cas de sauvetage sans la présence d’un aumônier, la troupe doit faire rapport à l’OKH.
Chacun en pensera ce qu’il voudra …
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