Ce de Lesquen, formaté pour être un haut fonctionnaire dans l’adoration de lui-même, est imbuvable. Le pédant ménage ses effets de style, s’écoute parler, et impose ses certitudes arrogantes, laissant peu de place à son invité qu’il interrompt sans cesse. La culture des deux interlocuteurs étant notable, le débat pourrait et devrait être intéressant sur le sujet choisi du nationalisme et de l’Europe des nations. Malheureusement, il est pollué et rendu inaudible par la cuistrerie de l’énarque écharpé. Dommage ! Gandillon mérite une tribune bien plus respectueuse de lui-même et du discours nationaliste.
On eut aimé qu’Henry de Lesquen laissât parler André Gandillon qui en matière de nationalisme est une référence.
Mais c’est trop demandé au personnage qui n’accueille des invités que pour être ses faire-valoir.
On croirait le maître et l’élève. Le premier passe son temps à rectifier le second quand il lui apparaît que les réponses données ne sont pas satisfaisantes.
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Ce de Lesquen, formaté pour être un haut fonctionnaire dans l’adoration de lui-même, est imbuvable. Le pédant ménage ses effets de style, s’écoute parler, et impose ses certitudes arrogantes, laissant peu de place à son invité qu’il interrompt sans cesse. La culture des deux interlocuteurs étant notable, le débat pourrait et devrait être intéressant sur le sujet choisi du nationalisme et de l’Europe des nations. Malheureusement, il est pollué et rendu inaudible par la cuistrerie de l’énarque écharpé. Dommage ! Gandillon mérite une tribune bien plus respectueuse de lui-même et du discours nationaliste.
On eut aimé qu’Henry de Lesquen laissât parler André Gandillon qui en matière de nationalisme est une référence.
Mais c’est trop demandé au personnage qui n’accueille des invités que pour être ses faire-valoir.
Je peux faire une émission avec lui si tu veux Yvan et une autre avec toi. Roberto
On croirait le maître et l’élève. Le premier passe son temps à rectifier le second quand il lui apparaît que les réponses données ne sont pas satisfaisantes.