Marshall Yeats
La mise en condition de l’Irlande en vue du grand remplacement devrait encore s’intensifier avec la nomination, à un poste aux résonances si délicieusement orwelliennes de «rapporteur spécial pour le plan national de lutte contre le racisme», de la Nigérienne Ebun Joseph. L’objectif déclaré est de «débusquer et de pourchasser le racisme partout où il se niche». En d’autres termes, il s’agit de soumettre la population à un lavage de cerveau en règle, propre à la culpabiliser d’être blanche. Comme le dit un récent article du Spectator, «le rapporteur spécial d’origine nigériane devra régulièrement remettre au gouvernement des rapports sur la blancheur intolérable et hideusement raciste des Irlandais».
Le plan national de lutte contre le racisme prévoit un processus au cours duquel des droits spéciaux et des privilèges seront accordés aux étrangers, tandis que les Irlandais deviendront des citoyens de seconde zone dans leur propre pays. Selon Shane O’Curry, directeur du réseau irlandais contre le racisme (INAR), la raison d’être de ce plan est que «les migrants en Irlande déclarent ne pas se sentir à l’aise dans les différents domaines de la vie sociale». En revanche, M. O’Curry ne semble pas particulièrement préoccupé par la progression du sentiment d’insécurité que ces mêmes migrants engendrent chez les femmes et les enfants du cru, il est vrai qu’il doit percevoir un salaire suffisamment confortable, en grande partie servi par des ONG mondialistes, pour être personnellement incommodé par ces désagréments.
Néanmoins, il faut bien comprendre que cette Ebun Joseph n’est que la figure de proue du navire, ce n’est pas elle qui est à la barre, en effet, ce plan d’action national irlandais contre le racisme a des origines nettement juives.
Alice Feldman et la nécessité d’une «Irlande antiraciste»
Ebun Joseph est une protégée directe d’Alice Feldman, universitaire juive-américaine, sociologue à l’University College Dublin. C’est Feldman qui a été la directrice de thèse de Joseph, c’est elle qui l’a préparée à tenir son rôle de vitrine de l’antiracisme irlandais. Bien que toute une série de noms Irlandais ou de minorités ethniques aient été cités comme auteurs du «Plan national contre le racisme», la plus petite recherche ne tarde pas à faire apparaître que ce plan a été conçu dès 2003, par Mme Feldman, dans une de ses publications qui portait précisément ce titre : «Plan national contre le racisme».
Le profil de Mme. Feldman sur le site web de l’University College Dublin nous apprend que: «au cours des deux dernières décennies, j’ai travaillé en tant que chercheur, conseiller et bénévole pour de nombreuses organisations civiques, communautaires et autres, qui s’impliquaient en Irlande dans la lutte contre le racisme, les migrations et l’interculturalisme». En d’autres termes, comme d’autres Juifs dont il sera question dans cet essai, elle aura passé plus de vingt ans à saboter les intérêts des Irlandais de souche. Feldman a également cultivé l’art du charabia universitaire, décrivant un jour son travail comme s’appuyant «sur une diversité de traditions transdisciplinaires pour cultiver et mobiliser des pratiques décoloniales qui interviennent dans les héritages coloniaux globaux qui sous-tendent le moment nécropolitique actuel» [FG: On peut lire la phrase dans n’importe quel ordre, ça n’a rigoureusement aucune importance].
En examinant la relation entre Feldman et Joseph, il est clair que c’est Feldman la partenaire active, même si elle laisse la Nigériane tenir le devant de la scène. En voici un exemple:
Ebun Joseph et Alice Feldman, universitaires à l’UCD (University College Dublin), ont animé le jeudi 2 juillet une conférence intitulée « So What Next : Devenir antiraciste via Zoom ». … Joseph est consultant en relations raciales, spécialiste en développement de carrière et coordinateur du module d’études noires de l’UCD. Feldman travaille à l’école de sociologie de l’UCD et est l’une des responsables du MA Race, Migration and Decolonial Studies et de la Decolonial Dialogues Platform de l’UCD. Les universitaires ont indiqué pendant le webinaire qu’elles avaient déjà une longue relation de travail. Joseph et Feldman se sont focalisées sur deux sujets: la fragilité blanche et l’allié antiraciste. Mme Feldman a déclaré qu’elle pensait que les Blancs devaient d’abord reconnaître leur fragilité pour qu’ils puissent faire leur part du travail et se faire les alliés de l’antiracisme. [FG: «fragilité» euphémisme pour dire «leurs torts» (d’être raciste). Quelle absurdité veut-on encore nous faire avaler? Que les Juifs et les autres racisés seraient soucieux de rendre les Blancs encore plus fort qu’ils n’étaient en leur faisant perdre leur fragilité, le racisme?] … Elles faisaient remarquer que lorsque lors de discussions sur la race les Blancs se mettaient sur la défensive, soit qu’ils se sentaient mal à l’aise, soit qu’ils craignaient d’être attaqués, ils faisaient peser sur leurs interlocuteurs de couleur la responsabilité harassante de veiller à les rassurer, ce qui avait pour effet d’abréger les débats. Elles se disent toutes deux convaincues que si on ne peut pas avoir de conversations ouvertes sur les races et le racisme, on ne pourra jamais rien changer. Joseph souligne qu’il n’y a que des racistes et des antiracistes: si quelqu’un se défend d’être raciste, cela signifie simplement qu’il est un raciste dans le déni. Elle ajoute que les gens ouvertement racistes et violents sont plutôt minoritaires, en majorité, on a affaire à des racistes qui se taisent, parfois au point de s’ignorer. Mme. Feldman pense qu’un antiraciste authentique doit faire l’effort de se rendre compte s’il vit dans un environnement raciste ou non, et si oui, qu’il se doit alors de réfléchir à la manière dont le racisme pourrait en être éradiqué. … Les deux universitaires souhaiteraient qu’il y ait un module obligatoire sur l’antiracisme à l’UCD, elles estiment qu’on ne saurait espérer déboucher sur une société antiraciste si l’antiracisme n’est pas enseigné.
Un article paru en 2020 dans la revue Gript soulignait à juste titre que:
L’idéologie des docteurs Joseph et Feldman, qui contamine l’université irlandaise comme elle a contaminé les universités des autres démocraties occidentales, c’est la théorie critique de la race. Cette théorie, quels que soient ceux qui l’épousent, peut être utilisée de manière aussi pernicieuse que les théories raciales tout aussi fallacieuses qui l’ont précédée. Il s’agit d’un racisme inversé dirigé contre les Blancs, ni plus ni moins. Ses méthodes, entre les mains des conjurés de la capitulation intellectuelle, ces bourgeois déracinés et ces gauchistes qui contrôlent la plupart des institutions où le virus se propage, sont les cocktails Molotov des Antifas et de BLM
Laura Weinstein et les dangers de la consanguinité irlandaise
Feldman n’est pas la seule juive américaine à avoir débarqué sur les côtes irlandaises pour dire aux autochtones qu’ils n’ont pas d’unité ethnique. En 2019, Laura Weinstein, une doctorante new-yorkaise venue vivre en Irlande et se présentant en experte de l’histoire et de la culture irlandaise, s’immisçait dans le débat sur l’immigration en Irlande qui faisait alors rage. De tous les aspects de l’histoire et de la culture irlandaise que Weinstein aurait pu choisir de mettre en avant, elle a décidé, comme Feldman, de s’emparer du «mythe» d’une identité irlandaise homogène et du «nationalisme irlandais de droite».
Weinstein s’est servi de son compte Twitter pour se livrer au harcèlement des hommes politiques opposés à l’immigration. Par exemple, réagissant à un message du Parti national, elle a laissé entendre que sans immigration les Irlandais ne tarderaient pas à devenir des «chiens consanguins névrosés». Elle écrit: «L’apport génétique résultant de l’immigration prévient l’impact négatif de la consanguinité. Mais allez-y, limitez l’immigration si vous tenez à créer une race d’humains qui reflète le névrosisme des chiens de «pure race». Veillez simplement à organiser d’abord un référendum sur la consanguinité». Non seulement l’idée fixe de Weinstein frisait elle-même la pathologie, mais elle était aussi à côté de la plaque. Les études génétiques ont montré que les Irlandais possédaient déjà un patrimoine génétique diversifié d’origine scandinave, franco-normande, britannique et ibérique. Il s’agit d’un patrimoine génétique bien plus étendu que celui des Juifs ashkénazes du Dr Weinstein, qui descendent tous d’un unique groupe de 350 personnes. Les lecteurs de ce site ne seront pas surpris d’apprendre que Mme Weinstein se préoccupe vivement de la préservation de son propre peuple et qu’elle est citée par l’Algemeiner comme «analyste de l’antisémitisme à l’ADL». «Consanguinité» pour moi, mais apparemment pas pour toi.
Ronit Lentin et sa déconstruction de l’Irlandais
En plus d’être une protégée directe d’Alice Feldman, Ebun Joseph est l’enfant idéologique de Ronit Lentin, une Israélienne qui, en 1997, a créé le premier programme irlandais d’«études ethniques et raciales» inaugurant ainsi l’arrivée de la théorie critique de la race en Irlande. Lentin a également collaboré avec Alice Feldman à un projet parallèle au Plan d’action national contre le racisme au début de l’année 2008. De 1997 à 2012, Mme. Lentin a été directeur du département de sociologie et a dirigé le programme MPhil «Race, Ethnicity, Conflict». Elle est également la fondatrice de la Trinity Immigration Initiative, dans le cadre de laquelle elle prône une politique d’immigration ouverte et s’oppose à toutes les expulsions, elle milite en outre pour la libéralisation de l’avortement en Irlande [1]. En tant qu’universitaire et activiste «antiraciste», Lentin aura formulé les bases de la repentance raciales, à commencer par sa définition de l’Irlande comme «un État raciste biopolitique» [2]. Selon ses propres dires, avant qu’elle ne commence à travailler sur la culpabilité raciale des Irlandais au début des années 1990, «la plupart des gens n’avaient pas conscience de l’existence du racisme dans leur pays» [3].
En un sens, c’est Lentin qui a introduit le concept d’un racisme irlandais. Pour convaincre les Irlandais qu’ils étaient bel et bien racistes, elle a commencé par nier leur existence en tant que peuple. Elle a affirmé que les Irlandais étaient simplement «théorisés comme homogènes – blancs, chrétiens et sédentaires» [4]. Quant à savoir qui avait échafaudé cette théorie sur les Irlandais et quand, Lentin ne s’est jamais prononcé, pas plus n’a-t-elle tenté de contester que le statut de Blanc, chrétien et sédentaire de la population irlandaise ne fût autre chose que le simple reflet de la réalité. Il semble qu’il ait suffi à Lentin d’affirmer l’idée selon laquelle l’identité irlandaise n’était rien d’autre qu’une fiction pour qu’elle s’y tienne. Aussi a-t-elle été particulièrement choquée quand les Irlandais, apparemment inconscients d’être le fruit de leur propre imagination, lors d’un référendum sur la citoyenneté en juin 2004, ont voté à 80 % pour lier sang et citoyenneté, mettant ainsi fin au «droit de naissance» et établissant au passage une distinction constitutionnelle entre citoyens et non-citoyens. Cette mesure avait été principalement prise pour mettre un terme au «tourisme de naissance» des Africaines avec leurs «bébés d’ancrage», une pratique de plus en plus courante au début des années 2000. Pour Lentin, cependant, cette mesure était symbolique du fait que «la République d’Irlande était consciemment et démocratiquement devenue un État raciste» [5]. Elle en concluait qu’il fallait abandonner l’idée selon laquelle les Irlandais seraient des victimes de l’Histoire et que «la place de l’Irlande à la tête de la mondialisation était usurpée, que son statut de symbole de la culture “cool” était surfait, que sa position privilégiée au sein d’une Communauté européenne en expansion permanente était à revoir, et qu’il convenait à présent de la considérer comme une nouvelle expression du suprématisme blanc» [6].
Ainsi, dans la vision du monde de Lentin, l’identité irlandaise n’est pas seulement une fiction, mais une fiction raciste, «suprématiste blanche». La prescription de Lentin aux Irlandais au cas où ils souhaiteraient se débarrasser de l’illusion d’être un peuple, serait de s’engager en masse dans des célébrations de la «diversité et de l’intégration, du multiracialisme, du multiculturalisme et de l’interculturalisme»[7]. Lentin ajoute: «Je propose qu’on s’interroge sur la manière dont la nation irlandaise pourrait devenir autre que blanche».
Fidèle à la tradition familiale, la fille de Ronit Lentin, Alana, s’est installée en Australie il y a plusieurs années, où elle s’est rapidement imposée comme une promotrice tout aussi enragée de la culpabilité blanche et s’est livrée à des critiques répétées du «racisme» australien. Elle est aujourd’hui présidente de l’Australian Critical Race and Whiteness Studies Association et a rédigé des articles pour The Guardian dans lesquels elle affirme que l’identité australienne est aussi fictive que celle des Irlandais et demande à l’Australie d’adopter une politique d’ouverture des frontières afin qu’elle puisse, elle aussi, devenir autre que blanche.
Katrina Goldstone et la submersion de l’Irlande
L’écrivaine juive irlandaise Katrina Goldstone a travaillé aux côtés de Feldman et de Lentin sur le projet de 2008 relatif au premier plan national contre le racisme. Mme Goldstone est toujours membre du conseil d’administration de New Communities Ireland, «le plus grand réseau national indépendant d’Irlande dirigé par des immigrés, qui regroupe plus de 150 associations dirigées par des immigrés représentant 65 nationalités», une organisation similaire au Migrant Rights Centre Ireland, dont le directeur adjoint est le juif séfarade Bill Abom. Mme Goldstone s’est décrite comme s’étant «impliquée dans les droits d’asile et les questions relatives aux minorités» depuis plus de vingt ans.
Louise Derman-Sparks et le péril du racisme des écoliers Irlandais
«Enseigner l’antiracisme» est la priorité absolue d(activistes Juifs dans tout l’Occident, elle vise à inculquer un sentiment de culpabilité et de honte aux Blancs qui tenteraient de défendre leurs intérêts ethniques. Les bases du lavage de cerveau des écoliers irlandais ont été posées par Katherine Zappone, une lesbienne américaine qui a été ministre de l’enfance, de l’égalité, du handicap, de l’intégration et de la jeunesse de 2016 à 2020. En 2016, Zappone dévoilait la «Charte de la diversité, de l’égalité et de l’inclusion, et les lignes directrices pour les soins et l’éducation de la petite enfance ». Dès le départ, le document donne le ton en expliquant que ces directives visant à transformer l’éducation irlandaise dans un sens anti-blanc sont informées par les approches et pratiques éducatives nationales et internationales en matière d’égalité et de lutte contre les discriminations. Elles s’inspirent largement de l’approche anti-préjugés développée par Louise Derman-Sparks aux États-Unis.
Derman-Sparks est une juive américaine «pionnière» dans les années 1980 d’une pédagogie sur les préjugés et l’antiracisme grâce à des ouvrages tels que Leading Anti-Bias Early Childhood Programs: A Guide for Change, Anti-Bias Education for Young Children and Ourselves, Teaching/Learning Anti-Racism: A Developmental Approach, et What If All the Kids Are White? Mme Derman-Sparks s’est rendue en Irlande au moins une fois, en octobre 1998, pour prêcher sa doctrine, en prononçant un discours lors d’une conférence sur l’éducation des jeunes enfants et en présentant un document intitulé «Education without Prejudice for the Early Years» (éducation sans préjugés pour les jeunes enfants).
On peut trouver un bon exemple du travail de Derman-Sparks tel qu’il est en train d’être incorporé à l’enseignement des jeunes irlandais dans un article pour la Fédération américaine des enseignants dans lequel elle déclare:
D’un point de vue biologique, la race n’existe pas. Tous les individus sont membres d’une même race, l’Homo sapiens, la race humaine, même si tous n’ont pas la même apparence. … La diversité n’engendre pas de préjugés, pas plus que le fait que les enfants remarquent les différences et en parlent, comme le craignent certains adultes. … Très tôt, les enfants blancs en viennent à valoriser leur blancheur, à présumer qu’elle est la définition de la normalité et à croire que toutes les autres couleurs de peau sont étranges et inférieures. Si les enseignants de la petite enfance souhaitent que tous les enfants s’apprécient, le défi pour un éducateur anti-préjugés consiste à permettre aux enfants blancs de s’apprécier sans développer un sentiment de supériorité blanche.
Dans What If All The Kids Are White (2011), Derman-Sparks écrit que «l’apprentissage de la “blancheur” par les petits Blancs maintient le racisme systémique en se prolongeant dans le comportement des adultes»[8] En intégrant le travail de Derman-Sparks dans le système éducatif national, l’Irlande a scellé le destin de sa jeunesse, consentant à un lavage de cerveau permanent de plusieurs générations. [FG: Autrement dit, ces Juifs savent mieux que les Blancs comment il faut qu’ils élèvent leurs enfants!]
***
La Nigériane Ebun Joseph est souvent ridiculisée par les médias de droite, à la fois pour ses positions extrêmes et pour son incapacité à exprimer ses idées. Elle est une figure de proue utilisée par d’autres dans les coulisses et c’est elle qui doit encaisser une grande partie des moqueries et de l’hostilité. À n’en pas douter, Joseph est une de ces idéologues qui voit du «racisme» dans le fait même d’être l’irlandais. Un bon exemple s’est produit en 2019 lorsqu’on lui a servi par erreur du jus de cassis au lieu du vin de la maison au Galway Bay Hotel. Alors que d’autres auraient simplement signalé l’erreur au personnel, Mme Joseph s’est déclarée victime de racisme. L’affaire prenant de l’ampleur, elle s’est rendue sur les réseaux sociaux pour rameuter les siens: «S’il vous plaît, que plus de Noirs y aillent. On ne pourra pas nous dissuader d’aller là où bon nous semble!». Voilà le visage de l’antiracisme en Irlande – qui littéralement déclenche une tempête dans un verre … de jus de cassis.
Ce serait toutefois une erreur de prendre Ebun Joseph à la légère. Elle a été préparée à son rôle et elle s’efforcera de l’assumer à fond, au détriment des Irlandais et à la grande satisfaction de ses mentors. Dans tout l’Occident, on observe un même modèle de formatage en règle mené par l’élite, dans lequel des idées concoctées par des universitaires juifs hostiles sont inculquées aux étudiants qui deviennent la force vive de la nation et qui, à leur tour, les diffusent à l’ensemble de la population. Joseph ne s’arrêtera pas tant que les idées de ses mentors ne seront pas rendues obligatoires dans le système éducatif. Ces idées contaminent les forces de police, les médias, les services de ressources humaines. Elles pénètrent tous les aspects de la vie jusqu’à devenir incontournables. La théorie critique de la race ne connaîtra pas de repos tant que tout ce qui est européen – peuple et culture – ne sera pas anéantis. Sous l’œil de la théorie critique de la race, les Irlandais ne cesseront d’être racistes que lorsqu’ils cesseront d’être tout court, lorsqu’ils seront complètement remplacés et lorsqu’il ne restera plus rien de l’Irlande. Tels sont les dictats de ces nouveaux dirigeants, une classe conquérante qui n’est pas arrivée avec des épées et des fusils, mais avec des histoires à dormir debout, des mensonges et un chantage universitaire délétère.
Traduction : Francis Goumain
Source : Ongoing Jewish Influence in the Transformation of Ireland – The Occidental Observer
[1] See Lentin, R. (2013). A Woman Died: Abortion and the Politics of Birth in Ireland. Feminist Review, 105(1), 130
—136.
[2] R. Lentin, After Optimism? Ireland, Racism and Globalisation (Dublin: Metro Eireann Publications, 2006), 3. [3] Ibid., 1. [4] Ibid., 2. [5] Ibid., 55. [6] Ibid., 107. [7] Ibid., 165. [8] Derman-Sparks, Louise., Ramsey, Patricia G.. What If All the Kids Are White? Anti-Bias Multicultural Education with Young Children and Families. (United States: Teachers College Press, 2011), 31.
Quand un « Pièton de la Mer rouge » touche quoi que ce soit, cela se transforme en merde!
Que nos frères irlandais se souviennent des banquiers juifs d’Amsterdam pour son génocide contre les catholiques aux cris de: « Violer les hommes et tuer les femmes ». Le scélérat Cromwell les remercia en cassant l’édit d’expulsion des juifs d’Angleterre en leur permettant de créer et de diriger la Banque d’Angleterre qui fit apparaître la monnaie fiduciaire, le pound adossé à l’or, mais comme il fallait s’y attendre, ils émiettèrent plus de pounds qu’il y avait d’or et c’est Newton qui y remit de l’ordre…
Ils voudraient donc préserver les Irlandais de leur prétendue consanguinité mais bizarrement uniquement avec des non blancs. Le but recherché est clairement la disparition de la race blanche par métissage inter-racial.
Les Noirs sont leurs figures de proue qui vont servir de bouc-émissaires aux autochtones exaspérés qui donneront en conséquence des coups d’épée dans l’eau au lieu de s’attaquer à la racine du problème.
J’ ai vécu et travaillé en Irlande dans les années 90 ( St Vincent ‘s hospitalier de Dublin) dans mes heures de libre je fréquentais l’ université Trinity collège où il y avait un groupe de jeunes étudiants identitaires qui ne parlaient que gaélique entr’ eux …A cette époque dans mes déplacements à la campagne un peu partout sur l’ île j’ ai pu constater dans la population rurale un fort sentiment patriote même déjà une méfiance vis à vis des blancs continentaux ….les Irlandais ont une population plus homogène que la notre Dans le passé l’ empire romain n’ à pas pu établir un contrôle total sur l’ île….comme les émeutes récentes en Angleterre suite au meurtre de petites filles par des étrangers les irlandais ont réagi en mettant le feu à des centres d’ accueil pour migrants Quoiqu’ on dise il y a des relations historiques et identitaires entre la grande Bretagne et l’ Irlande…de toute manière ce » grand remplacement » ne pourra se résoudre qu’ avec une aide exterieure…Pour le continent européen et sur les îles britanniques : le soleil se lève à l’ Est ….
ET S’IL Y AVAIY UN « ULTIMA GESTA DEI PER FRANCOS? »
Les prophéties d’Anna Maria Taigi
Pour les trois jours de ténèbres, elle prédit que Dieu va envoyer deux peines :
« L’une sera sous la forme de guerres, de révolutions et d’autres maux, elle aura la terre pour ‘origine.
L’autre sera envoyée du ciel. Il viendra sur la terre entière une intense obscurité d’une durée de trois jours et trois nuits. Rien ne pourra être vu, et l’air sera chargé de la peste qui demande principalement, mais pas seulement, les ennemis de la religion. Il sera impossible d’utiliser l’éclairage humain au cours de cette obscurité, à l’exception des bougies bénies. Celui, qui, par curiosité, ouvrira sa fenêtre pour regarder dehors, ou quitter son domicile, mourra sur place. Au cours de ces trois jours, les gens devront rester dans leur maison, prier le Rosaire et supplier Dieu de miséricorde ».
Un bon coup de balai qui ne ferait pas plaisir à Bill Gates et Klaus Schwab…
« Tous les ennemis de l’Eglise, connus ou inconnus, périront sur l’ensemble de la terre au cours de cette obscurité universelle, à l’exception de quelques-uns que Dieu convertira bientôt. L’air sera infecté par les démons qui apparaîtront sous toutes formes hideuses ».
Le rétablissement du pouvoir spirituel, une élection surnaturelle :
« Dieu exigera un pontife Saint choisit salon son cœur, et à qui il communiquera des lumières tout à fait spéciales ; que celui-ci serait élu d’une manière extraordinaire, qu’il serait assisté et protégé par Dieu, d’une façon particulière, que son nom répandu dans tout l’univers, serait applaudi par les peuples et craint par les rois. Le turc lui-même le vénérera, demandera à le féliciter. Il fera des réformes. Il inspirera le peuple, recevra des secours de toutes parts. Les impies seront écrasés et humiliés, beaucoup d’hérétiques, sous son pontificat retournerons à l’unité de la Saint Eglise Catholique Romaine. Elle souligna de nouveau à la fin que le futur pape été dans le moment, un simple prêtre et se trouvait dans un pays assez lointain ».
Le rétablissement du pouvoir temporel :
« La France tombera dans un dans une effroyable anarchie. Le français connaîtra le désespoir de la guerre civile au cours de laquelle les hommes âgés prendront les armes. Les partis politiques après avoir épuisé leur sang et leur rage sans être en mesure d’arriver à tout règlement satisfaisant décideront à la dernière extrémité d’avoir recours au Saint-Siège. Ensuite le pape adressera à la France un légat… en conséquence des informations reçues sa Sainteté devra elle-même désigner un roi chrétien pour le gouvernement de la France ».
Concernant la Résurrection de la France le futur Saint Pie X qui fut élu au Pontificat le 4 août 1903 à la place du Cardinal FM (Loge O.T.O d’Alester Crowley) Rampolla grâce au droit de veto de François Joseph, Empereur d’Autriche Hongrie ; qu’a-t-il dit ?
La prophétie de Saint Pie X et la prière de Pie XII
« Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux Fonts Baptismaux de Reims se repentira et retournera à sa première vocation. Les mérites de tant de ses Fils qui prêchent la vérité de Évangile dans le monde presque entier et dont beaucoup l’ont scellée de leur sang, les prières de tant de Saints qui désirent ardemment avoir pour compagnons dans la Gloire Céleste les frères bien-aimés de leur patrie, la piété généreuse de tant de ses Fils, qui, sans s’arrêter à aucun sacrifice, pourvoient à la dignité du clergé et à la splendeur du culte catholique, et, par-dessus tout, les gémissements de tant de petits enfants qui, devant les Tabernacles répandent leur âme dans les expressions que Dieu même met sur leurs lèvres, appelleront certainement sur cette nation les miséricordes Divines. Les fautes ne resteront pas impunies, mais elle ne périra jamais, la Fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes.
Un jour viendra, et nous espérons qu’il n’est pas très éloigné, où la France, comme Saül sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une Lumière Céleste et entendra une voix qui lui répétera : « Ma Fille, pourquoi Me persécutes-tu ? ». Et, sur sa réponse : « Qui es-tu, Seigneur ? », la voix répliquera : « Je suis Jésus, que tu persécutes. Il t’est dur de regimber contre l’aiguillon, parce que, dans ton obstination, tu te ruines toi-même. Et elle, tremblante, étonnée, dira : » Seigneur, que voulez-vous que je fasse ? ». Et Lui : « Lève-toi, lave-toi des souillures qui t’ont défigurée, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, Fille Aînée de l’Eglise, nation prédestinée, vase d’élection, va porter, comme par le passé, Mon Nom devant tous les peuples et devant les rois de la Terre ».
La prière de Pie XII (1876-1958) pour la France.
« O Mère céleste, Notre-Dame, vous qui avez donné à cette nation tant de gages insignes de votre prédilection, implorez pour elle votre divin Fils ; ramenez-la au berceau spirituel de son antique grandeur, aidez-la à recouvrer, sous la lumineuse et douce étoile de la foi et de la vie chrétienne, sa félicité passée, aidez-la à s’abreuver aux sources où elle puisait jadis cette vigueur surnaturelle, faute de laquelle les plus généreux efforts demeurent stériles, ou tout au moins bien peu féconds, qu’elle s’unisse à tous les gens de bien des autres peuples, parvienne à s’établir ici-bas dans la justice et dans la paix, en sorte que, de l’harmonie entre la patrie de la terre et la patrie du ciel, naisse la véritable prospérité des individus et de la société tout entière. Amen. »
Quand pourrait se produire cet [Ultima] Gesta Dei per Francos ?
« Influence communautaire »:
je suppose qu’on parle de l’influence de la communauté européenne sur le développement de l’île, n’est ce pas? ;-)
–> en photo de tête, on dirait un entrelac de Triskel celtique, je me trompe?
Mr X : oui c’est un entrelac de triskel celte, vous ne vous trompez pas ! Kentoc’h mervel eget bezañ saotret ! / Plutôt la mort qque la souillure ! – Breizh atao !! / Bretagne toujours !!
Ce qui est expliqué ici concernant l’Irlande ne peut vraiment se comprendre et prendre toute sa signification que resitué dans le cadre de ce qui est entrepris depuis des décennies à l’échelle de toute la planète : l’anéantissement programmé de l’ethnie européenne.
– Depuis l’Afrique du Sud et l’ensemble des colonies dont ont été progressivement chassés les colonisateur Européens…
– Jusqu’aux USA, où ce qu’on nomme le « deep state », ou « Etat profond » se consacre, à la fois par culpabilisation, limitation des naissances, métissage et invasion migratoire, au remplacement des Européens qui ont construit et donné une âme aux Etats Unis…
– Jusqu’à l’Europe sous domination du même « Deep state » américain, qui se voit imposé les mêmes méthodes, du wokisme au déferlement migratoire…
– Sans oublier ce qui est en fait une guerre civile imposée à ce qui fut l’Empire Russe…
C’est en fait à un génocide ourdi et perpétré au fil des siècles que l’on est confronté et qu’il faut donc dénoncer.
Mais, par souci d’efficacité, compte tenu de la toute puissance du conditionnement dont est victime l’opinion publique, il convient d’oublier – si toutefois c’est possible ? –
les « gros sabots » d’une certaine droite par trop candide, et d’agir en deux temps :
– D’abord en amenant le public à prendre conscience de ce génocide à l’échelle de la planète…
– Et après seulement, à l’amener progressivement à s’interroger sur le degré de haine obsessionnelle animant et désignant ceux à qui le crime profite.