Avez-vous remarqué comme les Woke ont généralement un physique peu attrayant ? Aussi bien les hommes que les femmes, les mâles étant en outre souffreteux, mal portant. Au plan mental, les Woke ne sont pas mieux lotis et sont généralement plus affectés par les maladies du cerveau. Tout se passe comme s’ils étaient victimes d’une dégénérescence génétique, c.à.d, de mutations défavorables.
Eh bien sachez que vos observations et impressions ne sont pas dépourvues de fondement. Il y a maintenant des preuves, des preuves statistiques selon lesquelles les personnes de gauche sont, pour dire les choses crûment, plus susceptibles d’être des mutants (ce qui est presque toujours une mauvaise chose en termes d’évolution) que les personnes de droite. Cette découverte a été faite par un jeune chercheur en informatique, Joseph Bronski.
Sous l’implacable pression darwinienne qui prévalait encore à la veille de la révolution industrielle, la sélection des sujets en bonne santé physique et mentale, en somme, génétiquement sains, jouait à plein. La sélection veillait également à favoriser le groupe dans son ensemble, n’étaient retenus que les gens sociables, équilibrés et doté d’un grand contrôle de leurs impulsions. Les groupes qui présentaient trop peu de ces caractéristiques de coopération interne étaient anéantis par ceux qui en présentaient davantage. Les individus déficients dans ces domaines étaient éliminés par le groupe. Ainsi, par le jeu de la rivalité entre groupes et entre individus, on aboutissait à des groupes sains composés d’individus sains.
À l’appui de cette hypothèse, Zakharin et Bates ont pu mettre en évidence que le caractère de sociabilité présenté par les individus reposait à 66 % sur des différences génétiques [Testing heritability of moral foundations : Common pathway models support strong heritability for the five moral foundations, By M. Zakharin and T. Bates, European Journal of Personality, 2023].
En outre, des études ont montré que les personnes de gauche ont un socle moral orienté vers l’individualisme, il valorise l’égalité et l’évitement des responsabilités, tandis que le socle orienté vers le groupe, dans lequel prédominent la loyauté et l’obéissance, est l’apanage des conservateurs. Ce qui revient à dire que les jugements moraux des gauchistes sont intéressés. Leur but est d’aider les individus moins talentueux, comme eux-mêmes, à s’élever dans la hiérarchie du groupe [Liberals and Conservatives Rely on Different Sets of Moral Foundations, J. Graham, J. Haidt and B. Nosek, Personality Processes and Individual Differences, 2009]. Zakharin et Bates (2023), cités plus haut, observaient quant à eux que 49 % de la variabilité des traits moraux chez un individu relevait de la variabilité des caractères génétiques.
Ainsi, dans l’ensemble, il ne faut pas s’étonner si les personnes qui sont moins orientées vers le groupe et plus individualistes aient une « charge mutationnelle » plus élevée que les personnes de droite. Nous avons été sélectionnés pour être très orientés vers le groupe, eux s’en éloignent. Ils sont plus susceptibles d’être les descendants de ceux qui seraient morts enfants sous un régime évolutif plus sévère, dans lequel la mortalité infantile atteignait 50 %, contre moins de 1 % dans les pays occidentaux aujourd’hui [Is Child Death the Crucible of Human Evolution? By T. Volk and J. Atkinson, Journal of Social, Evolutionary, and Cultural Psychology, 2008].
Dans mon récent livre Breeding the Human Herd: Eugenics, Dysgenics and the Future of the Species, je rassemble toute une série de preuves selon lesquelles le gauchisme est associé à une forte dérive génétique. Par rapport aux conservateurs, les libéraux ont des visages moins attrayants et moins symétriques, sont plus petits et moins musclés. Ces caractéristiques sont le corollaire d’un système immunitaire déficient, dû à une charge mutationnelle élevée, qui les a empêchés de conserver un phénotype symétrique, d’atteindre leur taille maximale ou d’accumuler des muscles, en effet, du fait de cette déficience immunitaire, ils doivent consacrer une part énorme de leurs ressources bioénergétiques à la lutte contre la maladie.
Comme je le note également dans mon livre, les gauchistes sont plus souvent atteints de maladies mentales (telles que la dépression), qui sont fortement génétiques, et ils sont plus susceptibles d’être athées – l’athéisme étant fortement lié au gauchisme; en outre, ils sont plus susceptibles d’être gauchers, ce qui implique un cerveau significativement asymétrique. Ainsi, la transmission héréditaire de l’orientation politique, comme je l’ai expliqué dans mon livre The Past is a Future Country: The Coming Conservative Demographic Revolution, peut être relativement significative, ce qui conforte l’idée que le gauchisme est en partie une fonction de la charge mutationnelle.
Cependant, on ne peut pas exclure qu’une partie au moins de ce relationnel gauchiste soit d’origine environnementale. Peut-être que le fait d’avoir ce genre de traits fait que les gens se sentent exclus ou inférieurs. Ils développent une rancœur à l’égard du monde qui leur donne envie de démolir toutes ses structures de pouvoir et ses traditions, les amenant à entretenir avec le gauchisme une sorte de relation symbiotique. Ce qu’il faut, c’est une preuve irréfutable que cette relation est génétiquement médiatisée. C’est exactement ce que Joseph Bronski semble avoir réussi.
Dans une étude publiée dans la revue Open Psych et intitulée Evidence for a Paternal Age Effect on Leftism, Bronski parvient à un résultat à la fois important et magnifique de simplicité. Il montre que les pères plus âgés ne sont pas plus susceptibles d’être de gauche que les pères plus jeunes, mais que les pères des enfants de gauche ont tendance à être plus âgés. La corrélation entre l’âge du père et le gauchisme est relativement faible, mais elle est statistiquement très significative, c’est-à-dire qu’il est très peu probable qu’il s’agisse d’un coup de chance. Cette découverte est essentielle car, en vieillissant, les hommes produisent de plus en plus de mutations de novo dans leur sperme, ce qui signifie que plus votre père est âgé, moins vous êtes susceptible d’être génétiquement sain en moyenne. Le fait que les pères plus âgés, sans être plus susceptibles d’être de gauche, soient plus susceptibles d’avoir une progéniture de gauche, démontre effectivement que le gauchisme est une fonction de la mutation, une fonction d’une mauvaise condition génétique.
Dans une autre étude, qui n’a pas encore été publiée et qui est disponible sur le site web de Bronski, il avance un argument que même moi – qui ai tendance à être favorable aux explications génétiques – j’ai trouvé surprenant: la montée du gauchisme en Occident au cours du siècle dernier peut être presque entièrement expliquée par l’augmentation de la charge mutationnelle; la montée, en d’autres termes, des mutants. Dans The Past is a Future Country: The Coming Conservative Demographic Revolution, je soutiens que l’augmentation de la charge mutationnelle fait partie de l’explication. Elle a conduit à l’apparition de personnes de plus en plus individualiste, jusqu’à ce qu’un point de basculement soit atteint, probablement vers 1963, modifiant suffisamment l’environnement pour que celui-ci vienne ajouter un effet boule de neige aux mutations purement génétiques. Une fois que le changement mis en branle, les plus intelligents – c’est-à-dire ceux qui sont mieux à même de sentir l’humeur générale de s’y conformer et d’en voir les avantages – ont commencé à s’emparer du gauchisme de manière opportuniste.
Cependant, dans son article intitulé On Evolutionary Pressure and General Leftism, Bronski soutient que la montée du gauchisme peut s’expliquer principalement, et non pas seulement partiellement, par des changements génétiques au sein de la population. En effet, il note qu’il existe deux pressions de sens opposé: les conservateurs ont tendance à avoir plus d’enfants et une augmentation des mutations, qui peut être quantifiée. Comme le résume Bronski :
En fixant le paramètre de l’héritabilité politique à 0,6, un niveau relativement faible, nous trouvons une pression de sélection de 0,076 écart type par génération en faveur de la poursuite de la tendance conservatrice. Mais compte tenu de la pression mutationnelle que nous avons déterminée à 0,22 écart-type dans la direction gauchiste, nous constatons que la somme de ces deux pressions explique de manière adéquate l’évolution générale vers le gauchisme de chaque génération au cours des 70 dernières années (0,15 écart-type par génération dans la direction gauchiste), ce qui indique que le changement politique occidental est uniquement dû à la pression évolutive. Selon une analyse inférentielle bayésienne*, il y a 95 % de chances, compte tenu de ces données, que 70 % ou plus de l’évolution observée du gauchisme soit due uniquement à la pression évolutive, à savoir la pression mutationnelle.
Si Bronski a raison, et ses données paraissent solides, l’implication est claire: la dérive gauchiste est fortement corrélée à l’apparition en masse de mutants génétiquement inaptes. Il est donc vain de dénoncer l’absurdité des arguments Woke puisque c’est en amont, dans la dégénérescence génétique, que se situe le problème.
Edward Dutton, 10 avril, 2024
Traduction : Francis Goumain
Source : We Shouldn’t Call Them “Woke,” We Should Call Them “Mutants” – The Occidental Observer
Théorème de Bayes — Wikipédia (wikipedia.org)
Note :
Voici un exemple simple d’inférence que permet le théorème de Bayes : Supposons qu’il y ait deux urnes contenant chacune 40 boules, la A contient 10 boules blanches et 30 boules noires, tandis que l’urne B contient 30 boules blanches et 10 boules noires: il est intuitivement évident que si on tire au hasard dans l’une des urnes – sans savoir laquelle – une boule blanche, on aura tendance à penser rétrospectivement qu’elle vient de l’urne B.
Article d’une sidérante vérité, la foule d’aujourd’hui – je ne parle même pas des arrivants – s’enfonce dans la laideur, on ne croise plus personne d’attractif.
Deux remarques quand même:
1 – Nous sommes en réalité tous concernés, le virage à gauche est général, les opinions d’un type de droite d’aujourd’hui passeraient pour d’extrême gauche il y a encore 50 ans.
2 – Comment se fait-il que la pression darwinienne ait finalement sélectionné les sociétés de gauche qui protègent et font prospérer les faibles plutôt que les sociétés de droite qui cherchent à protéger et à améliorer la race en beauté, intelligence et force?
Et merci pour cette traduction, l’article montre la capacité de la réinfo anglo-saxonne à avoir ses propres sujets et axes de recherches, elle ne passe pas son temps à dire « non » sur les sujets imposés par l’adversaire, il faut bien se dire que les dominants se moquent complètement qu’on dise « oui » ou « non », l’essentiel pour eux et qu’on reste dans leur sujet, sur leur terrain.
« gauche », « droite »sont deux boutiques dirigées par un même patron vendant de mêmes marchandises sous des emballages différents.
Aux dîtes, extrême gauche et extrême droite, c’est un peu la même chose, Nous avons, une fausse extrême droite et une fausse extrême gauche au service de mêmes maîtres et d’un même système. En dehors de ces partis, nous avons une vraie extrême droite et une vraie extrême gauche avec quelques individualités intéressantes : des hommes et des femmes qui pensent librement. Je ne me classe pas dans ces deux mouvances, mais je pense librement sur différents sujets. Bref, j’ai de la sympathie pour les personnes qui pensent librement avec lesquelles je puis être d’accord sur certains sujets.
Le wokisme pourrait m’être sympathique s’il ne mélangeait pas un peu tout Je suis d’accord pour que les minorités nationales obtiennent des droits égaux, par contre, pas pour l’attribution de droits spécifiques aux minorités inventées.
Excusez-moi, mais s’il y a bien quelqu’un de classé à gauche dans les commentaires sur ce site, au dernier degré je veux dire, la quintessence de la substantifique moëlle, à la limite de la caricature, c’est vous.
Vous avez parfaitement raison. S’il y a tant de « gauchistes » aujourd’hui, c’est que le pouvoir profond favorise ceux qui le sont. Professionnellement (ils font carrière), judiciairement (il ne sont jamais lourdement condamné). A un certain niveau de pouvoir, on n’est plus « gauchistes » par conviction, mais par opportunisme et conformisme. Ce que veux le pouvoir profond, c’est liquider les structures traditionnelles comme la famille et la nation. Je me méfie beaucoup de tous ceux qui se réclament du darwinisme qui à mes yeux est de la foutaise. C’est une théorie qui n’a jamais réussi à montrer un seul exemple de sa validité (contrairement à la théorie de la relativité par exemple). C’est CUVIER qui a raison, les espèces sont intangibles, elles ont été crées et ne sont nullement venues sur terre par hasard. Quand à la sélection naturelle, dans le monde animal, elle n’est valable que pour la reproduction. Les animaux vivant en meute (qui ont un comportement social) coopèrent.
Un article édifiant ! « Le gauchisme est une maladie mentale » est une phrase que je dis souvent, j’y ajouterai » & génétique » désormais ! Merci pour ces informations!
Comme le wokisme !
« Ni à droite, ni à gauche, mais en dehors et au dessus « . Pierre Drieu La Rochelle