La Commune de Paris privée d’un chef ? Blanqui fut arrêté la veille !
Il nous faut nous souvenir de la façon dont les évènements se mettent en place, hier comme aujourd’hui…
Nous allons fêter ce 18 mars 2021 les 150 ans de l’insurrection de la Commune de Paris. Une insurrection Populaire et Patriotique !
Deux points semblent essentiels à retenir :
– Pourquoi l’insurrection démarre le 18 mars ?
– Pourquoi faire arrêter Louis Auguste Blanqui le 17 mars ?
L’insurrection du peuple Parisien commence le 18 mars 1871 suite à la volonté du gouvernement d’Adolphe Thiers de leurs enlever armes et canons.
Le peuple refuse de se laisser faire et s’insurge. Les Versaillais se retirent et laissent Paris au peuple.
Le 17 mars 1871, veille de l’insurrection, Adolphe Thiers, fera aussi arrêter Auguste Blanqui alors qu’il se trouvait à Figeac, donc très loin de la capitale.
Thiers voulait ainsi priver l’insurrection qu’il allait provoquer, d’un éventuel chef, et pas n’importe lequel.
Blanqui c’est celui qui avait écrit sur la façon d’équiper les armées en armes modernes, et développé une stratégie pour défendre Paris face à l’armée Prussienne, alors que l’armée gouvernementale perdait bataille sur bataille.
Blanqui c’est aussi le résistant qui a tout au long de sa vie défendu le peuple et sa condition, notamment en préparant des hommes à se battre à travers des sociétés « secrètes » (société des familles et des Saisons). « Qui a du fer a du Pain ».
Le dernier enseignement est donc de comprendre que ceux qui sont au pouvoir agitent le Peuple pour mieux s’en servir.
Ceux qui pensent que les enseignements de la vie de cet éternel Révolutionnaire sont inutiles se trompent lourdement.
Car hier Thiers massacrait les Fédérés, et aujourd’hui Macron fait a fait tirer sur les Gilets Jaunes.
Roberto
Source : terreetpeuple.com
François Duprat « À une époque où les nationalistes français (de Dominique Venner à Xavier Vallat, en passant par François Brigneau et Lucien Rebatet), sont quasi unanimement en faveur de l’entité sioniste, François Duprat – appuyé par Maurice Bardèche et Pierre Sidos, ainsi que Henry Coston et Jacques Ploncard d’Assac – insiste sur l’importance de se positionner contre Israël et pour le monde arabe. » Ceci explique très bien pourquoi la belle droite a disparu au fil du temps. JMLP a peu à peu écarter tout ce qui était plus à droite que lui et ensuite Marine a écarté tout ce qui est plus à droite qu’elle.
Lire que Brigneau était sioniste m’apparaît un peu décalé
Mr de Marion…
Ce que certains ne parviendront apparemment jamais à admettre, c’est que la politique n’est pas un jeu de boys scouts…
Je puis en témoigner pour avoir côtoyé certains d’entre eux : Evidemment que ceux qui sont mis en accusation par le commentaire auquel vous répondez n’étaient pas – c’est le moins qu’on puisse dire !- aveuglés par une judéophilie débordante.
Mais il savaient simplement qu’une politique ne consiste pas à se piéger soi-même en fonction de « principes » définitifs évitant d’avoir à réfléchir, mais à s’adapter aux circonstances sans autre objectif que le maximum d’efficacité.
– Utiliser à notre avantage l’opposition d’Israël avec le monde Arabe à l’époque où nous étions nous-mêmes confrontés à l’expansionnisme arabo-musulman dans les années 1954 à 1962… Au nom de quelle sottise aurions-nous dû nous l’interdire ?
– Instrumentaliser aujourd’hui dans un contexte identique l’aversion réciproque des juifs et musulmans… pourquoi nous en refuser le bénéfice ?
Ou bien faudrait-il tenir pour non avenus les sempiternels préceptes de la politique et de la diplomatie :
– Renversements d’alliances..
– Diviser pour régner…
En résumé : sommes-nous vraiment condamnés à demeurer « la droite la plus bête du monde » ?
Si vous aviez la moindre connaissance du dossier et des personnages dont vous faites état, vous éviteriez de citer François Duprat et vous demanderiez pourquoi les commentaires ne sont pas ouverts sous la rubrique qui lui est consacrée aujourd’hui…
Pourquoi ? Pour éviter que soit rappelée la vérité le concernant : Duprat était un indic participant activement à la répression contre les militants de la cause nationale, aux ordres de Koch-Foccart, des Renseignements Généraux et de la DST. Et les positions extrêmes qu’il affectait de promouvoir dans la mouvance nationaliste avaient d’abord pour but de justifier cette répression.
A tel point que MEME DANS LES LIENS CITES EN REFERENCE SUR CE SITE, on peut entendre Emmanuel Ratier s’étonner que, malgré cette certitude le concernant, cet indic ait pu continuer à sévir aussi longtemps. Jusqu’au jour où…