C’est une citation sensationnelle pourtant très peu connue en France, cette déclaration de Benjamin Disraeli, Premier ministre (1868, puis 1874 – 1880) et un des fondateurs du Parti conservateur dans sa forme moderne : « The Lord deals with the nations as the nations deal with the Jews », qu’on peut aussi traduire par « Le Seigneur traite les nations comme les nations traitent les Juifs ». De la part de Disraeli, baptisé à l’âge de 13 ans dans la religion anglicane, cela revenait ni plus ni moins qu’à mettre le Dieu chrétien au service d’un suprémacisme juif. Une fois de plus, cela en dit long sur la valeur d’une conversion juive au christianisme : du pur opportunisme politique ou financier.
Une version plus moderne, au parallélisme encore plus net, serait : « The Lord deals with the nations as the nations deal with Israel ». À l’époque, Israël en tant que nation n’existait pas encore, pourtant, avec le recul de l’histoire, on ne peut que considérer l’aphorisme de Disraeli comme un prélude à la déclaration de Balfour en 1917.
Au départ, cette sortie de Disraeli (nom de naissance, D’Israeli – d’Israel) a dû être considérée comme plus ou moins blasphématoire – comme en témoigne cet autre épisode de sa carrière politique (source Wikipédia):
« En 1847, une crise politique souligna les différences de Disraeli avec son propre parti. Durant l’élection générale, Lionel de Rothschild avait été élu député de la Cité de Londres. En tant que juif pratiquant, il ne pouvait prêter serment sous la forme chrétienne imposée et ne pouvait donc pas siéger au Parlement. Le Premier ministre John Russell, qui comme Rothschild avait été député de la Cité de Londres, proposa à la Chambre des communes que le serment d’allégeance soit amendé pour permettre aux Juifs d’entrer au Parlement.
Disraeli défendit la mesure en avançant que le christianisme était le « judaïsme achevé » et demanda à la Chambre des communes : « Où est votre chrétienté si vous ne croyez pas en leur judaïsme ». Russell et son futur rival, William Ewart Gladsone, le félicitèrent pour cet acte courageux car son discours fut mal reçu par son propre parti. L’oligarchie conservatrice et anglicane était hostile à la loi et l’évêque d’Oxford Samuel Wilberforce insinuant que Russell récompensait ainsi les Juifs de l’aider à être élu. Le texte fut adopté à la Chambre des communes mais rejeté par la Chambre des lords.
À la suite du débat, Bentinck quitta la direction des conservateurs et fut remplacé par Charles Manners ; Disraeli, dont le discours avait été jugé blasphématoire par beaucoup au sein de son parti, fut écarté.
Mais ensuite, non seulement cette déclaration ne sera pas oubliée, honteusement effacée, mais elle sera reprise à son compte en 1905 par Winston Churchill (dont le père, déjà, était un fervent sioniste et un proche de Disraeli) : s’indignant des pogroms en Russie en 1905, Winston Churchill ressert la citation « Le Seigneur traite les nations comme les nations traitent les Juifs ». Dans sa bouche, ce commentaire est clairement à double tranchant promettant des difficultés aux nations qui opprimeraient leurs populations juives, mais aussi la bénédiction à celles qui les défendraient.
Or, Churchill avait combattu dans la guerre des Boers (1899 – 1902), une guerre largement à l’initiative de la City déjà largement pénétrée par des gens comme Barney Bernato (Isaac Barnett), Alfred Beit, Lionel Phillips, Ernest Cassel et, bien sûr, les Rothschild. Cela aurait pu être l’occasion pour lui de proposer une terre africaine aux Juifs, mais justement non, Churchill s’opposait à l’idée de trouver un foyer de substitution en Afrique de l’Est, envisagée à l’époque par certains cercles juifs, privilégiant la Palestine alors même qu’elle faisait encore officiellement partie de l’Empire ottoman. Il conclut ses remarques de 1908 comme suit : «Jérusalem doit être le seul but ultime. Quand exactement il sera atteint, il est vain de le prophétiser ; mais qu’il le sera un jour est l’une des rares certitudes de l’avenir».
En 1908, neuf ans avant que cela ne devienne la politique britannique, dans un message à la Fédération sioniste anglaise de Manchester, lu en son absence, Churchill affirmait : « Je suis en totale adéquation avec les aspirations historiques traditionnelles des Juifs ».
Disraeli lui-même avait visité Jérusalem en 1831 et écrit par la suite un roman sur l’histoire d’un Juif de Bagdad qui rêvait de ramener son peuple à Jérusalem pour restaurer son « existence nationale ».
Il est assez significatif que le Juif du roman de Disraeli était un Bagdadi et non un Londonien, ceci confirme une chose : le sionisme n’est pas du tout une solution au problème juif en Europe, en réalité, l’influence juive en Occident avance de pair avec le sionisme.
Sources :
Columbia Magazine Review: « Churchill’s Promised Land » | Columbia Magazine
En matière de lutte pour la conquête de l’opinion publique, qui conditionne succès ou échecs politiques, citer les penseurs de son propre camp, diabolisés par l’adversaire, est aussi inefficace que naïf.
L’une des bases de la contrepropagande la plus efficace consiste au contraire à citer des gens inattaquables par l’adversaire.
C’est le cas de Benjamin Disraeli dont il est utile de rappeler l’aphorisme célèbre :
« LA RACE EST TOUT ! IL N’Y A PAS D’AUTRE VERITE ! ET TOUTE NATION ABANDONNANT SON SANG A DES MELANGES EST DESTINEE A PERIR »
C’est aussi Benjamin Disraeli qui a dit : « LE MONDE EST DIRIGE PAR DE TOUT AUTRES PERSONNAGES QUE L’IMAGINENT CEUX DONT LE REGARD NE PARVIENT PAS DANS LES COULISSES DU POUVOIR »
D’où il appert que, cité à bon escient, Disraeli peut s’avérer utilisable…
Cette citation affirmant que « LA RACE EST TOUT » est tout de même plus audible par le public soumis aux ukases de la doxa médiatique que si elle était signée… Adolf Hitler ! Alors que c’est assurément le plus exact résumé de la pensée Nationale Socialiste…
Pas tout à fait. La pensée d’Hitler, c’est:
La race Aryenne est tout.
ETAIT-IL NECESSAIRE DE PRECISER QUE, QUAND ON ESTIME QUE « LA RACE EST TOUT », CHACUN PENSE EN PRIORITE A PRESERVER LA SIENNE ?
Le Benjamin d’Israël, c’est Netanyahou.
Pas de danger qu’il dise:
« Dieu traite les nations comme les nations traitent les Palestiniens »
Les peuples « occidentaux » ( et pas seulement) n’ont toujours pas pris conscience de leur degré de servitude et de servilité, face à ce qui nous est présenté (et imposé), quotidiennement comme » la référence », « le modèle ».. Ils ont « oublié »d’être eux-mêmes et de penser par eux-mêmes, au lieu de « penser » qu’à travers les convenances et les exigences du « modèle ».
Quant au degré de servitude, ce n’est pas faute d’avoir été prévenus, mais encore faut-il se donner la peine d’aller chercher les informations, notamment lorsqu’elles proviennent de nos adversaires :
CE QU’IS DISENT SUR LA DESTRUCTION PROGRAMMEE DES NATIONS :
« Le verrou qu’il faut faire sauter à présent, c’est la Nation ! Et par là notre conception de la République… »
Edmond de Rothschild, dans la revue ENTREPRISE, n°775 du 18 juillet 1970, page 64, 2ème colonne.
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« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »
David Rockefeller, Commission Trilatérale, Baden-Baden, Allemagne, 1991.
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« Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique Est-ce que j’entends par là une conspiration ? Oui, en effet. Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. »
Lawrence Patton McDonald (1935-1983), dans un message diffusé en 1976. Ce congressiste américain fut tué dans l’attaque d’un vol de la Korean Airlines…
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« Le Council on Foreigns Relations est la branche américaine d’une société d’origine Anglaise qui croit que les limites nationales devraient être abolies, et un règne mondial unique établi. »
Barry Goldwater (1909-1998), Sénateur de l’Arizona et candidat à la présidence des USA en 1964
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En ce qui concerne Adolf et Benjamin, je vous conseille la lecture d’un livre de Kevin Mc DONALD (je ne me rappelle plus le titre mais il disponible chez AKRIBEIA). Les concepts de race supérieure et de peuple élu sont identiques. Le but d’Adolf, c’était de réduire en esclavage les européens dépourvus de certificat d’aryanité et le but de ceux qu’on ne peut nommer, si l’on en croit Voltaire (lire absolument Voltaire antijuif d’Henri LABROUE disponible chez DUALPHA), ça serait de diriger le monde : « Ils doivent croire et ils croient en effet, qu’un jour leurs prédictions s’accompliront et qu’ils auront l’empire du monde ». C’est rigolo qu’une personne dont à coup sûr les écrits tomberaient sous le coup de la loi PLEVEN repose au Panthéon, à quelques pas de Simone VEIL. Mais aucun risque que cela ne se sache, nos compatriotes sont bien trop ignares.
Vous avez bien raison concernant VOLTAIRE !
Citations tirées de l’édition 1805 de l’Essai sur les Mœurs et l’esprit des Nations
« Toujours avides du bien d’autrui, toujours barbares, rampants dans le malheur, et insolents dans la prospérité, voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres. » (Tome 1 page 186)
« On ne voit, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l’hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d’exercer l’usure avec les étrangers ; et cet esprit d’usure, principe de toute lâcheté, est tellement enracinée dans leurs cœurs, que c’est l’objet continuel des figures qu’ils emploient dans l’espèce d’éloquence qui leur est propre. » (Tome 2 page 83)
Voir aussi ici:
https://jeune-nation.com/kultur/culture/voltaire-etait-il-revisionniste
Juste deux extraits:
« Si les Juifs ont mangé de la chair humaine. Parmi vos calamités, qui m’ont fait tant de fois frémir, j’ai toujours compté le malheur que vous avez eu de manger de la chair humaine. Vous dites que cela n’est arrivé que dans les grandes occasions, que ce n’est pas vous que le Seigneur invitait à sa table pour manger le cheval et le cavalier, que c’étaient les oiseaux qui étaient les convives ; je le veux croire. »
« Si les dames juives couchèrent avec des boucs. Vous prétendez que vos mères n’ont pas couché avec des boucs, ni vos pères avec des chèvres. Mais dites-moi, messieurs, pourquoi vous êtes le seul peuple de la terre à qui les lois aient jamais fait une pareille défense ? Un législateur se serait-il jamais avisé de promulguer cette loi bizarre, si le délit n’avait pas été commun ? »