QUAND un policier ne se suicide pas (voir dans ce numéro l’article de François-Xavier Rochette sur la recrudescence des suicides de policiers et de gendarmes), il est pour les pouvoirs publics un suspect en puissance. Le 23 novembre, un policier a ainsi été condamné à six mois de prison ferme pour avoir simplement giflé un migrant qui le menaçait. Les faits se sont déroulés à l’été 2016, dans un centre de rétention près de Calais. Un agent de la police aux frontières assurait l’escorte de ce migrant jusqu›en salle de jugement du centre de rétention administrative de Coquelles. Juste avant le passage devant le juge des libertés et de la détention, il lui a été reproché d’avoir giflé le migrant, sous les yeux d’une greffière qui a ensuite témoigné contre lui. « C’était un geste malheureux de protection, il n’a pas voulu gifler » a assuré Antoine Deguines, l’avocat du policier. Cette personne était assez agitée, elle se relevait tout le temps, il a craint un coup de tête et a allongé le bras qui est allé sur le visage de la personne. » Le policier quadragénaire s’est également vu interdit de détention d’arme pendant cinq ans, et interdit de fonction publique pendant deux ans avec sursis.
Ce jugement ahurissant, en tous points conforme aux réquisitions du Parquet, montre que nous vivons vraiment dans un pays d’aliénés. Un immigré clandestin, qui par définition n’a aucun doit à rester en France et qui est donc un délinquant (il est dans l’illégalité) est davantage défendu, protégé, considéré qu’un policier assermenté. Et le plus piquant peut-être dans cette affaire, c’est que l’agent de police est dénoncé par la greffière alors qu’il escorte au tribunal un délinquant ! Cet épisode apparemment anecdotique en dit long sur l’état de décrépitude des institutions, des mœurs et des consciences au plus haut niveau de l’Etat, et singulièrement dans la magistrature. Il faut dire que les juges sont formatés et déformés pendant leurs études à l’Ecole nationale de la magistrature, très politiquement correcte et gauchisante et par l’extrême et scandaleuse syndicalisation de la profession. On ne dit pas assez qu’un tiers au moins des magistrats sont affiliés au Syndicat national de la magistrature qui se situe résolument à la gauche du Parti socialiste et qui présentait naguère en une de sa revue un policier dessiné sous les traits d’un cochon, preuve de la grande estime que portent ces juges rouges aux forces de l’ordre. Lorsque l’on tombe dans leurs mains, on sait que l’on ne va pas en sortir indemne, puisqu’ils appliquent sans remords la guillotine sèche !
LA MALFAISANCE et la nocivité des lobbies s’additionnent. Lorsqu’il n’est pas question du gentil migrant forcément victime et agressé par un méchant policier de souche, c’est le juif, forcément innocent et lui aussi victime, sur lequel se penche avec tendresse le media obèse. Pour avoir publié un tweet jugé antisémite (mais qui ne l’était pas) et qui représentait Emmanuel Macron avec au bras un brassard sur lequel le symbole dollar remplace la croix gammée avec derrière le chef de l’Etat trois membres de la communauté juive (Patrick Drahi, Jacob Rothschild et Jacques Attali) sur fond de drapeaux américain et israélien, le socialiste Gérard Filoche, membre du PS depuis 23 ans et représentant de son aile gauche, a été exclu toutes affaires cessantes. Le coordinateur du PS, Rachid Temal, a justifié cette exclusion : « La famille socialiste a été durement marquée par ce tweet antisémite. Nous touchons à l’essentiel même de nos valeurs, parmi lesquelles les valeurs de la République, l’humanisme, le combat contre le racisme et l’antisémitisme. Il n’est pas possible qu’un dirigeant du Parti socialiste puisse tweeter ce tweet qui reprend les codes antisémites des années 30. Ce soir le PS a pris la seule décision qu’appelait ce tweet. » Bien que Filoche ait immédiatement supprimé son tweet et qu’il ait fait repentance, on lui a coupé la tête sans hésitation. On le voit, on ne badine pas avec un certain sujet sulfureux. Le PS est vraiment le caniche du CRIF, à l’instar de tous les partis politiques français ayant pignon sur rue.
Et quand on ne procède pas par exclusions, par anathèmes, on pousse des hurlements et on multiplie les glapissements. L’autre jour c’était l’horreur à Marseille. Non seulement Dieudonné y faisait un tabac sur scène, mais les devantures de la ville étaient recouvertes de grands tags de couleurs variées où l’on lisait invariablement le mot “Juif”. Valls n’a évidemment pas tardé à désigner le coupable de ces ignominies : Dieudonné. Dénonçant « des inscriptions antisémites », le Crif Marseille-Provence avait annoncé porter plainte. Patatras : devant l’ampleur prise par l’affaire, le tagueur s’est dénoncé à la police. C’est un membre de la communauté juive qui a déclaré avoir réalisé ces tags, paraît-il sans aucun objectif politique. En attendant, après l’auto-mutilation d’un rabbin marseillais qui accusait des musulmans de l’avoir poignardé, et plusieurs affaires du même acabit, on est en droit de se poser la question de la santé mentale de certains membres de la confrérie de la souffrance éternelle.
DEPUIS QUELQUES années, voire plusieurs décennies, se sont en effet multipliées des affaires aussitôt présentées par la presse écrite et audiovisuelle, par les milieux politiques, les gouvernements successifs, les présidents de la République qui se sont succédé et les représentants officiels des différentes religions comme une abominable résurgence de l’antisémitisme. Or, à chaque fois, sans la moindre exception, l’enquête policière a prouvé, et en général assez rapidement, que les divers incendies et agressions criminels n’étaient ni de près ni de loin liés à une quelconque haine des juifs. Il s’agissait soit de déséquilibrés qui, dans notre société déstructurée, sont hélas de plus en plus nombreux, soit d’individus avides de faire parler d’eux dans les grands media, soit carrément de juifs eux-mêmes désireux de susciter une intense émotion populaire en se faisant passer pour des victimes de la Bête immonde.
Rappel de quelques faits : en janvier 2003 le rabbin Gabriel Farhi prétend avoir été blessé d’un coup de couteau dans sa synagogue et indique que son agresseur lui a crié : « Allahou Akbar ». L’enquête prouvera que le couteau de cuisine venait directement de la synagogue et qu’il s’agit d’une automutilation. Quelques mois plus tard, Alex Moïse, le porte-parole du Likoud en France, qui a été en pointe dans la campagne anti-Dieudonné, menaçant de faire sauter les théâtres où l’humoriste devait se produire, affirme recevoir sur son téléphone portable des appels anonymes avec menaces de mort et insultes antisémites. Là encore, les policiers qui ne s’en laissent pas conter — ils sont habitués aux affabulateurs ! — s’aperçoivent très vite que c’est Alex Moïse lui-même qui s’envoyait ces messages haineux. Le mythomane (et/ou provocateur) a d’ailleurs été condamné le 4 mai 2004 par le tribunal correctionnel de Paris à une (faible) amende et à deux mois de prison assortis du sursis. En décembre 2003, l’école Marzaka Thora de Gagny en région parisienne prend feu. Les media s’enflamment, le Premier ministre de l’époque, Jean-Pierre Raffarin, sans attendre le résultat de l’enquête, connaît le mobile du crime : l’antisémitisme bien sûr. Et sur-le-champ le chef du gouvernement crée un Comité interministériel de lutte contre l’antisémitisme. Quelques semaines passent et Le Figaro puis L’Express laissent clairement entendre qu’il s’agirait d’une escroquerie à l’assurance. Les responsables loubavitch de l’établissement sont en effet perclus de dettesc l’incendie est providentiel.
Mais c’est sans aucun doute l’affaire du RER D en juillet 2004 qui suscite la plus folle effervescence. Le président de la République de l’époque, l’inénarrable Jacques Chirac, dénonce aussitôt « un acte inqualifiable » de concert avec son ministre de l’Intérieur Dominique de Villepin. Pourtant, dès le départ, les enquêteurs ont des doutes très sérieux sur la véracité du témoignage de Marie Leblanc, une jeune femme qui prétend avoir été déshabillée par un groupe de Beurs et de Blacks qui l’ont prise pour une juive (ce qu’elle n’est pas) parce qu’elle habitait le XVIe arrondissement, avant que ces derniers ne lui dessinent des croix gammées sur le ventre, et tout cela sans qu’aucun voyageur ne réagisse alors même que la scène aurait duré une quinzaine de minutes. Or non seulement aucun témoin ne confirme sa version des faits mais encore la donzelle est connue pour être mythomane. Nicole Guedj, secrétaire d’Etat aux droits des victimes, fait encore plus fort en rencontrant la prétendue victime, en lui téléphonant et en accordant crédit à une histoire inventée de toutes pièces.
Naturellement, une fois la supercherie rendue publique, elle ne songera pas à démissionner du gouvernement ni les autorités politiques à présenter des excuses. Au contraire… Jacques Chirac, lors de son intervention télévisuelle le 14-Juillet 2004, refuse d’esquisser toute forme de mea culpa. Il est, semble-t-il, des repentances plus faciles à faire que d’autres ! Quant au député libéral Claude Goasguen, qui avait profité de l’émotion suscitée par le témoignage de Marie Leblanc pour justifier la politique de répression d’Ariel Sharon dans les territoires occupés, il s’est lui aussi bien gardé par la suite d’infirmer ou d’atténuer ses propos.
CES BOULETTES successives de la part des media et surtout de nos dirigeants politiques allaient-elles enfin cesser ? La prudence serait-elle désormais de mise ? Point du tout, à en juger par l’affaire du centre social juif de la rue Popincourt dans le XIe arrondissement, incendié dans la nuit du 21 au 22 août 2004 et maculé de croix gammées et d’inscriptions antisémites. Là encore, obéissant à un réflexe pavlovien, Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin avaient aussitôt tenu leur discours habituel, qui ne répugne ni à la redondance ni à l’hyperbole. Craignant d’être accusés de n’en pas faire assez et donc d’être responsables de la montée supposée de sentiments et d’actes anti-juifs, les pouvoirs publics s’emballent de façon tout à fait déraisonnable et précipitée. Leurs cris d’orfraie ne suffisent d’ailleurs pas à leur valoir l’indulgence des milieux communautaires qui en veulent toujours plus. A preuve les sévères remontrances du ministre des Affaires étrangères israélien de l’époque, Sylvan Shalom, venu exprès sur place pour stigmatiser la torpeur des autorités françaises devant les supposés ravages de l’antisémitisme.
Cette insupportable ingérence de l’Etat hébreu dans les affaires intérieures de la France, cette façon de faire la leçon et de porter des accusations publiques aussi graves qu’infondées, outre qu’elle démontre à quel point l’entité sioniste se croit tout permis et de fait se permet tout, n’est d’ailleurs pas une première puisque Ariel Sharon avait en son temps encouragé les juifs de France à faire leur alyah à cause de la prétendue explosion de l’antisémitisme dans notre pays. Que le discours de feu le Premier ministre israélien s’expliquât en grande partie par la nécessité dans laquelle se trouvait Israël de faire appel à du sang frais, les juifs craignant le dynamisme démographique des Palestiniens et des Arabes de nationalité israélienne alors même que le pays a connu et connaît encore de sérieuses difficultés économiques et s’interroge de plus en plus sur son avenir, cela ne fait guère de doute. Mais Sharon aurait certainement eu moins d’audace si nos propres décideurs n’avaient la détestable manie de crier au loup antisémite à tort et à travers. Car, une nouvelle fois, le loup n’y était pas. Le CRIF avait eu beau écrire dans un communiqué péremptoire qu’« il ne peut y avoir de doute sur les motivations stupides et criminelles de ceux qui brûlent un restaurant du cœur en inscrivant des graffiti antisémites : c’est bien la haine des juifs qui les anime », l’incendiaire du centre social n’est autre qu’un SDF juif alors âgé de 52 ans et né au Maroc. Raphaël Benmoha (cf. Le Monde du 2 septembre 2004). Il s’en était pris à ce bâtiment pour se venger des « rabbins qui ont plein d’argent » (sic !), comme il l’avait expliqué aux policiers qui avaient retrouvé chez lui deux marqueurs de couleur rouge et noire avec lesquels il avait écrit les grossières inscriptions émaillées de graves fautes d’orthographe : « les juifs dehors », « sans les juives, le monde serait heureux », « Itler = la France », « Vive l’islames ».
Mieux, ce sépharade déséquilibré était un familier du centre puisqu’il avait fait faire un double des clés. Licencié plus de dix ans avant son méfait de son emploi de gardien de nuit de l’ex-foyer pour jeunes femmes juives de la rue Domrémy à Paris, dans le XIIIe, il en aurait voulu à la communauté juive bien que celle-ci, très charitable envers les siens (ce qui est d’ailleurs tout à son honneur), l’eût nourri, logé puisqu’il prenait ses repas gratuits dans un restaurant casher de la rue Popincourt et avait été placé par un rabbin à titre gracieux dans un studio du IIIe arrondissement. L’affaire est en fait encore plus rocambolesque puisque cet individu aurait été directement influencé par un épisode de la série télévisée PJ passé en 2003 sur France 2 qui racontait l’histoire d’un ex-employé mettant le feu à ce même centre social juif de la rue Popincourt parce qu’il avait été mécontent d’en avoir été renvoyé ! La réalité a donc rejoint la fiction ! Raphaël Benmoha mis en examen et écroué pour « incendie volontaire » avait toutefois un avantage : sa peine ne risquait pas d’être aggravée à cause de motivations racistes, et pour cause !
Et que dire de l’affaire Michaël Chotron, dit Phinéas, jeune déséquilibré qui, n’étant pas parvenu à faire parler de lui en agressant un Maghrébin à coup de hachette, s’est attaqué à un cimetière juif, sûr alors de provoquer l’écho médiatique qu’il appelait de ses vœux ? Dans ce fait divers, point non plus de mobile antisémite mais seulement un désir hypertrophié de faire parler de soi. Reste que tout ce tintamarre est profondément lassant et à terme ne peut que développer dans la population un antisémitisme que l’on prétend combattre par tous les moyens, législatif, judiciaire, par la pression médiatique, l’enseignement de l’antiracisme et la « transmission de la Shoah » à l’école, les spectacles et les variétés. On peut d’ailleurs se demander si ce n’est pas là la stratégie cynique d’un certain nombre de dirigeants de la communauté qui, en créant de toutes pièces un climat malsain, renforce la cohésion de juifs beaucoup moins monolithiques qu’on ne le croit généralement, et leur phobie de la persécution. On l’a souvent remarqué : lorsque des événements graves la menaçant se produisent, une communauté, nationale, religieuse ou ethnique a naturellement tendance à faire bloc autour de ses dirigeants. Lesquels ont donc tout intérêt, s’ils sont machiavéliques, à développer une stratégie de la tension et donc de la provocation. Et que dire de l’auteur de Survivre avec les loups dont l’histoire présentée comme vraie est une pure fiction, où il s’agit toujours d’en rajouter dans l’horreur dès que l’on aborde « les heures les plus sombres de notre histoire » ?
CE QUI EST désolant (mais hélas nullement surprenant), c’est de voir les grands organes d’information et l’ensemble de l’Etablissement politique, religieux, syndical, culturel et associatif, agir en automates au risque de sombrer chaque fois dans le ridicule et le grotesque. Est-ce parce qu’ils manquent d’esprit critique, d’intelligence ? Probablement pas. La vérité, c’est qu’ils ne sont pas libres. Ni envers les lobbies qui les ont fait rois. Ni envers l’idéologie dominante qui professe que l’antisémitisme est le crime le plus abominable qui soit. Ils ne sont pas courageux. S’ils l’étaient, ils ne seraient pas arrivés aux postes qu’ils occupent, la course aux honneurs exigeant plus que jamais aujourd’hui toutes sortes de compromissions et de soumissions serviles.
Il est pourtant assez facile de savoir si une agression raciste ou antisémite est vraie ou non : dès qu’il est question de graffiti ostentatoires, a fortiori de mutilations, de tatouages, de lacérations, de déguisements loufoques, il est à peu près certain qu’il s’agit de forgeries. Qui ne se souvient des agressions bidon qui avaient suivi en mai 1990 l’affaire de la profanation des tombes juives de Carpentras et la fantastique orchestration politico-médiatique à laquelle elle avait donné lieu ? En quelques semaines, les faits divers plus abracadabrantesques les uns que les autres se multiplièrent.
En Avignon une Antillaise, Anne M., prétendait avoir été tondue au seul motif qu’elle était noire. En fait, l’adolescente avait prié son petit ami, apprenti-coiffeur, de lui faire une coupe de cheveux ressemblant à celle de son idole, la rockeuse noire Grace Jones. Le résultat s’étant révélé calamiteux, elle avait imaginé l’agression raciste qui avait agité tout le milieu germano-pratin, L’Humanité se distinguant par sa une avec un seul mot sur toute la page : “Tondue”. Les communistes n’ont pourtant pas toujours été aussi soucieux de la chevelure féminine, que l’on songe à leurs méthodes détestables à la “Libération” ! De même, à Villeneuve-d’Ascq, pour éviter de passer ses examens, un étudiant avait simulé, mini-mutilation à l’appui, un attentat nazi. A Grenoble, une Maghrébine avait prétendu avoir été rouée de coups par des fachos, au Havre une enseignante disait avoir été attaquée par des individus portant le foulard du Front national (!) alors que les deux jeunes femmes avaient plus prosaïquement été victimes d’une querelle domestique !
LES FAUSSES agressions à caractère raciste ou antisémite ne datent donc pas d’hier. Ceux qui donnent prise à de telles affabulations ou à de telles provocations sont donc sans excuses. Et cela d’autant plus qu’en surmédiatisant tous ces pseudo-faits divers, on ne consacre que peu de place et de temps à des crimes, eux horribles et vrais. Ainsi, comme l’avait judicieusement remarqué dans un communiqué Jean-Marie Le Pen au plus fort de l’hystérie dans l’affaire du RER D, les media n’avaient que fort peu parlé des deux fillettes alsaciennes violées, effroyablement mutilées et assassinées alors que ces crimes atroces étaient objectivement beaucoup plus graves que l’“agression” du RER, même si celle-ci avait été authentique. Les politiques ont fait encore pire puisque ni le président de la République ni le Premier ministre n’avaient à l’époque rédigé de communiqués pour dire leur horreur et leur épouvante et Nicole Guedj, alors secrétaire d’Etat aux victimes, n’était pas venue témoigner sa compassion et celle de la nation aux parents éplorés. Les choses ne se sont pas arrangées depuis, bien au contraire puisque nous vivons plus que jamais en plein judéocentrisme. Et ce n’est pas de l’actuel chef de l’Etat que l’on peut attendre un changement. Macron est encore plus soumis que ses immédiats prédécesseurs au « lobby puissant et nocif » comme en témoignent toutes les génuflexions et reptations qu’il a multipliées avant même son élection, d’Oradour-sur-Glane au mémorial de la Shoah. Mais l’Elysée, il est vrai, était à ce prix.
Éditorial de Rivarol n°3307 du 29/11/2017
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