La seconde galette des Rois nationaliste du PNF Lorraine (Lorraine Nationaliste) fut un franc succès !
Le samedi 30 janvier 2016, jour d’anniversaire de la condamnation de deux militants du PNF Lorraine par le TGI de Nancy, étaient invitées sur la terre de la pucelle d’Orléans de hautes personnalités nationalistes.
L’équipe et les amis du PNF ont ainsi célébré la traditionnelle fête de l’Épiphanie autour d’une riche conférence formative.
Le militant parisien Florian Rouanet, secrétaire national des Amis de Pierre Sidos, ouvrit les interventions sur le thème « La franc-maçonnerie : l’Anti-France ». Notre ami exposa les prémices de la maçonnerie et de ses alliées en Europe, allant de sa création, de son rôle prédominant dans la Révolution bourgeoise dite « française » de 1789, et de son influence mortifère dans notre civilisation blanche contemporaine.
François Ferrier, président des Amis de Pierre Sidos, succéda à notre camarade devant l’auditoire. Ce dernier fit un point sur l’actualité démontrant la situation catastrophique de notre pays, rigoureusement mis en place depuis des décennies par une poignée d’oligarques apatrides. L’immigration massive ayant pour finalité le remplacement de population fut dénoncée comme le problème majeur. L’urgence est telle que si les flux migratoires ne s’inversent pas rapidement, l’homme blanc disparaîtra totalement de ses propres nations, bâties par la sueur et le sang de ses Pères. Le vieux militant lorrain annonça au cours de son discours la tenue d’une commémoration en Meuse, dimanche 21 février 2016, célébrant le centenaire de la bataille de Verdun. Les informations nécessaires à la présence de nombreux Français non reniés désireux de rendre hommage au courage du Maréchal Pétain seront données rapidement.
Une pause eut ensuite lieu et une collation a été distribuée. Cidre, part de galette et ambiance bleu blanc rouge sont venus revigorer les participants, qui ont pu faire leurs achats au stand, proposant matériel militant et objets divers et variés. Nous remercions les Caryatides de la section Lorraine pour leur investissement dans l’aide apportée pour l’organisation de cette journée de camaraderie.
Par la suite, Yvan Benedetti, modèle de courage pour beaucoup, que l’on ne présente plus, exhorta les militants à donner le meilleur d’eux-mêmes pour cette nouvelle année d’espérance qui commence. Le directeur du journal Jeune Nation invita les curieux ayant déjà franchi le cap de présence à rejoindre la grande famille du nationalisme. L’union fait la force, et Dieu sait que nous avons besoin de celle-ci pour vaincre, terrasser, éliminer définitivement le mal rongeant de l’intérieur notre France éternelle. Pour ce faire, nous avons besoin de soldats politiques se tenant sur leurs deux jambes, l’une la réflexion, l’autre l’action, si l’un de ces deux membres n’est plus en activité, la productivité en sera amputée. Yvan Benedetti termina son discours sur la situation dramatique de la famille Le Pen, la fille n’ayant pas hésité à tuer le père physiquement et politiquement pour écraser la « diabolisation faite homme », et ainsi mieux servir son maître, le système, que les Français authentiques ne peuvent que haïr au plus haut point.
André Gandillon, secrétaire général du PNF et rédacteur en chef de la revue Militant, clôtura les interventions en opérant à l’autopsie des problèmes sociaux économiques dévastant depuis trop longtemps la société française. Pointant du doigt le mercantilisme destructeur et s’appuyant sur les grands principes du PNF énoncés lors du congrès ayant eu lieu le 31 octobre et 1er novembre 2015, notre invité d’honneur appela de ses vœux à ce que chacun sorte impérativement du système, luttant à l’extérieur et non à sa périphérie.
Les intervenants ont pris le temps de répondre aux questions du public, attentif tout le long et soucieux de préserver leur civilisation française, blanche et catholique. Nous remercions la participation de plusieurs délégations régionales du PNF, dont celle du Rhône-Alpes et de l’Alsace.
Au cours de cette réunion, une antenne officielle nancéienne du PNF a été fondée sous les conseils de nos responsables. Nous avons terminé par le chant des nationalistes et Les Lansquenets joués à l’accordéon par notre musicien, qui ne cesse de s’améliorer.
Qui vive ? France !