Une fusillade s’est déroulée dans la cité envahie des Bleuets dans le XIIIe arrondissement de Marseille dans la nuit de vendredi à samedi. Le trafiquant de drogues visé a reçu trois balles dans le corps. Transporté à l’hôpital par des individus qui se sont enfuis immédiatement après avoir déposé l’individu agonisant, son décès a été rapidement constaté.
Un réseau avait été démantelé un mois plus tôt dans la cité, laissant la place à une guerre entre concurrents restants, les autorités refusant de prendre la mesure du drame et se refusant à prendre les décisions radicales qui s’imposent, à commencer par l’expulsion des millions d’étrangers ainsi que leur propre dissolution et le châtiment des pires responsables.
Selon notre décompte, il s’agit au moins du quatorzième meurtre de ce type dans la région marseillaise depuis le début de l’année. Nous ne sommes qu’en juin, et ce chiffre égale déjà le bilan constaté sur toute l’année 2014.
C’est pourtant à Marseille qu’est venu se promener à plusieurs reprises Manuel Valls cette année pour y prétendre que la criminalité et la délinquance étaient en baisse dans la région et particulièrement dans l’une des villes les plus envahies de France.
L’une de ces visites, en février, avait d’ailleurs été marquée par une nouvelle fusillade. Un gang d’une dizaine d’Albanais avait ouvert le feu en pleine journée dans la cité de La Castellane, tout près d’une école, avant d’ouvrir le feu sur une patrouille de police, lancée follement au milieu de la fusillade par le directeur de la police à Marseille.
Très actifs pour parader au festival de Cannes, à Roland Garros, dans les finales organisée par la mafia footballistique et pour se faire prendre en photo en train de serrer la main à des individus ayant violé les frontières de la France, méprisant et insultant nos lois, ni Manuel Valls ni Bernard Cazeneuve n’ont réagi à cette heure.