Alors que les médias européens serviles à la mondialisation capitaliste prédatrice hurlent au chaos à la moindre décision protectionniste, la politique de Donald Trump apparaît, pour qui sait voir, comme une stratégie de salut national. En réintroduisant les droits de douane, Trump ne fait rien d’autre que de défendre les intérêts de son peuple. Il remet au centre du jeu l’État, la souveraineté et l’idée même de nation. Une révolution silencieuse est peut-être en marche, un basculement géopolitique majeur. L’Europe, et en particulier la France, ferait bien de s’en inspirer avant qu’il ne soit trop tard.
Un capitalisme enraciné, patriote et productif
Trump ne cherche pas à détruire le capitalisme, mais à le purger de ses dérives financiaristes et mondialistes. Il promeut un capitalisme national, productif, où l’entreprise n’est pas un outil de délocalisation, mais une force au service de la communauté nationale. C’est le retour à l’économie réelle, celle qui donne du travail aux Américains, qui produit sur le sol national, et qui paie ses impôts au Trésor américain.
Nous, Français, avons connu cela. Avant Maastricht, avant Bruxelles, avant la trahison des élites, la France était un pays souverain, fier, producteur. C’est une voie telle que Trump montre du doigt.
« La France s’est profondément affaiblit sur des tas de sujets , elle est devenue une nation sous perfusions financières, pendant les années glorieuses, après guerre, elle rayonnait dans le monde par son dynamisme industriel mais elle va disparaître si elle continue sans relâche de faire venir des populations trop différentes des ses mœurs et notamment religieuses… Ce conflit, de cultures très différentes, va la tuer. Notre président fait en sorte que des millions d’illégaux dans notre pays soient renvoyés chez eux… La France devrait faire de même… Leur loi qu’elle appelle »laïcité » est la pire des choses qui pouvait lui arriver. Les afros-musulmans ne voudront jamais la respecter car c’est une loi contraire à leur culture religieuse. » (JD Vance, 3 avril 2025)
Les droits de douane : arme de souveraineté
Les droits de douane sont l’outil le plus simple, le plus rapide et le plus puissant pour reconquérir notre souveraineté économique [avec la monnaie]. Ils permettent de protéger nos industries, nos savoir-faire, nos emplois. Ils freinent les délocalisations et obligent les multinationales à respecter nos règles, notre fiscalité, notre peuple. Ils redonnent aux États la maîtrise de leur destin.
C’est exactement ce qu’a compris Trump : pour réindustrialiser, il faut protéger. Pour protéger, il faut réguler les frontières. Pour réguler, il faut oser être souverain.
L’irréalisme de Bruxelles : une capitulation déguisée
Face à la fermeté de Trump, que propose l’Union européenne ? Une chimère : supprimer les droits de douane industriels avec les États-Unis, comme si l’ouverture totale pouvait rivaliser avec un protectionnisme assumé. C’est un marché de dupes. L’industrie américaine, plus robuste, inonderait un marché européen déjà exsangue, tandis que Washington conserve ses armes cachées – normes tatillonnes, clauses « Buy American », subventions déguisées.
L’UE, elle, offre une reddition sans contrepartie, un chèque en blanc à un adversaire qui joue pour gagner. Désindustrialisée, désarmée, l’Europe ne récolterait que des miettes dans ce troc inégal. C’est la soumission masquée en dialogue, une trahison des peuples au profit d’une caste technocratique.
Moins de mondialisation, plus d’ordre
La « mondialisation heureuse » n’a été qu’un immense leurre. Elle a enrichi une infime caste mondialisée et ruiné les peuples. Trump a très bien identifié l’ennemi : les multinationales prédatrices, les fonds financiers transnationaux, les lobbys globalistes. Il leur déclare la guerre au nom des intérêts supérieurs de la nation.
La mondialisation vit peut-être ses dernières heures. Le monde se reconfigure en blocs civilisationnels. Trump réoriente les États-Unis vers une logique de puissance autonome. La Russie, la Chine, l’Inde font de même.
Et l’Europe, que fait-elle ? Elle reste figée dans un libre-échangisme suicidaire, dans une soumission à des traités technocratiques qui la tuent à petit feu.
L’Union européenne, en tant que structure post-nationale et bureaucratique, incarne l’anti-nation par excellence. Elle est née d’une vision d’empire sans peuple, et mourra du retour des peuples.
La politique de Trump signe la fin de ces empires artificiels. Elle annonce le retour des nations souveraines, maîtresses de leurs lois, de leurs frontières, de leur destin.
Il devient donc impératif, pour la France, de sortir des institutions supranationales comme l’Union européenne, de retrouver le contrôle de ses frontières, de sa monnaie, et de sa politique commerciale.
Inflation ? Une peur instrumentalisée
Là encore, Trump déjoue les pièges tendus par les défenseurs du système. Oui, les tarifs peuvent provoquer une hausse des prix sur certains produits importés. Mais il compense cette inflation potentielle par des baisses d’impôts ciblées, des avantages fiscaux pour les produits made in USA, et une politique énergétique qui fait baisser les coûts.
De plus, en relocalisant, il crée des emplois, relance les salaires, restaure le pouvoir d’achat par le travail. C’est du bon sens économique.
Une leçon pour la France
La France subit exactement les mêmes maux que l’Amérique pré-Trump : délocalisations, déficits, endettement, destruction des classes moyennes, immigration massive, perte de souveraineté.
Pourquoi ne pas appliquer les mêmes remèdes ? Les droits de douane, le patriotisme économique, la défense de nos frontières, de notre monnaie, de notre industrie, de notre peuple.
Ce que Trump a commencé, nous devons l’achever ici : mettre fin au mondialisme déstructurant, rétablir la nation comme cadre politique, retrouver l’ordre économique et social. Ce n’est pas un rêve, c’est une urgence vitale.
La fin d’un cycle, le début d’un renouveau
Trump a entamé un processus de rupture historique. Il signe la fin d’une mondialisation qui a détruit les peuples pour enrichir une caste hors-sol. Il montre qu’un État peut se redresser, qu’un peuple peut retrouver sa fierté, qu’un chef peut défendre les intérêts de la nation. Il nous tend un miroir. Aurons-nous le courage de le regarder en face ? Ou resterons-nous les vassaux d’un empire sans visage, dépossédés de tout ?
La réponse nous appartient. La souveraineté n’attend pas. L’Union européenne touche à sa fin : la renaissance nationale est à notre portée, à condition de nous en donner les moyens. Trump l’a fait pour l’Amérique. Faisons-le pour la France.