Les agents de Christiane Taubira à Paris, ici à la cour d’appel, ont prétendu que la notion de « Français de souche »… n’existait pas. Les compagnons de route du Syndicat de la magistrature (SM), s’inventant biologistes, sociologues et historiens, ont prétendu :
« [L’expression] Français blancs dits de souche ne recouvre aucune réalité légale, historique, biologique ou sociologique ».
L’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (AGRIF) a donc été déboutée de sa plainte contre trois colons racistes antiblancs, Houria Bouteldja, Saïd Bouamama et Saïdou, une politicienne, un « sociologue » et un ‘rappeur’.
Pour la justice antifrançaise, dénoncer les mensonges d’Israël, l’occupation ou l’invasion mérite la prison, mais brandir comme étendard « Nique la France », multiplier les propos racistes et les insultes contre la France, les Français, dénoncer leurs institutions avant de s’abriter derrière, ne conduit pas même à une amende avec sursis.
Un jugement – après tant d’autres – qui rappelle l’escroquerie des politiques de Manuel Valls et François Hollande qui font pavoiser les Français un jour dans l’année pour tolérer, favoriser, subventionner, provoquer la haine de la France les 364 autres jours.
La cour d’appel était dirigée par Sophie Portier