« Ils [l’ANC] sont communistes et ils vont détruire ce merveilleux pays. Ils vont raser tout ce qui a été construit par les Blancs avec tellement de difficulté et de souffrance. Cela me rend triste de savoir que tout ici sera détruit au nom d’une utopie multiraciale qui ne marchera jamais ! Ils veulent la liberté et la démocratie… Dans quelques années, la liberté et la démocratie seront tout ce qu’ils auront et l’Afrique du Sud deviendra un pays au bord du chaos… » Janusz Waluś, 1993.
Janusz Waluś est un Polonais né en 1945 à Zakopane, d’où sa famille est venue de la région de Kresy à la suite de la guerre. Il a immigré en Afrique du Sud pour rejoindre sa famille dans les années 1980.
Choqué par la violence des actions de l’ANC lors de l’attentat dans la rue centrale de Pretoria en 1983 contre un édifice gouvernemental (19 tués, 217 blessés), il décide de s’engager politiquement contre la peste rouge qui gangrène le pays et tue des civils innocents.
« J’ai simplement reconnu l’Afrique du Sud – à tort, comme il s’est avéré plus tard, bien que l’on ne sache pas encore ce que l’avenir nous réserve – comme le pays de ma résidence permanente pour le reste de ma vie et le pays auquel je m’identifie. Voyant dès 1983 que tout commençait à aller dans la mauvaise direction, je me suis tout simplement impliqué dans des organisations comme le Parti conservateur ».
Janusz Waluś militera au sein du National Party et de l’Afrikaner Weerstandsbeweging (Afrikaner Resistance Movement) d’Eugène Terre’Blanche. Pendant de longues années, il participera à des centaines d’actions politiques contre le communisme et rejoindra des groupes d’auto-défense pour protéger les fermes blanches de la bande haineuse de Mandela (l’ANC organisait des attaques ciblées contre les fermiers blancs et disséminait des mines près de leurs fermes comme à Messina où l’une d’elles tua en décembre 1985 la famille d’un touriste afrikaner).
Chris Hanni était originaire d’un village du fin fond de l’Afrique du Sud ou il fut élevé dans la haine des Blancs et aux rudiments de l’idéologie marxiste-léniniste par son père. Il adhère aux Jeunesses de l’ANC en 1957 et monte progressivement les échelons. En 1960, l’ANC est interdite et il rejoint la branche armée du mouvement Umkhonto we Sizwe (MK) en 1962. Il reçoit formation militaire en URSS en 1963 et devient le chef coordonnant les assassinats et les actes de terrorisme dans le pays. On le retrouvera également dans divers pays voisins (Zambie, Zimbabwe, Tanzanie et au Botswana) ou il forma des groupes marxistes révolutionnaires pour essayer d’embraser la région. Ou encore au côté du gouvernement communiste d’Angola pendant la guerre civile.

Chris Hani était paranoïaque et mégalomane : il n’a pas hésité une seconde à faire exécuter des dizaines de militants de l’ANC sous prétexte qu’ils étaient des espions des Blancs. Un personnage fort « sympathique » qui rappelle le sinistre Ernesto Guevara. Au début des années 90, après la levée de l’interdiction de l’ANC et la libération de Nelson Mandela. Chris Hani prend la direction du Parti communiste sud-africain (SACP) et se forge l’image d’un politicien respectable et aspire à devenir ministre sous la présidence de Mandela.
Seulement voilà, un ange vengeur de la glorieuse Pologne va croiser sa route et va rendre justice aux centaines d’innocents qui ont péri sous les bombes de l’ANC. Le 10 avril 1993, pendant les négociations du gouvernement sur la fin de l’apartheid, Janusz se rend au domicile du terroriste Chris Hani et rend justice en lui tirant une balle dans la tête.
« J’ai glissé le pistolet Z88 dans la ceinture, à l’arrière de mon pantalon, et je me suis approché de lui. Je ne voulais pas tirer dans le dos, alors j’ai appelé : Monsieur Hani . Il s’est retourné, j’ai sorti mon arme et je lui ai tiré dessus. Alors qu’il tombait, j’ai tiré une deuxième fois. Cette fois dans la tête. Alors qu’il tombait au sol, j’ai tiré deux autres coups de feu dans la tempe. Je suis immédiatement monté dans ma voiture et je suis parti aussi vite que possible. »
Des médias à la solde de la petite communauté dénonceront cet acte de justice, accusant le racisme blanc de vouloir empêcher l’émancipation de l’Afrique du Sud.
Il est à noter que, la même année, une jeune étudiante américaine blanche, Amy Biehl, qui avait épousé la cause des terroristes noirs et avait rejoint l’Afrique du Sud, fut massacrée par quatre Africains, le 25 août 1993, lors d’une émeute raciste. Traînée hors de sa voiture elle fut lapidée, battue à mort. Les quatre tueurs africains furent arrêtés, jugés et immédiatement relâchés en vertu du prétendu processus Vérité & Réconciliation, mis en place par Nelson Mandela dans le but de stigmatiser les Blancs et propager la haine des Européens parmi les populations africaines, et de pouvoir libérer tous les pires criminels noirs.
Janusz Waluś a été condamné à la peine de mort par le tribunal de Mandela en 1993 pour avoir débarrassé son pays d’un terroriste rouge et anti-blanc, mais sa peine fut commuée en réclusion à perpétuité après l’abolition de la peine de mort.
Par-delà les frontières, Janusz Waluś est devenu en Pologne un des symboles de la résistance contre le communisme et plusieurs mouvements nationalistes polonais ont déjà fait des donations et des actions en sa faveur. Olaf Jasinski (ancien membre d’Honor qui a rejoins le groupe October 15) a écrit une chanson sur Janusz Waluś.
M.àJ. 07.12.2022 : Après presque 30 ans de prison et le rejet à 3 reprises de ses demandes de liberté conditionnelle, à laquelle il était éligible depuis une vingtaine d’années, le président de la Cour constitutionnelle ordonne sa libération. Il est donc « libéré » de façon « anticipée » le 7 décembre 2022, mais en liberté conditionnelle pour encore deux ans.
M.àJ. 06.12.2024 : Ayant exécuté l’intégralité de sa peine, alors âgé de 71 ans, il est expulsé vers la Pologne (l’Afrique du Sud lui avait retiré sa citoyenneté en 2017). À l’aéroport Chopin de Varsovie, il était réceptionné, entre autres, par Grzegorz Braun.
Merci à la « Lettre de Jeune Nation »… Je n’avais pas connaissance de l’existence de ce héros de notre race.
Son histoire nous confirme qu’à tout combat participent deux types de combattants :
– D’une part, la masse très respectable des combattants de base qui acceptent de risquer leur vie pour un idéal commun.
– Et d’autre part, quelques héros d’exception renonçant à tout espoir de survie, au bénéfice d’une efficacité sans entrave !
Et l’histoire nous apprend que, s’il est indispensable que les premiers soient le plus nombreux possible, il suffit parfois de quelques héros, voire d’un seul, parmi les seconds, pour changer l’issue d’une confrontation.
Tels furent les kamikazes japonais… telles furent les dernières unités françaises parachutées dans le fournaise de Dien Bien Phu… telles furent certaines unités de Waffen SS… et tels sont, encore – il faut le prendre en compte ! – les bombes vivantes islamistes…
A cette différence près, toutefois, qu’à l’instar d’un Janusz Valus, les Européens précités ne se donnaient pas le ridicule de s’imaginer attendus par 72 vierges dans le paradis d’Allah…
Mais pourtant, la question se pose : compte tenu du degré de dévirilisation de peuples étouffés dans leur confort, combien reste-t-il de Janusz Vanus à notre époque ?
Me permettrez-vous de commenter cet épisode de l’Afrique du Sud blanche, puisqu’y résidant à l’époque, je l’ai vécu indirectement ? Je l’espère vivement car sans Clive Derby-Lewis, Janusz Walus n’aurait pas acquis sa renommée…
Issu d’une famille de pionniers d’origine écossaise, galloise et allemande dont il représentait la 4e génération, Clive Derby-Lewis, ancien officier d’infanterie, fut l’instigateur du complot fomenté contre Chris Hani.
En 1993, l’Afrique du Sud est encore dirigée par un gouvernement à prédominance blanche mais gangrénée par la politique d’abandon du président Frederick De Klerk. Chris Hani, jeune leader de la branche armée de l’ANC, Umkhonto we Sizwe, a récemment succédé au lithuanien de naissance et judéo-sud-africain, Joe Slovo, à la tête du parti communiste sud-africain (SACP).
Hani prône une révolution ‘à la soviétique’ avec son lot d’actes de terrorisme et de sabotages, dirigée contre la population blanche mais pas seulement. Pour Clive Derby-Lewis il apparaît impératif d’opposer ce scénario.
Le 10 avril 1993, radio et télévision annoncent que Chris Hani vient d’être assassiné par un sud-africain, d’origine polonaise et fervent anti-communiste, Janusz Walus (très vite appréhendé par la police). L’arme appartenant à Clive Derby-Lewis, ce dernier sera condamné pour ‘conspiration de meurtre’ sous l’emprise d’une législation d’exception qui l’empêchera de pouvoir bénéficier d’un jury. Tous deux sont condamnés à mort.
En avril 1999, la mal nommée Commission vérité et réconciliation rejette la demande d’amnistie de C. Derby-Lewis et Janusz Walus alors que d’autres, responsables d’actes de terreur, recouvrent la liberté.
En plus de sa lecture assidue, sa longue condamnation lui octroie certaines libertés, dont celle d’entretenir un petit jardin potager et cultiver des tomates qu’il partage volontiers.
En 2008, après 15 ans d’incarcération et âgé de 72 ans, la loi autorisait Derby-Lewis à une libération conditionnelle qui lui est pourtant refusée. Idem en 2010 alors que sa santé s’est considérablement dégradée (il est atteint d’un cancer). Il est intéressant de souligner que l’un des protagonistes les plus acharnés contre lui est l’avocat George Bizos*. D’origine judéo-grecque, arrivé jeune en Afrique du Sud comme réfugié et du même âge que notre ami, Bizos oublie facilement qu’il est parvenu à se faire une place au soleil grâce à l’éducation dispensée par le régime d’Apartheid. Inconditionnel défendeur de l’ANC dont il est membre – il a été l’avocat de Mandela depuis sa condamnation pour terrorisme en 1963 – il a joué un rôle prépondérant dans la mascarade que fut la Commission citée plus haut. C’est à lui que le journal le Monde tressait des lauriers en avril 2013 pour sa soi-disant ‘justice pour tous’ et à qui le Barreau de Paris rendra un ‘vibrant hommage’ lors de sa mort en mai 2021, à l’âge de 92 ans.
Sauvages agressions
Le mercredi 26 février 2014, C. Derby-Lewis est sauvagement agressés à l’intérieur de la prison de haute sécurité de Prétoria, par un codétenu noir armé d’une grosse spatule de cuisine affûtée.
Agressé dans le dos et blessé à la tête, notre ami est ensuite frappé au visage qu’il a pu protéger de
son bras – fracturé sous la violence de l’attaque.
Une seconde agression, aura lieu le dimanche 23 mars 2014, cette fois encore, par un individu, membre d’un gang, au casier judiciaire bien rempli (dont la présence dans cette prison ouvre le champ à de nombreuses questions).
Handicapé par son bras gauche dans le plâtre, C. Derby-Lewis a été de nouveau poignardé dans le dos, au moyen d’un long morceau de verre qui lui a perforé un poumon et a nécessité une hospitalisation hors de la prison. Admis dans un état grave, il en sortira hors de danger.
Après tant d’années sans incident notoire dans un milieu carcéral à majorité noir, pourquoi cette agression ?
Symbole vivant d’une Afrique du Sud prospère sous le régime d’Apartheid – qui signifie, rappelons-le pour l’avoir vécu, régime séparé – et non pas expropriations forcées par destruction au bulldozer d’habitations, ni murs érigés sur des kilomètres séparant différentes communautés – C. Derby-Lewis était désormais devenu le talon d’Achille du gouvernement Zuma. Ce dernier n’ignorant pas que lui accorder une grâce pour considération humanitaire serait très mal perçu par nombre de jeunes excités noirs, dont le millionnaire Julius Malema*. Mais dont la grâce fut cependant encouragée par certaines personnalités noires – parmi lesquelles, le frère de l’ancien président Thabo Mbeki, Moeletsi Mbeki, économiste politique et vice-président du South African Institute of International Affairs.
Clive Derby-Lewis décèdera le 3 novembre 2016 à l’âge de 80 ans, sans avoir pu toutefois, revoir les nuits étoilées inoubliables du désert du Karoo auxquelles il disait rêver derrière les barreaux de sa cellule…