Soutien total aux agriculteurs français.
Alors que depuis des décennies leur vocation est devenue synonyme de suicide – qu’il soit social ou physique – les agriculteurs sont les Français les plus enracinés, directement liés à notre terre de France.
Moqués par les médias du divertissement de masse, sacrifiés par Bruxelles et ses élites parasites, ils crient enfin leur ras-le-bol.
Plus qu’un soutien de parole, chaque militant nationaliste doit d’abord s’interroger sur son mode de vie et sa façon de consommer, chacun peut leur venir en aide à son niveau tout en vivant en accord avec notre doctrine.
Ensuite, il convient évidemment de descendre dans la rue à leurs côtés.
L’avenir est au localisme et à la sécession d’avec ce système hors sol, sans âme et sans joie.
Un jour ce ne seront plus les agriculteurs qui se balanceront au bout des cordes, mais les traîtres et les ennemis d’un monde refait.
De tout cœur avec nos agriculteurs… ( petite fille de paysans bearnais)
A vrai dire, je n’ai pas compris qu’elles étaient leurs revendications ?
S’ils veulent que l’on leur paye plus cher leurs productions, les prix seront répercutés sur les clients qui sont toujours les vaches à lait de toutes les augmentations.
Pourquoi les agriculteurs s’organisent-ils pas un circuit parallèle pour la vente de leurs produits ?
Et au fait, reste-t-il encore beaucoup de paysans, parmi ces agriculteurs ?
Franchement, quand on vous lit, vous, on ne comprend pas que vos commentaires soient encore publiés par la Rédaction.
Nous sommes attachés à la liberté d’expression et n’avons pas peur de la contradiction.
Eh ! bien ! Pas moi ! Je ne suis pas démocrate. La démocrassie, c’est comme la raie-publique, c’est le grand truc des francs-maçons qui leur a permis de détruire la France. Vous laisseriez un couteau dans la main d’un assassin ? C’est ce que vous faites en faisant droit au discours des gauchistes !
Toute notre sympathie va naturellement à nos agriculteurs.
Malheureusement, ils n’ont visiblement pas compris QUEL est le problème, ni OU il se trouve.
En se plaignant des normes qui les paralysent, de la concurrence déloyale qu’ils subissent, et de la misère dans laquelle ils plongent, mais en attendant du gouvernement des mesures et des solutions, ils répètent l’erreur des Gilets Jaunes descendus dans la rue à cause du coût du carburant et de l’augmentation du coût de la vie.
Les Gilets n’avaient pas vu qu’ils étaient en voie de remplacement, et les agriculteurs qui n’ont pas vu comment l’industrie française a été liquidée, ne comprennent pas que c’est maintenant leur tour.
Si les Français comprenaient ce qui se passe et pourquoi, ils n’enfileraient pas des gilets jaunes, ils ne bloqueraient pas les autoroutes avec des tracteurs, ils passeraient à l’action – la vraie, la seule qui puisse changer les choses.