Mais oui, les islamistes « fichées S » peuvent travailler sans problèmes dans les secteurs sensibles, comme la sécurité, d’ailleurs, 11 000 d’entre eux circulent en toute liberté sur notre territoire.
Selon une information lue dans Le Parisien, « un deuxième agent du Groupe de Protection et de Sécurisation des Réseaux, le fameux GPSR chargé d’assurer la sécurité des usagers et des personnels dans le métro, les bus, les tramways et les RER d’Île-de-France a vu son autorisation de port d’arme retirée en début de semaine. D’après plusieurs sources, l’homme faisait l’objet d’une fiche S pour radicalisation. »
Le patron de la société de sécurité « Sécuritas France » vient de confirmer la survenue de « plusieurs cas d’infiltration ces six derniers mois dans des sociétés de sécurité, dont la mienne, Sécuritas. » Alors quel est l’objectif de ces « fichés S », de vouloir intégrer les sociétés de sécurité ? En France, nous dénombrons 5 000 agents de sécurité employés dans les aéroports de Roissy et Orly servant à leur sécurisation en plus de la police nationale et des douanes françaises.
Ces agents supplémentaires, dont le recrutement est soumis à une procédure d’enquête très stricte par les services de la DGSI, assurent principalement le contrôle des personnels, des passagers et des bagages. Parmi ces 5 000 agents, environ 300 sont des personnels des ADP (aéroports de Paris) et possèdent le fameux « badge rouge », délivré pour une durée de 3 ans, leur permettant d’accéder directement sans aucun contrôle dans les zones de sécurité les plus sensibles.
Idéalement, un « fiché S » ne devrait pas pouvoir faire de l’entrisme parmi ces agents, mais qui peut l’empêcher de subtiliser une tenue avec l’un de ces badges lui permettant ainsi d’accéder sans difficulté dans l’une de ces zones de sécurité renforcée ?
Dans la RATP et la SNCF, un agent assermenté, appartenant à un service de sécurité armé, ou employé à un poste d’aiguillage, ou à la conduite d’un train, pouvait être « fiché S » sans que la direction n’ait moyen de savoir si un membre de son personnel était « fiché S ». Des « fichés S » sont signalés à ces entreprises et des mesures, comme on peut le voir ces derniers jours, sont prises contre certains agents de sécurité notamment. Qu’est-il possible de faire ? Ces agents ne peuvent être licenciés pour ce motif (des procédures de licenciement peuvent être engagées), mais mutés vers d’autres postes moins sensibles.
Il est interdit à un employeur de refuser un emploi en raison de l’appartenance à une ethnie ou à une religion, tout autant que de licencier un employé qui montrerait des signes de dangerosité, de menace et même de radicalisation au sein de l’entreprise comme le fait d’être « fiché S » par la DGSI ne constitue pas en soi un motif de renvoi et qui a pu le cas échéant dans d’autres cas être contesté.
Si l’État Français ne fait rien, il ne faudra pas s’étonner si nous sommes de nouveau victimes d’un attentat islamiste meurtrier, surtout si, comme vient de l’annoncer ces derniers jours le Premier ministre Manuel Carlos Valls Galfetti, que nous risquons à présent un attentat par armes chimiques ou bactériologiques…
Car nous sommes en guerre, mais contre qui ?
Quel est donc l’adversaire contre lequel nous serions en guerre ? Daech (1) ! Le mot est étrange et a l’immense avantage de ne pas faire explicitement référence à l’islam. La réalité est que nous sommes en guerre contre une partie du monde musulman et que nous n’osons pas le dire. Comment lutter contre l’islam fondamentaliste en restant l’allié de la Turquie, de l’Arabie séoudite et du Qatar ? Notre société d’essence chrétienne a un vrai problème, vital, avec l’islam.
Alors, nous, nationalistes, demandons que : en cette période d’état d’urgence décrétée pour 12 jours sur l’ensemble du territoire et reconduite par le parlement pour 3 mois de plus, quelques mesures de bon sens soient immédiatement mises en œuvre :
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le rétablissement immédiat des frontières gardées par les services des douanes Françaises,
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fermeture des 90 mosquées salafistes et expulsion immédiate de leurs imams étrangers,
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suppression des aides sociales pour toutes les familles dont un membre serait identifié comme terroriste ou combattant en Syrie,
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interdiction d’entrée sur le territoire pour tout combattant revenant de Syrie,
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expulsion de tous les islamistes fichés « S »,
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reconduite effective à la frontière de toutes les personnes frappées d’une mesure d’expulsion, dont 93% des décisions ne sont pas appliquées,
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rétablissement de la peine de mort pour les crimes terroristes et de trahison.
Évidemment, pour nous, seul un État français autoritaire et ferme pourra éloigner notre nation de ces bains de sang. En avant pour la Révolution nationale !
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(1) L’État islamique (ÉI, ed-dawla el-Islāmiyya) est né en Irak d'une scission avec La Base (el-Qaïda) ; ce groupe pour combattre l’invasion américaine de 2003, rassembla d’anciens officiers de l’armée de Saddam Hussein, des islamistes irakiens, rejoints par des vétérans du « Djihad » venus d’Afghanistan. Le groupe commence à diffuser des vidéos de décapitations d’otages occidentaux puis de « traîtres » irakiens , tout en poursuivant une guerre confessionnelle contre les chiites. La barbarie de leurs exactions les mit bientôt le groupe au ban des plus extrémistes.
Son chef, calife autoproclamé est un homme qui se fait appeler Abou Bakr el-Baghdadi. Le FBI a mis sa tête à prix à 10 millions de dollars. Il cultive le secret, et l’on sait bien peu de choses de lui. Même son nom de guerre est un leurre : Abou Bakr fait référence au premier calife et compagnon du Prophète, el-Baghdadi signifie simplement de Bagdad.
Son financement : ses principales ressources financières sont le pétrole, les drogues (dont les Français n’ont toujours pas saisi les implications sur leur sol), et les antiquités. Tout le monde s’accorde à noter que le pétrole volé transite librement par la Turquie. Compte tenu des quantités, il n’y a pas de doute possible sur le soutien de l’État turc à Daesh.