La dictature sanitaire ne doit pas nous obnubiler, en tout cas, il faut la mettre en perspective, elle n’est en rien le début d’un processus de basculement du monde : avec ses masques muselières, ses confinements assignation à résidence, ses couvre-feux et ses interdictions de réunion et de déplacement, ses vaccins marqueurs du troupeau, elle n’est que la dernière étape en date d’un long processus de destruction de toute identité individuelle et collective forte au service de la dictature migratoire qui, elle, sera beaucoup plus difficile à vaincre et à inverser.
Comme le couteau et la fourchette dont nous nous servons pour couper la viande (pour ceux qui se servent encore de couverts pour manger et qui savent encore faire cuire du bœuf, du veau, du porc et de l’agneau), la dictature migratoire a utilisé ces 50 dernières années, en parfaite synchronisation, deux outils de contrôle social très puissants :
1 – la Sécurité Routière
2 – la limitation de la liberté d’expression
Sous forme de matrice, appelons là « la cage aux covidés », tout le synchronisme du processus de destruction – soumission des peuples et des individus saute aux yeux :
Nos adversaires, eux, ne perdent pas de vue le processus d’ensemble et profitent de l’état d’urgence pour dissoudre Génération Identitaire, criminaliser toute critique de l’immigration, et faire passer une loi sur les séparatismes qui ne sera appliquée qu’aux Français.
Ce qui est réconfortant, c’est que certains jeunes commencent à réaliser ce dont on les a volé, pas seulement leur emploi et leur retraite, mais leur pays, leur famille et leur identité, leur origine.
Les vieux, ceux qui en 1945 ont applaudi l’arrivée des « Américains libérateurs », ceux qui ont lancé des pavés sur les CRS en mai-68 en disant « qu’il était interdit d’interdire » s’avèrent les plus constants et les plus fervents défenseurs de la dictature migratoire et sanitaire.
Pour eux, l’identité est une prison, mais en quoi la liberté est-elle une délivrance si nous ne sommes plus rien ? Seule une identité peut être libre. À quoi nous sert notre liberté si nous ne sommes plus ni homme ni femme ni Français ?
Le ministre de l’Intérieur qui veut dissoudre l’identité scie la branche sur laquelle il est assis, car si on ne peut plus faire la différence entre l’intérieur et l’extérieur, c’est son poste qui devient sans objet : anecdotique, mais significatif.
Francis Goumain
Je rappelle que la loi Gayssot (« loi Gayssot I » qui vise à museler historiens, chercheurs et autres libres-penseurs ; la « loi Gayssot II » rackette, elle, les automobilistes) – du nom de ce champion de tir de balle de fusil dans le pied, le sien…), comme je le martelais autrefois dans Louzenette (Usenet, le cousin d’Internet) se nomme en réalié loi Rocard – « Lady » Fabius « Macbeth » – Gayssot – Vidal-Naquet, du nom de l’historien initiateur d’icelle, et des deux politicailleurs mettant en avant le pantin Gayssot pour la porter devant le Parlement.
(Saviezvous que Laurent Fabius, alias « Lady » Fabius « Macbeth », avait été élevé dans le catholicisme ?!…)