Lavaur : 10 ans pour avoir défendu sa famille et son bien contre les racailles étrangères
Le 14 décembre 2009, deux racailles étrangères, Jonathan Lavignasse et Ugo Bernardon, empreint de ce mépris pour les Blancs qu’ils considèrent comme un ennemi bon à dépouiller, frapper, attaquer – ou pire – à volonté, et de l’appât du gain, encouragées par leur République complice, leurs juges et leur police toujours plus favorables aux voleurs, aux violeurs, aux corrompus et aux tueurs qu’aux victimes, pénètrent dans son magasin, en pleine nuit.
Le bar-tabac de Luc Fournié, situé à Lavaur, à une quarantaine de kilomètres de Toulouse, a été la cible quatre jours plus tôt d’une première tentative, hélas tristement habituelle dans cette région gravement touchée par l’invasion. Plusieurs criminels, pour pénétrer dans la réserve du magasin, ont scié les barreaux d’une fenêtre, avant de s’enfuir.
Ils revinrent dans la nuit du 14 au 15 décembre 2009. Vers 2h30 du matin, réveillé par le bruit de la vitre brisée, Luc Fournié était remonté chercher son fusil à l’étage, où se trouvait son domicile, avant de redescendre. Confronté à une silhouette dans la pénombre, il avait tiré sur Jonathan, qui s’était effondré, avant de tirer une seconde fois dans la direction de l’autre racaille, qui s’enfuyait, sans l’atteindre.
C’est donc bien en étant menacé et se sentant légitimement en danger, que Luc Fournié avait ouvert le feu, pour défendre sa vie, son bien, sa famille, contre ses racailles étrangères venues le piller et l’agresser. Et c’est donc bien « pour repousser, de nuit, l’entrée par effraction, violence ou ruse dans un lieu habité » que Luc Fournié a tiré comme l’y autorisait l’article 122-6 du Code pénal.
Malgré la personnalité de la victime, bien qu’il soit clairement dans cette affaire la victime, bien que tout montre qu’il s’agit de légitime défense, il avait été reconnu coupable d’homicide le 1er avril 2015 et condamné à 7 ans d’emprisonnement. Pourtant, même l’avocat général avait requis l’acquittement. Il avait constaté comme chacun que la riposte avait été « nécessaire, simultanée et proportionnée ». « Luc Fournié, terrifié, abandonné par les gendarmes, n’a voulu que protéger sa vieille maman de 87 ans, sa sœur et son neveu. Faire quelque chose, c’est une preuve d’amour, un devoir de chef de famille. Il vit ce drame qu’il n’a pas provoqué, cette constellation de hasards. Il est encore dans la brume et il y restera à jamais. Il est déjà très largement puni. Vous devez l’acquitter », avait confirmé l’avocat de la victime française.
Sollicitée par la défense qui avait fait appel de cette condamnation, la Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Toulouse avait accordé une remise en liberté sans contrôle judiciaire à Luc Fournié le 30 avril 2015 dans l’attente du nouveau procès.
Celui-ci s’est tenu du 7 au 9 décembre à Toulouse et Luc Fournié a continué d’expliquer son geste par « la peur que ces cambrioleurs fassent du mal à sa famille qui résidait au-dessus du commerce, la peur qu’ils soient torturés » comme son avocat l’avait plaidé lors du premier procès :
« Il est chez lui à 2h30 du matin, sa mère octogénaire et sa famille sont au-dessus, et il est réveillé en sursaut, dans l’anxiété et la peur, il prend une arme et il se défend. La légitime défense est faite pour ça ».
Mais cette-fois-ci, contrairement à la première audience, l’avocat général représentant l’intérêt de la société a changé d’avis ! Pour Jean-Marc Chazottes Luc Fournié avait anticipé son acte, affirmant ignominieusement que l’accusé « n’avait qu’à faire réparer les barreaux sciés pour se sentir en sécurité chez lui » et « faire réparer l’alarme défectueuse afin d’être averti d’une intrusion »… pour se laisser dépouiller voir frapper ou tuer ?
Excluant la légitime défense, l’avocat général a requis « cinq ans d’emprisonnement, en n’excluant pas l’octroi du sursis simple pour une partie, voire pour la totalité de la peine », rappelant que le casier judiciaire du buraliste ne contenait aucune condamnation, qu’il était bien inséré dans la société et qu’il « fallait donc prononcer une peine proportionnée, juste socialement ».
Les jurés en ont finalement encore décidé autrement : Luc Fournié a été scandaleusement condamné vendredi 9 décembre en appel à Toulouse à 10 ans de prison, soit trois ans de plus qu’en première instance, par la Cour d’Assises de Haute-Garonne, qui a exclu la thèse de la légitime défense.
L’avocat général enfoncé, les réquisitions dépassées, en réalité un jury composé de citoyens bien dressés par la propagande de l’oligarchie, a condamné un honnête Français qui n’a fait que se défendre, pour tuer dans l’œuf toute velléité de résister aux crimes des envahisseurs qui pourrait se faire jour dans la population. Inquiétant…
Malgré tout, nous ne souhaitons pas aux 9 jurés et 3 magistrats de se retrouver une nuit face à des inconnus ayant pénétré dans leur habitation par effraction…