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Le sang des Européens coule pour de grandes firmes transnationales
Les réseaux sociaux bruissent depuis quelques jours de la mort d’un autre jeune français tué en Ukraine, parti se battre loin de sa patrie pour une autre terre et un autre peuple que le sien, et de surcroit en défense d’idéaux frelatés qui lui ont vraisemblablement été présentés de manière frauduleuse par les médiats des pays d’Europe occidentale. Pour le jeune Kevin David, le voyage en Ukraine s’est avéré être un aller simple….
De jeunes Européens sont allés se battre contre les armées russes en Ukraine. Croyant combattre les « forces du Mal », ils ignorent, le plus souvent, qu’ils soutiennent, de fait, les intérêts de grandes firmes internationales.
En effet, si l’on en croit l’Australian National Review, des entreprises telles que Monsanto, Cargill ou DuPont, géants de l’industrie agroalimentaire, ont acquis en quelques années près d’un 1.7 millions d’hectares de terres arables en Ukraine (1). Selon Breizh Info, près de 28% du territoire cultivable de l’Ukraine serait ainsi entre les mains d’entreprises étrangères. Il n’est pas inutile de rappeler que Monsanto est compromise depuis une cinquantaine d’années dans divers scandales sanitaires comme le rappelle un article du Monde daté de 2012.
Zelensky, ancien comique et chef de l’Etat ukrainien a en effet déjà bradé les terres de son pays pour les vendre à des entreprises dont les principaux actionnaires sont « Blackrock » et « Blackstone », des gérants d’actifs financés à Wall Street.
Le FMI lui-même est dans le coup (2) : celui-ci a en effet pesé pour que le moratoire qui limitait la possession de terres ukrainiennes par des étrangers saute, condition sine qua non pour autoriser des prêts à l’Etat ukrainien.
L’unique moyen de mettre fin, ou en tout cas de limiter le dépeçage de l’Ukraine est la paix, immédiate, entre l’Ukraine et la Russie.
Ce sera alors l’occasion de procéder à l’élimination politique des dangereux soutiens ou membres du bataillon Azov, selon nous beaucoup moins nazi que suprémaciste blanc (3), et en tout cas obstacles à la paix entre Européens.
Mais le plus essentiel nous semble être d’une part la fin de l’ingérence diplomatique, économique et militaire des Etats-Unis, et donc de l’OTAN, en Europe. Et plus encore, la fin d’une guerre inutile qui va à l’encontre de l’intérêt vital des Européens, qu’ils soient d’Ukraine, de Russie, ou d’ailleurs.
N.D.L.R. :
(1) À propos de l’emprise mondialiste sur les terres à blés d’Ukraine :
(2) À propos de l’emprise mondialiste sur l’économie, l’industrie, la finance… en Ukraine :
Zelensky offre l’Ukraine à BlackRock
Par le biais du FMI, le système financier mondialiste parachève la mise sous tutelle de l’Ukraine
(3) On sait ce que nous pensons du prétendu « nationalisme » ou « nazisme » des bataillons punitifs tels qu’Azov, créés, organisés et financés par des oligarques, souvent « Ukrainiens » de papiers seulement…, liés au pouvoir à Kiev lui-même issu du coup d’État du Maïdan :
L’Europe n’est pas réductible au nationalisme blanc
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Les réponses de Vincent Tema ne manquent pas de bon sens, voire même d’intérêt. Peut être seront-elles très sérieusement débattues, dans un futur proche, par philosophes et historiens, dans les salons du boulevard saint Germain.
Mais l’importance de ce qui se joue en Ukraine et à l’échelle du monde nécessite de privilégier une question à laquelle il ne répond pas. La seule qui relève du bon sens, pourtant.
Car répétons-le : La morale n’est en aucun cas un critère sensé en politique. Définir qui a tort ou qui a raison en Ukraine est du domaine de la philosophie de salon.
Analyser en tant que Russe, en tant que Chinois ou en tant qu’Américain ne peut qu’aboutir à des conclusions différentes selon les intérêts géostratégiques ou économiques de chacune de ces Nations.
Pourquoi ? Mais parce que la seule question qui compte à l’échelle d’une Nation n’a rien à voir avec les notions de bien ou de mal, de moral ou d’immoral, et ce résume à ceci : CHEZ MOI, ICI, DANS MON PAYS, QUI EST M’EST FAVORABLE OU QUI ME NUIT ?
Ce qui se traduit, pour un français, par les questions suivantes :
– Qui introduit dans nos moeurs la révolution LGBT ?
– Qui introduit dans nos moeurs le Wokisme ?
– Qui est allé jusqu’à incarcérer un cadre d’Alstom pour nous forcer la main et s’emparer d’une de nos entreprises de pointe ?
– Qui nous a colonisés au point de choisir à notre place nos élites politiques formatées par les Young Leaders de la French American Foundation ?
– Quelle est la nationalité d’un certain Georges Soros, qui finance les ONG dites « no borders » déversant des millions d’immigrés clandestins sur nos cotes ?
Réponse : Les USA…
Qui s’oppose aux USA ? Les Russes !
Alors qui sont nos ennemis et qui sont nos alliés ? Faut-il vous faire une dessin ?
Et que le combat entre le mondialisme US et le nationalisme se passe en Ukraine ou ailleurs, que certains aient tort ou d’autres raison, ne quoi cela est-il notre problème ?
Sommes-nous d’abord Français ? Oui ou Non ?
Sommes-nous d’abord Nationalistes et antimondialistes ? Oui ou non ?
Toute autre question – je le répète ! – est sans objet. Les notions de bien ou de mal n’ont rien à faire en politique et sont tout juste bonnes à conditionner Bécassine avant un scrutin électoral. Dans le sens le plus stupide, évidemment !
Bien dit! La guerre en Ukraine est une terrible tragédie pour toute l’Europe! Après les deux guerres mondiales l’Europe se déchire à nouveau et n’est plus très loin d’une troisième guerre mondiale à cause des ingérences et des provocations incessantes des USA face à la Russie! L’entrée de la Finlande suivie sans doute celle de la Suède dans l’Otan démontrent que l’Otan est un club d’idiots utiles et de chair à canon, pour permettre aux USA de s’étendre toujours plus et de provoquer toujours plus la Russie! Pourtant celle-ci n’a aucun contentieux avec ces deux pays scandinaves et ne les a jamais menacés! C’était la neutralité qui a protégé ces deux pays! En revanche, en devenant membres de l’Otan, la Suède et la Finlande sont des cibles légitimes pour la Russie en cas de guerre avec l’Otan! A moins que ces deux adhésions ne soient vues comme l’aboutissement d’une longue « coopération » entre ces deux pays avec l’Otan dans le »partenariat pour la paix », à savoir une sorte de membres officieux de l’Otan et que ces adhésions ne sont en réalité qu’un « coming out » de ces deux pays! Bien entendu, la Russie n’était pas dupe de cette situation d’où l’espionnage de la base navale suédoise de Karlskrona par un sous marin « inconnu » en 1981.
Pour terminer, la guerre en Ukraine est aussi une terrible guerre fratricide entre frères Slaves à cause des USA, des intrus qui ont poussé Russes et Ukrainiens à s’entre tuer!