La police est intervenue pour arrêter trois militants nationalistes suédois qui enquêtaient sur le journal antisuédois Expressen. Les trois citoyens illégalement arrêtés appartiennent au Mouvement de résistance suédois (SMR, Svenska Motståndsrörelsen) et étaient mandatés par le journal nationaliste nordfront.se au moment de leur agression par les policiers du système.
L’Expressen s’est spécialisé dans la délation des jeunes nationalistes, ayant diffusé dernièrement les noms, photos et adresses de jeunes militantes nationalistes ainsi que les précisions concernant leur nombre d’enfants.
Ces dénonciations sont une vieille pratique des ennemis de l’Europe : ces agissements sont apparus en France républicaine dès la révolution bourgeoise de 1789 : épier, contrôler, dénoncer, emprisonner, tuer : la coutume s’est perpétuée sous des formes diverses jusqu’à nos jours sous toutes les Républiques, depuis les fiches du général franc-maçon Sarrail jusqu’aux portails de dénonciation en ligne mis en place par le gouvernement aujourd’hui et qui servent, entre autres, à dénoncer régulièrement les articles de Jeune nation. Ces méthodes furent popularisées à l’international lors de l’avènement du bolchevisme en Russie qui en fit une réalité industrielle. Les enfants étaient poussés à dénoncer leurs parents, les femmes leurs maris, etc.
Dans le Royaume de Suède, les médiats pro-invasion ne procèdent pas autrement. C’est sans la moindre hésitation qu’ils ont dénoncé cinq militantes nationalistes : Paulina Forslund, Johanna Hagberg, Ulvhild Årthun, aux engagements à peine publics, ainsi que Jessica, qui a organisé des cours d’autodéfense pour femmes, et Emma, dont le seul tort et d’avoir participé à un rassemblement nationaliste.
Leur crime, aux yeux des journalistes ? Être suspectes de défendre leur terre, leur peuple, d’éduquer leurs enfants dans l’amour de la Suède et de ses traditions.
C’est pour interroger les journalistes sur ces pratiques et sur la déontologie dont ils se réclament que les militants du SMR se sont rendus au siège du torchon antisuédois, sans arme et à visage découvert, ce qui prouve si besoin en était les mensonges de la police au sujet d’une prétendue « attaque » et de prétendues « menaces ». Ils ont été retenus illégalement prisonniers durant environ 48 heures avant d’être relâchés.
L’Expressen est détenu par le groupe Bonnier, dirigé par le Juif Carl-Johan Bonnier.