« Fils de survivants de la Shoah », Albert Bourla, PG de Pfizer depuis le 1er janvier 2019, a reçu à Jérusalem le 30 juin, des mains du président israélien Isaac Herzog, le prix Genesis, surnommé le « Nobel juif » par le magazine Times.
Ce Prix Genesis est attribué à « des personnes extraordinaires pour leur réussite professionnelle exceptionnelle, leur contribution à l’humanité et leur engagement envers les valeurs juives. » L’AFP reproduit les louanges qui ont valu à Bourla ce prix : « l’audace de sa vision et sa volonté d’assumer des risques, qui ont permis de livrer le vaccin en un temps record ». Bourla a annoncé qu’il renonçait à la récompense, d’un million de dollars et a demandé à la Fondation de faire don des fonds pour la création du Musée de l’Holocauste de Grèce qui sera construit à Thessalonique, où il est né.
Mais, la légende autour d’Albert Bourla n’est pas aussi dorée.
Albert Bourla est un membre du Forum économique mondial de Davos et des réunions du groupe Bilderberg.
En 2020, il a vendu un lot d’actions de Pfizer le jour de l’annonce de l’efficacité du vaccin par la compagnie, empochant des millions de dollars en pleine crise sanitaire ! Selon un document déposé auprès des autorités boursières américaines de la SEC, il a vendu 132 508 titres prix de 41,94 dollars à Wall Street, équivalant à près de 5,6 millions de dollars. L’action Pfizer s’était envolée de plus de 7% lorsque que le laboratoire américain avait annoncé que son vaccin développé avec la compagnie allemande BioNTech – qui avait pris 13,91% – était « efficace » à 90% contre le Covid-19.
En janvier 2021, son nom apparaît dans la presse mondiale après qu’une polémique le concerne au sujet du vaccin contre le Covid-19 développé par Pfizer. Il est soupçonné d’avoir refusé l’injection du vaccin sur lui-même… Et en mars 2021, la presse israélienne rapporte qu’il n’avait reçu qu’une injection unique…
En avril 2021, le New York Times révèle que Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission européenne (en charge des commandes de vaccins pour tous les pays de l’Union européenne) a échangé de nombreux messages par texto avec son grand ami Albert Bourla. Après un signalement auprès de la Médiatrice de l’UE et une demande d’éclaircissement sur ces nombreuses communications informelles, la Commission a répondu en juin 2022 que la recherche des textos échangés entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla « n’a donné aucun résultat ».
La Commission affirme donc ne pas être en mesure d’identifier et produire ces échanges intervenus alors que Pfizer obtenait de l’Union européenne des contrats de fourniture du vaccin anti Covid, et pendant un différend avec AstraZeneca, le rival de Pfizer…
Tout ça n’a pas empêché que Bourla et sa copine Von der Leyen reçoivent, en octobre 2021, la récompense du « distinguished leadership », décernée par l’Atlantic Council, think tank financé notamment par Burisma (dont le fondateur est Hunter Biden, fils dégénéré de Joe Robinette « Bidon », dont nous avons déjà parlé pour son implication dans l’activité des biolabos américains en Ukraine).
Et donc il reçoit sans doute aujourd’hui un prix « Nobel » juif pour l’ensemble de sa carrière. Mais celle-ci n’est vraisemblablement pas terminée puisqu’il annonçait, il y a quelques jours, que « le vaccin pour enfants de Pfizer est efficace à 80% pour prévenir l’infection au coronavirus » alors que l’Agence américaine des médicaments (FDA) a autorisé en urgence les vaccins de Pfizer et de Moderna pour les tout petits.
C’est le moment de rappeler que Pfizer est le laboratoire le plus condamné au monde :
– Carrément 2 milliards 3 en 2009 pour avoir commercialisé le « Bextra » malgré des effets secondaires dévastateurs…
– 60 millions en 2012 pour faits de corruption aussi bien en Europe qu’en Asie…
– 35 millions à payer récemment au Nigéria aux familles des morts par effets secondaires d’un autre « médicament » Pfizer, le « Trovan »…
Comme l’écirvait Louis Ferdinant Celine : « Jadis on pendait les voleurs aux croix… Aujourd’hui on pend des croix aux voleurs ! »