Nouveau numéro de la chronique géopolitique par le duo du Cosaque et de l’ami Scipion de Salm. Au sommaire aujourd’hui : l’Union Européenne, son origines, son rôle. Pour comprendre en quoi ce fameux « machin » est une entrave à la souveraineté des nations.
Source : La chronique du Cosaque sur Le Réveil des Moutons
« Historien », monsieur de Salm ? Permettez-moi de m’étonner !
Dater l’intention de créer l’Union Européenne de 1945, puis sa mise en oeuvre à partir du traité de Rome de 1957, relève moins de l’historien que de l’auxiliaire de la propagande mondialiste, que ce soit par ignorance ou par imprégnation politiquement correcte.
Propagande mondialiste qui tend à nous cacher ce que furent et ce que demeurent les véritables objectifs de ceux qui ont instrumentalisé l’Union Européenne pour anéantir nos peuples !
Les prémices de l’Union Européenne, monsieur de Salm, ne font pas suite à la guerre de 40/45, mais à la guerre de 14/18.
Elles datent de la fondation – et déjà du financement par l’oligarchie financière américaine ! – de l’UNION PANEUROPEENNE, créée en 1922 par le Comte Richard Coudenhove-Kalergi.
Lequel, dans son livre-programme « Idéalisme pratique », publié en 1925, est on ne peut plus explicite quant aux objectif de cette organisation :
« Nous nous efforceront d’obtenir dans le futur une Europe orientalisée par un métissage eurasiatique négroïde. Les chefs en seront les juifs, grâce à leur esprit communautaire »
Quant aux références à Charlemagne, que vous avez raisons de souligner… Un prix « Charlemagne » a été effectivement créé au lendemain de la seconde guerre mondiale. Prix Charlemagne connu aussi sous le nom de « Prix Kalergi », dans la mesure où il en fut le premier récipiendaire. Attribué aux présidents de l’Union Européenne, il récompense tous les membres de l’Union qui, comme Angéla Merkel, ont contribué au déferlement migratoire en Europe.
Preuve que l’application du plan Kalergi est plus que jamais d’actualité…
Quant à votre condamnation toute aussi politiquement correcte de ce que vous appelez le « complotisme », j’y opposerai cette analyse de Syrus Vance, Secrétaire d’Etat US :
« En politique, rien n’arrive par hasard. Tout ce qui se passe a été prévu et organisé de longue date »
Ce qui était exprimé de manière plus abrupte par Alain Soral, dans Rivarol du 28 04 2021 :
« Il faut être vraiment bête, malhonnête et lâche pour ne pas être complotiste »
Mille excuses si j’ai été désagréable…
Erreur de ma part : il faut lire Cyrus Vance (avec un C), lequel était en activité à l’époque du Président Carter. de 1977 à 1980.
Par ailleurs, le livre de Kalergi (éditions Omnia Veritas) est actuellement disponible dans les librairies bien pensantes, ce qui vous permettra d’apporter une réplique vérifiable à ceux qui vous traiteront de complotistes !