COMME SOUVENT les pouvoirs publics profitent des vacances estivales pour mettre en œuvre des mesures répressives en toute tranquillité. On se souvient que l’été 2021 avait été marqué par une répression impitoyable contre les manifestants défilant contre la tyrannie sanitaire et singulièrement contre Cassandre Fristot et quelques autres accusés d’antisémitisme, le crime qui ne pardonne pas, simplement pour avoir porté une pancarte dénonçant les agissements liberticides de personnalités politiques dont certaines étaient juives ou supposées telles. La jeune femme avait été condamnée à six mois de prison avec sursis, radiée de l’Education nationale, condamnée à plus de 10 000 euros d’amende et de dommages et intérêts et traînée dans la boue des semaines durant. L’été 2023 est davantage encore marqué par une répression qui confine à la folie. En l’espace de quatre semaines seulement, le gouvernement a fait interdire tous les spectacles de Dieudonné partout en France. Le ministre de l’Intérieur, le très ambitieux Gérald Darmanin, qui brûle de concourir à la présidentielle de 2027, au grand dam d’Edouard Philippe, a en effet publié le 9 août une circulaire, à l’instar de ce qu’avait fait son prédécesseur Manuel Valls le 6 janvier 2014, enjoignant à tous les préfets de France d’interdire systématiquement tous les spectacles de Dieudonné. Ce qu’ils ont fait naturellement.
Le préfet de police de Paris, le calamiteux Laurent Nunez, après avoir déjà interdit dans la capitale la représentation du précédent spectacle de l’humoriste, Foutu pour foutu, a pris un nouvel arrêté pour interdire son nouveau spectacle : Dieudonné sous bracelet (voir l’interview de l’artiste en page 3 de ce numéro). En arguant notamment du fait que dans ce spectacle était mis en scène un personnage de confession juive, ce qui est faux. Mais la police de la pensée ne s’embarrasse pas de faits, de preuves, de démonstrations. Elle frappe, elle interdit, elle dissout, elle tyrannise, elle ment avec cynisme pour parvenir à ses fins. Nunez a également écrit à Dieudonné le 1er août pour le prévenir que la pièce qu’il doit jouer le 14 septembre au Zénith de Paris, La Cage aux fous, allait être interdite car, tenez-vous bien, elle contiendrait des « atteintes à la dignité humaine » ! En revanche, quand le festival d’Avignon donne à voir un spectacle où sont embrochés des enfants blancs et où se déverse un racisme anti-blancs primaire, radical, viscéral et insupportable (voir les chroniques de Spieler et d’Hannibal sur le sujet), il ne s’agit pas là d’atteintes à la dignité humaine. Officiellement tous les citoyens sont égaux mais manifestement il y en a qui sont plus égaux que d’autres !
L’ENTRETIEN que Dieudonné nous a accordé fin juillet et que nous avons publié dans notre numéro d’été, avec sa lettre aux nationalistes et patriotes français, a suscité, quant à lui, des cris d’orfraie des associations habituelles, l’UEJF et la LICRA, qui ont annoncé aussitôt des poursuites judiciaires pour antisémitisme et homophobie et qui ont redoublé de haine à l’égard de l’humoriste et de RIVAROL. Pourtant, si on se donne la peine de lire attentivement et sans parti pris cette interview très intéressante, on ne voit pas ce qui peut susciter une telle hystérie. Mais il est vrai qu’il en faut bien peu à ces associations de la haine pour s’indigner, tempêter, déchirer leur tunique, comme le grand prêtre hurlant face au Christ : « il a blasphémé ». Et de fait, dès lors que l’on ne plie pas l’échine, qu’on ne passe pas sous les fourches caudines du JUDAPO (le judaïsme politiquement organisé), on n’a pas le droit à la parole ni à l’existence. A-t-on encore seulement le droit de respirer ? Hervé Gerbi, le président isérois du Conseil représentatif des institutions juives de France, exigeant l’interdiction du spectacle de Dieudonné à Grenoble (car ces gens-là, avec l’impudence et l’arrogance qui les caractérisent, ne formulent pas des souhaits mais réclament, exigent, ordonnent que des têtes soient coupées, et gare à ceux qui ne rampent pas devant eux !) et ayant écrit à cette intention au maire de Grenoble et à la préfecture de l’Isère — qui ont évidemment obtempéré — a ainsi déclaré : « Il (Dieudonné) est porteur en lui-même, au-delà de ses spectacles, d’une idéologie de haine, Il faut aujourd’hui avoir le courage de prendre les dispositions qui s’imposent et de dire : Dieudonné n’a rien à faire sur notre territoire. »
Autrement dit, quelle que soit la teneur de ses spectacles, et même s’il n’y a rien à lui reprocher aujourd’hui en tant qu’artiste, qu’importe, Dieudonné est porteur en lui-même d’une idéologie de haine. Difficile d’aller plus loin dans l’ostracisme. Dieudonné, ajoute-t-il, « n’a rien à faire sur notre territoire ». Les choses sont claires. On l’avait compris depuis longtemps : pas plus que la Palestine occupée n’appartient aujourd’hui aux Palestiniens, chassés de leur terre, humiliés, maltraités, dépossédés, désarmés, diabolisés, délégitimés, la France n’appartient aux Français. Elle appartient au CRIF. Voilà ce qu’il faut comprendre quand Hervé Gerbi écrit : Dieudonné n’a rien à faire sur NOTRE territoire. Cela a le mérite de la clarté. Le CRIF avait d’ailleurs déjà dit, visant explicitement RIVAROL, qu’une publication « antisémite, négationniste, raciste, homophobe » n’avait pas « droit de cité » en France. Autrement dit, si on décrypte ce vocabulaire de guerre civile, d’intimidation et de terreur — car nous vivons une période ressemblant de plus en plus au temps de la loi des suspects et de la Terreur révolutionnaire, avec une application toujours plus étendue et plus intensive de la répression envers tous les ennemis idéologiques —, tout Français défendant sa foi, sa terre, son peuple, son sang, sa famille, ses aïeux, ses racines, son héritage, la doctrine et la civilisation chrétienne n’a plus droit de cité en France. Il doit se taire, être emprisonné ou disparaître. Laisser la place à d’autres. Aux transsexuels, aux invertis, aux allogènes, aux associations dites antiracistes et mémorielles. Dans la France d’après, le Français de souche n’a plus sa place. Le Français nationaliste et catholique convaincus encore moins.
NON CONTENT DE S’EN PRENDRE à Dieudonné, le ministre de l’Intérieur, qui semble là donner tous les gages pour faire carrière et accéder à la magistrature suprême, a décidé le 7 août d’engager la dissolution de l’association catholique traditionaliste Civitas, fondée en 1999, devenue un parti politique en 2016 et présidée depuis 2012 par le Belge Alain Escada. Le prétexte : une séquence d’une cinquantaine de secondes dans laquelle l’essayiste Pierre Hillard évoque brièvement, en réponse à une question orale après sa conférence, les conséquences, selon lui, de l’accession à la citoyenneté de tous les Juifs de France en 1791 quant à la question de l’immigration dans notre pays. Là encore, le mouvement Civitas doit être dissous, selon Darmanin, à cause de son “antisémitisme”. On n’en sort pas ! Il est vrai qu’il est plus facile pour le ministre de l’Intérieur d’interdire des mouvements qualifiés d’extrême droite ou d’ultra-droite que des mouvements activistes et gauchistes. Darmanin avait dissous en Conseil des ministres le mouvement écologiste et activiste d’extrême gauche, les Soulèvements de la Terre. Le Conseil d’Etat a suspendu le 11 août ce décret de dissolution, alors même que les violences sur les biens et les personnes commises par des militants de ce mouvement, notamment lors d’un rassemblement au printemps contre les “méga-bassines” à Sainte-Soline (Deux-Sèvres) où avaient eu lieu de très durs affrontements avec les forces de l’ordre, sont incontestables et parfaitement documentées. Contrairement à Civitas qui n’a jamais commis la moindre violence, le moindre pillage. Contrairement aussi à l’Œuvre française, aux Jeunesses nationalistes, au Bastion social, à Génération identitaire et à tant de mouvements nationaux et nationalistes qui ont été dissous pour des raisons purement idéologiques et politiques alors qu’ils n’avaient jamais commis la moindre violence physique, qu’ils ne s’en étaient jamais pris au mobilier urbain, non plus qu’aux forces de l’ordre. Comme quoi il vaut mieux dans notre pays occupé être un militant activiste et violent d’extrême gauche qu’un Français catholique et nationaliste.
Pour justifier la procédure de dissolution de Civitas, qui pourrait durer quelques mois, le ministère de l’Intérieur a évoqué les atteintes répétées de ce mouvement aux « valeurs de la République ». Il s’agit là d’une déclaration d’une extrême gravité et lourde de menaces. Car manifestement il suffit désormais d’édicter qu’un contradicteur, qu’un contestataire, qu’un concurrent, qu’un adversaire menace par ses discours, ses idées, ses pensées ou arrière-pensées « les valeurs de la République », lesquelles ont été bien changeantes au cours des âges (que l’on pense par exemple à la question de l’avortement, de l’homosexualité voire du divorce) pour qu’on le condamne, qu’on l’ostracise et qu’on dissolve le mouvement qu’il dirige ou dont il est membre. On nage en plein arbitraire et en plein délire. Et en effet aujourd’hui être accusé d’homophobie, et même désormais de LGTBphobie (ce qui va encore plus loin, car cela condamne, disqualifie la moindre réserve envers les revendications les plus exorbitantes du lobby LGBT), de transphobie, de lesbophobie et de biphobie (si, si, ça existe : ce serait la haine ou la crainte de la bissexualité !), c’est aller contre les valeurs de la République. Etre opposé au Grand remplacement en cours, vouloir que la France reste ou redevienne ce qu’elle a été, c’est être raciste et xénophobe. C’est aller contre les valeurs de la République. Etre favorable à la liberté de recherche, d’expression et de publication en histoire, c’est être négationniste et antisémite. C’est aller contre les valeurs de la République. Défendre la morale naturelle et la famille traditionnelle, l’identité catholique de la France, c’est être pétainiste et donc antisémite. C’est aller contre les valeurs de la République. Le temps n’est pas loin peut-être où, comme sous la Révolution dite française, l’on viendra chercher dans les couvents et monastères les religieux et religieuses pour les embastiller car ils seront convaincus non plus de superstition mais d’homophobie et de LGBTphobie, tout simplement parce qu’ils entendent rester fidèles (à moins que certains n’apostasient d’ici là dans une optique moderniste et bergoglienne) au catéchisme, au Nouveau Testament, aux écrits si nets de saint Paul notamment sur l’homosexualité. La République a en effet tous les outils juridiques et administratifs pour lancer à tout moment cette persécution. Voilà où nous en sommes. Pauvres de nous !
SI, COMME nous l’écrivions, il vaut mieux être de gauche ou d’extrême gauche que de droite ou d’extrême droite pour échapper à la diabolisation et à la répression, cela a toutefois ses limites quand l’accusation d’antisémitisme est brandie. Ainsi qu’en témoigne l’affaire Médine. Ce rappeur proche de la France insoumise et qui avait soutenu la candidature présidentielle de Mélenchon en 2022, bien qu’il dispose encore de certains soutiens chez les Verts (qui se divisent toutefois sur la question), à la France insoumise et au Parti communiste (l’Humanité du 24 août l’a complaisamment interviewé) et qu’il a été invité aux universités d’été d’Europe Ecologie les Verts (le 24 août), de la France insoumise (le 26 août) et qu’il sera en principe à la Fête de l’Humanité le 16 septembre, est l’objet de violentes attaques depuis qu’en réponse à « l’Afro-yiddish » Rachel Khan, qui l’avait aimablement traité de “déchet”, il avait posté un tweet avec un jeu de mots sur son nom patronymique en parlant de “ResKAHNpée”. Comment ? Le rappeur avait osé utiliser le mot rescapé alors que Rachel Kahn a en partie des origines juives. Voilà qui suffit à disqualifier pour l’éternité le coupable. Car s’il n’y a plus officiellement de loi sanctionnant le blasphème en France (quoique la loi Fabius-Rocard-Gayssot s’assimile à une loi contre le blasphème, mais d’un nouveau genre), de fait tout ce qui a trait de près ou de loin à la question juive est sacré. On ne peut aborder ce sujet, et tout ce qui lui est connexe (entité sioniste, Palestine, Seconde Guerre mondiale, la question du Nouvel Israël dans la théologie catholique, etc.) qu’avec une extrême prudence et une totale déférence. Pour ne pas dire une obséquiosité et une soumission absolues. Médine a eu beau répéter qu’il n’était pas antisémite, que l’antisémitisme était un poison qu’il combattait, que son tweet était une erreur et une maladresse dont il n’avait pas mesuré la portée, qu’importe. Rien n’y fait.
Face à la secte vociférante du « Ni pardon ni oubli », la condamnation est sans appel et sans retour. On a beau ramper, pleurnicher, s’excuser, se lamenter, rien n’y fait. Malgré ses explications et ses excuses, Médine est déprogrammé d’un festival où il devait se rendre en Belgique. Plusieurs maires écolo-gauchistes ont déserté l’université des Verts à cause de sa présence. L’inénarrable Sandrine Rousseau l’a vertement tancé. Edouard Philippe, maire du Havre, qui devait participer à un débat de l’université d’été des Verts se tenant dans sa ville a annulé sa présence pour ne pas se compromettre avec une personnalité accusée d’antisémitisme alors qu’il brigue l’Elysée. Les sites communautaires s’en donnent à cœur joie contre Médine accusé d’avoir fait, il y a plus de dix ans, et à plusieurs reprises, la quenelle dieudonnesque, d’avoir chanté contre la sacro-sainte laïcité et de ne pas éprouver de sympathie particulière pour l’entité sioniste. Dans le domaine de « la lutte contre l’antisémitisme », on n’en fait jamais assez. Et on crie au loup, même et surtout quand il n’est pas là. Comme en témoigne l’affaire de Levallois (voir l’article ci-dessus d’Henri de Fersan) où celui qui avait dessiné des graffitis antisémites sur la devanture d’une sandwicherie casher à Levallois-Perret est un septuagénaire juif voulant se venger des impayés de loyer d’un établissement lui appartenant et loué par la victime, juive elle aussi. Il s’agit donc d’un litige commercial entre deux juifs. L’un vole l’autre. L’autre pour se venger écrit sur sa devanture : « Juif voleur ». Qu’on ne nous parle pas là de clichés antisémites éculés ! La réalité dépasse la fiction. Avec eux décidément, on n’est jamais déçu !
MAIS croyez-vous que la LICRA, le CRIF et tutti quanti qui ont hurlé à l’antisémitisme voulant culpabiliser et tétaniser le pays tout entier et faire pression sur les pouvoirs publics pour qu’ils prennent des mesures encore plus liberticides vont se montrer à l’avenir plus prudents, plus circonspects, plus humbles ? Pensez-vous ! C’est bien mal les connaître. Et pourtant les fausses agressions antisémites sont légion. Henri de Fersan en relate quelques-unes. On pourrait en ajouter beaucoup d’autres. En 2015, un enseignant juif marseillais, Sylvain Tsion Saadoun, kippa sur la tête et barbe fournie, fait croire qu’il a été agressé au couteau par trois hommes se revendiquant de l’Etat islamique. En fait des problèmes conjugaux seraient à l’origine du pur mensonge de l’enseignant. En 2003, quelques mois après l’affaire de l’auto-mutilation du rabbin Farhi qui prétendait avoir été agressé par des islamistes alors que le couteau de cuisine venait directement de la synagogue, Alex Moïse, alors porte-parole du Likoud en France, ce qui est, comme on le sait, un gage de moralité et de respectabilité, et qui a été e pointe dans la campagne médiatique anti-Dieudonné, menaçant de faire sauter les théâtres où l’humoriste devait se produire, affirme recevoir sur son téléphone portable des appels anonymes avec menaces de mort et insultes antisémites. Les policiers qui ne s’en laissent pas conter — ils sont habitués aux affabulateurs ! — s’aperçoivent très vite que c’est A. Moïse lui-même qui s’envoyait ces messages haineux. En décembre 2003, l’école Marsaka Thora de Gagny en région parisienne prend feu. Les media s’enflamment, le Premier ministre de l’époque, Jean-Pierre Raffarin, sans attendre le résultat de l’enquête, connaît le mobile du crime : l’antisémitisme bien sûr. Et sur-le-champ le chef du gouvernement crée un Comité ministériel de lutte contre l’antisémitisme., un de plus ! Quelques semaines passent et le Figaro, puis L’Express, dans de brefs entrefilets, laissent clairement entendre qu’il s’agit d’une escroquerie à l’assurance. Les responsables loubavitch de l’établissement sont en effet perclus de dettes : l’incendie est providentiel.
N’ayons toutefois aucune illusion : malgré toutes ces fausses agressions qui sont légion, les associations communautaires et les politiciens qui mangent dans leur main n’ont pas fini de crier au loup antisémite à tort et à travers. Et d’attenter plus que jamais à nos libertés dont il ne reste plus, à vrai dire, que de modestes lambeaux. C’est ainsi par exemple que des associations comme la LICRA et des comptes Twitter anonymes (courage fuyons…), après avoir obtenu la perte de notre immatriculation auprès de la CPPAP, exigent ouvertement désormais des pouvoirs publics l’interdiction pure et simple de RIVAROL, un journal d’opinion paraissant sans discontinuité depuis près de trois quarts de siècle, et disponible tant en kiosque (là où nous sommes encore “autorisés”) que sur abonnement. C’est pourquoi nous exhortons dès maintenant tous nos lecteurs au numéro soit à s’abonner sans tarder, fût-ce pour une courte durée ou à prix réduit, soit à tout le moins à nous communiquer très rapidement leur adresse postale (et électronique s’ils en ont une) pour pouvoir les informer de la situation et rester en contact avec eux si jamais le pire advenait. Ce qui est hélas possible à tout moment vu l’hystérie ambiante. Ecrivez-nous ou envoyez très vite un courrier électronique à [email protected]. Merci d’avance.
Mais quoi qu’il advienne et quelle qu’en soit la forme, soyez-en sûrs, le combat continue ! On ne lâche rien ! Haut les cœurs !
[…]
RIVAROL, <[email protected]>
Source : Éditorial de Rivarol
Excellent éditorial de Jérôme Bourbon et Merci également à Jeune Nation pour ce partage. Je partage totalement ce qui est dit avec rigueur et talent. Je déplore qu’il n’existe pas de structures pour lutter contre cette accusation et soutenir leurs victimes. La lutte, souvent incomprise, que je mène depuis plus de 30 ans pour la défense de l’humain, s’inscrit également dans cette optique, même si mes objectifs sont plus globaux. Cette accusation ideologique raciste, visant à deshumaniser, à disqualifier , à criminaliser ; à réprimer et à persécuter des êtres humains, ne doit plus être possible. C’est la seule accusation qui tient lieu de condamnation quasi systématique et qui permet et vise à » justifier »toutes les atteintes à l’être humain et aux droits humains à l’encontre des personnes qui en sont victimes. Cela devrait vous interpeller tous !
Protéger et Défendre l’Humain sont des nécessités urgentes absolues
✅STATUT DE L’HUMAIN ET VRAIS DROITS HUMAINS PLUS ARTICLES SUR DIVERS SUJETS COMPLÉMENTAIRES.
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