Cet été, pour le 5e anniversaire de la fondation de leur organisation, nos camarades de Légió Hungária ont organisé un camp de formation sportive et politique. Leur persévérance et leur intransigeance payent. Ils sont devenus aujourd’hui, au travers d’activités politiques et culturelles, comme la Journée des Héros qui célèbre le sacrifice des Hongrois, en février 1945, pour arrêter la barbarie soviétique aux portes de Budapest, un exemple à suivre pour tous les Nationalistes d’Europe.
Les Nationalistes de France leur ont transmis ce texte, pour célébrer notre combat commun pour la restauration de nos Patries millénaires :
« Chers Camarades,
Tout d’abord, je voudrais vous dire combien je regrette de ne pas pouvoir être des vôtres aujourd’hui.
Il est en effet chaque jour plus nécessaire de nous connaître, de travailler ensemble, pour libérer nos patries d’Europe de la décadence et pour leur rendre leur glorieux destin.
Depuis maintenant plusieurs années, nous avons appris, au sein de l’Alliance Forteresse Europe, à travailler de concert pour atteindre ce même but.
Certes, nos analyses peuvent être différentes, parce que l’histoire récente de nos nations est particulière à chacune d’elles.
Car l’Europe n’est pas une nation, mais une civilisation commune que nous devons défendre comme une forteresse contre les assauts de ceux qui veulent la corrompre et la détruire.
Les relations entre la France et la Hongrie sont cependant anciennes et solides.
Dès le mois d’octobre 1528, le roi de France, François Ier, et le roi de Hongrie, Jean Szapolyai, avaient conclu une alliance militaire offensive et défensive.
Le plus ancien et prestigieux régiment de Hussards français, celui de Bercheny, doit son nom à ce cavalier de la noblesse hongroise qui mit, en 1720, son sabre au service de Louis XV et dont les troupes contribuèrent grandement à la victoire française de Fontenoy.
Enfin, je pense avec émotion à notre ami Lajos Marton, qui combattit héroïquement le communisme criminel et se trouva forcé à fuir la Hongrie, pour venir en France et y devenir, avec quelques trop rares camarades français, l’un de ceux qui avaient compris quel mal faisait à la France le général de Gaulle avec sa politique d’abandon de nos terres d’Algérie, et qui tenta, avec ses camarades de l’OAS, d’éliminer ce traître.
Aujourd’hui, en France comme en Hongrie, des militants nationalistes se lèvent pour défendre et faire connaître l’héritage de nos héros.
Des militants, comme notre ami Bela Incze, sont condamnés par le régime en place parce qu’ils ont osé laver la souillure que constitue une immondices estampillée « Black Lives Matter ».
Chez nous, notre camarade et chef Yvan Benedetti accumulé les condamnations parce qu’il osé dire la vérité.
Mais nous ne pouvons pas être vaincus.
Nous ne pouvons pas être vaincus parce que nous sommes sur nos terres, au milieu de nos peuples.
Leur démocratie libérale change de costume à chaque élection.
Nos habits sont aussi vieux que nos nations.
Ils sont bien une seconde dans l’histoire, nous sommes l’éternité.
Camarades, demain nous appartient !
Je vous envoie notre salut nationaliste ! »
This summer, to mark the 5th anniversary of the founding of their organisation, our Légió Hungária comrades organised a sports and political training camp.
Their perseverance and intransigence are paying off. Today, through political and cultural activities such as Heroes’ Day, which celebrates the sacrifice of Hungarians in February 1945 to stop Soviet barbarism at the gates of Budapest, they have become an example for all Nationalists in Europe to follow.
The Nationalists of France have sent them this text, to celebrate our common fight for the restoration of our thousand-year-old Homelands:
“Dear Comrades,
First of all, I would like to say how sorry I am not to be able to be with you today.
It is more and more necessary for us to get to know each other, to work together, to free our European homelands from decadence and to restore their glorious destiny.
For several years now, within the Fortress Europe alliance, we have been learning to work together to achieve this same goal.
Admittedly, our analyses may differ, because the recent history of our nations is unique to each of them.
For Europe is not a nation, but a shared civilisation that we must defend like a fortress against the assaults of those who wish to corrupt and destroy it.
Relations between France and Hungary are long-standing and solid.
As early as October 1528, the King of France, François I, and the King of Hungary, Jean Szapolyai, signed an offensive and defensive military alliance.
The oldest and most prestigious French Hussar regiment, the Bercheny Regiment, owes its name to this Hungarian nobleman who, in 1720, put his sword at the service of Louis XV and whose troops made a major contribution to the French victory at Fontenoy.
Finally, I think with emotion of our friend Lajos Marton, who fought heroically against the criminal communism and was forced to flee Hungary, to come to France and become, along with a few too few French comrades, one of those who understood the harm General de Gaulle was doing to France with his policy of abandoning our Algerian lands, and who tried, along with his OAS comrades, to eliminate this traitor.
Today, in France as in Hungary, nationalist militants are rising up to defend and publicise the heritage of our heroes.
Activists like our friend Bela Incze are being condemned by the regime in power because they dared to wash away the filth stamped “Black Lives Matter”.
At home, our comrade and leader Yvan Benedetti has been condemned for daring to speak the truth.
But we cannot be defeated.
We cannot be defeated because we are on our land, among our people.
Their liberal democracy changes clothes at every election.
Our clothes are as old as our nations.
They are well second in history we are eternity.
Comrades, tomorrow belongs to us !
I send you our nationalist greetings !”