Le Média en 4-4-2 revient sur une épisode que nous connaissons bien à Jeune Nation – et dont notre directeur de publication, Yvan Benedetti, à fait les frais, s’en sortant avec de nombreux points de suture et ecchymoses : l’attaque d’une manifestation organisée par l’Œuvre Française et Pierre Sidos en hommage à Jeanne d’Arc, le 8 mai 1988. Une attaque menée en France, contre des Français non reniés, par les nervis de l’Organisation juive de combat, faux nez du Betar, et dont un certain nombre d’auteurs ont fuit dans un petit pays du Proche-Orient dont ils détenaient passeport évidemment (« merde, quand même ! ») pour éviter les poursuites. Une attaque à laquelle le député israélien au Parlement français, Meyer Habib, a participé mais qui s’est soldée pour lui, malgré tout, par une condamnation judiciaire (pour laquelle il n’a toujours pas remboursé le Fonds de garantie pour l’indemnisation des victimes d’infractions et des actes de terrorisme).
On trouvera plus d’informations et de détails sur cette attaque dans les articles que nous y avons consacrés :
- 8 mai 1988 : Attaque d’une milice sioniste sur le défilé traditionnel en l’honneur de Jeanne d’Arc
- En France comme en Palestine, mêmes colons, même combat de libération !
- La kolossale délicatesse du « député » Habib
Des documents dévoilés dans l’ouvrage mettent en lumière l’implication de Meyer Habib dans l’attaque survenue lors de la commémoration de Jeanne d’Arc le 8 mai 1988. Les informations divulguées soulèvent des questions extrêmement embarrassantes sur le parcours du député, qui était associé à des milices sionistes clandestines.
L’ouvrage « Les Guerriers d’Israël » publié en 1995 par Emmanuel Ratier, rapporte en détail les événements de l’attaque, décrivant un groupe de militants du Betar (mouvement juif sioniste radical), dissimulés sous l’étiquette de l’organisation juive de combat, qui ont violemment agressé les participants. Les agresseurs ont utilisé des armes improbables telles que des manches de pioche et des poings américains, entraînant de graves blessures pour huit personnes, un septuagénaire est resté plusieurs semaines dans le coma. La plupart des assaillants passeront entre les mailles du filet, jouissant d’intermédiaires haut placés. Les poursuites contre certains agresseurs ont été abandonnées avec la mention suivante du juge d’instruction : « Instruction inopportune ».
Les révélations sont étayées par des documents probants, y compris un rapport d’arrestation, qui identifie clairement Meyer Habib parmi les personnes appréhendées par la police à la suite de l’incident. Né le 28 avril 1961 à Paris, Meyer Habib, fils d’ingénieurs, a depuis fait son chemin jusqu’à devenir député et proche du premier ministre d’Israël, Benyamin Netanyahou.
Meyer Habib a été condamné à une peine de deux ans d’emprisonnement avec sursis, assortie d’une mise à l’épreuve de trois ans, conformément aux dispositions de l’article R, 58 alinéa 6 du code de procédure pénale. Ces actes d’une rare barbarie ont été reconnus, et les personnes touchées ont été indemnisées en tant que victimes de terrorisme par le Fonds de garantie des attentats.
Les faits sont ensuite rapportés dans le documentaire « Le Descendant » diffusé sur Public Sénat, par Thierry Attali, membre du Betar, français et sioniste affirmé, défenseur ouvertement de l’expansion d’Israël et de la colonisation, résidant dans la colonie de Kyriat Arba.
Ces révélations soulèvent des questions troublantes sur l’intégrité passée et présente du député, notamment sur son implication dans des actions violentes et controversées. Malgré ces allégations, il continue de jouir du soutien de personnalités politiques influentes et les plateaux de télévision se l’arrachent, ce qui soulève des doutes quant à la rigueur de la vérification des antécédents des personnalités politiques.
En dépit des tentatives pour enterrer cet épisode sombre de son passé, ces nouvelles révélations pourraient potentiellement ébranler la confiance du public envers Meyer Habib et remettre en question son aptitude à occuper une position politique aussi influente.
Source : Le Média en 4-4-2
Excellente analyse.
J’ai vu que ces informations circulaient activement sur certains réseaux sociaux qui censurent le moins.
Je comprends mieux cet acharnement mis pour essayer d’interdire leur accès.
Je pense qu’il y a un combat essentiel pour la défense de nos droits et de nos libertés à mener, en dehors de tout champs politiques classiques. C’est ainsi que nous gagnerons.
✅ »ISLAMISTE », « TERRORISTE », « ANTISEMITE,' » LES MAITRES-MOTS DE LA DIALECTIQUE DE L’ENTREPRISE DE DESHUMANISATION ET DE CRIMINALISATION DES MUSULMANS EN FRANCE, principalement, mais pas seulement… [ J’en sais quelque chose, puisque j’ai été moi-même accusé d’antisémitisme en 1980, voire même d’être un idéologue de » l’antisémitisme »,( alors que j’étais président de l’association » Présence evolienne », dont le but était de faire connaître la pensée de Julius Evola, un philosophe italien.]
Ce sont là des qualificatifs fourre-tout , qui justifient et permettent tout.
Leur usage n’est jamais innocent. Il ne faut surtout jamais les laisser passer et porter plainte pour diffamation immédiatement. Ces qualificatifs sont des signes » secrets » de feu vert , envoyés aux services de police, de justice, aux médias, aux polices de la pensée et à leurs » justiciers », signifiant ton marquage du sceau de l’infamie, ta proscription à vie et ta descente aux Enfers., Ils se veulent être des marquages de « la bête », alors que ce sont des marquages du signe de « la bête ». Désormais la personne affublée de ces qualificatifs, est considérée de fait comme n’ayant plus de droits, à l’égard duquel l’application du droit sensé le protéger ne s’applique pas. Les mots » dans votre cas, le droit ne s’applique pas », prononcés à mon égard en 1980, par un doyen des juges d’instruction du Tribunal de Nice, dans le cadre d’une accusation surréaliste , résonnent toujours dans ma tête 43 ans après… ( Lire Mon Témoignage : https://www.aredam.net/vie-brisee.html
il s’ensuivra pour moi, toute une vie, de persécutions, de violations de mes droits…
A noter que l’accusation d’antisémitisme, est avant tout, une accusation arbitraire , raciste, supremaciste, terroriste et totalitaire, qui n’a aucune limite ; pouvant s’appliquer, même préventivement, à l’égard de tout, visant à faire taire, par la loi, par la répression, par le soupçon et les persécutions, toute vérité dérangeante qui aurait été dite, aurait pu être dite, qui pourrait être dite. Cette accusation est une violation des droits humains, des principes de l’égalité humaine et de l’égalité des moyens et des droits à la défense.
Daniel Milan
Etant donné la circonscription où il se présente, je ne pense pas que cela soit susceptible d’effaroucher ses électeurs !