On a beaucoup dit et écrit à propos du deep state américain – et, inévitablement, on en a dit tout et son contraire, au point de perdre complètement de vue ce qu’il est réellement –, mais on n’a jamais parlé d’un deep state européen. Pourtant, il existe, et il devient de plus en plus visible. Il y a bien sûr une différence fondamentale avec celui des États-Unis, qui représente un ensemble composite, certes, mais néanmoins focalisé sur le maintien de l’hégémonie américaine sur le monde, tandis que celui de l’Europe est avant tout centré sur la préservation de lui-même et de son propre pouvoir.
Ce deep state européen est essentiellement composé de politiciens, de bureaucrates, de grands commis et de lobbyistes, en connexion croissante avec des militaires du commandement de l’OTAN. Il constitue de fait une sorte de franc-maçonnerie européenne, fortement engagée dans la promotion et la défense de ses membres, mais surtout dans l’exercice d’un pouvoir supranational de plus en plus envahissant – et de plus en plus antidémocratique.
Ce deep state s’est formé principalement au cours des 10 à 15 dernières années et a progressivement dépouillé les divers gouvernements nationaux – les seuls à disposer d’une quelconque légitimité démocratique – de tout pouvoir réel. La Commission européenne s’est de plus en plus caractérisée comme une toute autre « commission » : une véritable coupole de super-pouvoir dépourvue de toute légitimité démocratique.
De manière de plus en plus évidente, des figures occupant des rôles essentiellement représentatifs (président de la Commission européenne, secrétaire général de l’OTAN) ont commencé à agir et à se présenter comme des autorités suprêmes au pouvoir, non soumises à un quelconque contrôle de la part des pays qu’elles sont censées représenter – et qui, de toute façon, ayant progressivement renoncé à tout pouvoir effectif, continuent largement à ne pas s’y opposer, renforçant ainsi le rôle (abusif) de cette coupole.
Cette prise de pouvoir insidieuse s’est réalisée grâce à un parfait alignement avec le bloc de pouvoir dominant aux États-Unis – à savoir l’alliance entre les démocrates et les néoconservateurs – dans l’ombre duquel le deep state européen a prospéré. En d’autres termes, il s’est fait l’instrument docile de la faction dominante du deep state américain, trouvant dans cette soumission docile la garantie de son propre pouvoir sur le continent.
Inévitablement, donc, le changement des équilibres au sein du deep state américain provoque un bouleversement imprévu, et les membres du deep state européen ne savent plus très bien comment se positionner, indécis entre la subalternité historique à l’empire d’outre-Atlantique et la cohérence avec les axes politico-stratégiques auxquels ils se sont longtemps subordonnés.
L’émergence de la vérité brute sur la nature de la relation entre l’empire et ses pays vassaux – avec le désintérêt, voire le mépris, de la nouvelle administration américaine ouvertement affichés – s’ajoute à la prise de conscience qu’une période de marginalisation accrue, mais aussi de plus grande soumission, s’ouvre devant eux. Cela ébranle la coupole du pouvoir européen. La perspective d’une guerre aux portes orientales du continent, et surtout la crainte de devoir y faire face seuls, désoriente les membres du deep state européen, qui cherchent désormais, de manière confuse, à trouver un nouveau point d’équilibre, essentiellement pour préserver leur jardin.
Alors que l’axe géopolitique mondial se déplace inéluctablement vers l’Asie et que les structures de pouvoir européennes vacillent, les élites qui dirigent le continent depuis plusieurs décennies se referment sur elles-mêmes. La restriction des espaces de liberté et de démocratie – déjà largement amorcée pendant la pandémie, puis fortement relancée avec la guerre en Ukraine – devient de plus en plus une obsession dominante.
Pour l’instant, l’absence de forces véritablement antisystème (on ne voit que des mouvements d’opposition partielle) menace tout au plus le personnel politique de haut niveau, mais pas le système en lui-même.
Tristement, la seule perspective visible qui pourrait remettre en question cet état de choses serait une défaite dans la guerre, spectaculaire – et douloureuse.
Enrico Tomaselli
Source : Arianna Editrice via Terre & Peuple
C’est plus qu’une erreur de suggérer que le deep state US est (je vous cite) « focalisé sur le maintient de l’hégémonie américaine sur le monde ». C’est carrément ignorer de quoi vous parlez.
Car c’est avant tout sur le maintient de « son » hégémonie sur l’Amérique que ce deep state se focalise !
Relire l’histoire de la fondation des Etats-Unis d’Amérique vous confirmerait que c’est carrément pour échapper à ce qu’était déjà ce deep state, tentant d’assurer, depuis la City Londonienne une insupportable main-mise sur la colonie Britannique d’Amérique, qu’a eu lieu la guerre d’indépendance qui a donné naissance aux USA.
Le guerre d’indépendance américaine (1775-1783) n’a pas eu pour cause une histoire de droits de douane sur le thé, comme on le raconte. Ce fut une guerre d’indépendance contre les banquiers apatrides qui imposaient leur loi à Londres et entendaient dominer et rançonner de la même manière la colonie américaine.
C’est Benjamin Franklin, qui sera considéré par la postérité comme l’un des « pères fondateurs » des Etats Unis, qui l’explique en 1750 : « En créant notre propre papier-monnaie, nous contrôlons notre pouvoir d’achat dans les colonies et n’avons aucun intérêt à payer à personne ».
Mais, en réaction, les banquiers font voter par le parlement anglais une loi obligeant les colons à remplacer leur monnaie, librement émise, par des emprunts aux banques avec intérêts.
Aussitôt, la monnaie en circulation se met à diminuer, de sorte qu’on ne peut s’en procurer qu’en empruntant aux banques.
« En un an – dit Benjamin Franklin – l’ère de prospérité fut remplacée par une dépression telle que les rues de la colonie étaient emplies de chômeurs »
Ce qui fut à l’origine de la proclamation de l’indépendance, en 1776, et de la guerre en résultant.
« Les colons auraient volontiers supporté les taxes sur le thé et autres articles – conclut Benjamin Franklin. Mais c’est l’influence des banquiers sur le parlement anglais qui a créé la haine de l’Angleterre et a causé la révolte de la colonie »
Cette révolte contre le racket bancaire étant à l’origine de la fondation des USA, le premier soin des législateurs américains fut d’inscrire dans l’article premier (section 8) de leur constitution, établie à Philadelphie en 1787 : « Le Congrès se réserve le droit le créer la monnaie et d’en régler la valeur ».
Mais les banquiers apatrides ne renoncèrent pas à contrôler la monnaie du nouvel Etat. Dès 1790, le secrétaire au trésor, Alexander Hamilton, agent de James Rothschild, tentait d’imposer au Congrès une banque centrale adossée aux banques privées spéculatives, rencontrant la vive opposition du Président Jefferson : « Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si les américains permettent que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, puis par la récession ».
Cependant, l’année suivante, ce qu’on appelle pudiquement le « lobbying » des banquiers parvint à obtenir du Congrès la création d’une banque centrale sur le modèle anglais, mais pour vingt ans seulement, à titre provisoire. Banque centrale dont la reconduction du contrat fut refusée en 1811 par le 4ème président des Etats Unis, James Madison, mais qui parvint une nouvelle fois à s’imposer pour vingt ans à partir de 1816 ; pour ne pas être renouvelé en 1837 par le président Andrew Jackson, qui était aussi hostile que ses prédécesseurs à la mainmise sur les USA de la finance internationale.
S’ensuivit la période dite du « National banking system », laissant aux petites banques locales une autonomie relative, mais intolérable pour la « Haute Banque », déterminée à retrouver la centralisation sous son autorité obtenue de haute lutte en début de siècle.
D’où une crise économique parfaitement orchestrée au cours de l’année 1907, permettant aux affidés des puissances financières de « conseiller » une solution : réitérer le recours à la centralisation bancaire sous leur autorité qui avait été suspendu par Jackson en 1837.
Mais ce qui, compte-tenu de la réticence du peuple et des élus américains, se fit très progressivement et avec un maximum de « diplomatie », pour ne pas dire de dissimulation :
• En évitant la dénomination fâcheuse de « Banque centrale ».
• En passant par l’étape d’une « National Monétary Commission », en 1910.
• Pour aboutir enfin au « Fédéral Reserve Act » de 1913.
D’où cette déclaration du président Woodrow Wilson, signataire de la loi, prenant enfin conscience de son erreur : « J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Notre système de crédit est concentré dans le privé. Nous sommes devenus un gouvernement contrôlé et dominé, non pas par le vote de la majorité, mais par la force d’un petit groupe d’hommes dominants ».
ALORS QUE LA GUERRE D’INDEPENDANCE AVAIT EU POUR BUT DE S’AFFRANCHIR DE L’OLIGARCHIE FINANCIERE PARVENUE A S’IMPOSER EN ANGLETERRE, 137 ANS D’INTRIGUES ET DE « LOBBYING » AVAIENT ENFIN PERMIS AUX BANQUIERS LONDONIENS DE RETABLIR LEUR EMPRISE SUR L’EX-COLONIE AMERICAINE. AVEC LA CREATION DE LA RESERVE FEDERALE, 1913 EST L’ANNEE DE L’ASSUJETTISSEMENT DEFINITIF DES AMERICAINS AUX DIKTATS FINANCIERS CONTRE LESQUELS ILS S’ETAIENT REVOLTES EN 1776.
Ce que vous nommez « le deep State Européen » n’est en réalité que le prolongement en Europe du deep state financier apatride qui, comme on l’a vu plus haut, s’est imposé aux Etats Unis d’Amérique.
– L’un de ses vecteurs, d’ordre politique, est notamment l’Américan Foundation sélectionnant les « Young leaders » Européens dont elle favorise les élections et les carrières dans la fonction publique au bénéfice de la mondialisation et au détriment des nations.
– Mais le plus puissant de ses vecteurs, d’ordre économique, repose sur l’abandon progressif de l’étalon-or, au lendemain de la première guerre mondiale (accord de Gènes, en 1922), puis après la crise économique, d’abord US puis mondiale, de 1929. Ce qui, après la seconde Guerre mondiale, aboutira aux accords de Bretton Woods de 1944, établissant, avec le « Gold-Exchange Standard », la domination absolue, dans une économie mondialisée, d’un dollar encore convertible en or, jusqu’en 1971.
– C’est en effet le 15 aout 1971, que le président Richard Nixon mit fin au « Gold Exchange Standart » issu de Bretton Wood, interrompant la convertibilité du dollar en or, mais sans renoncer, pour autant, à l’hégémonie du dollar, imposant ainsi là l’économie mondiale un « dollar-étalon » n’ayant pas d’autre garantie que la puissance
militaro-industrielle des Etats Unis.
Mais c’est ce système politico-économique sur lequel reposait jusqu’ici la domination mondiale du « deep state » qui vient d’être mis à mal par Vladimir Poutine, en créant les « BRICS+ » rejoignant et donnant un second souffle aux BRICS, conçus comme une alternative à la Banque Mondiale jusque là dominée par le dollar.
Réunies en Russie en octobre 2024, les BRICS+ intègrent dorénavant dix pays représentant 50% de la population mondiale et 40% en poids économique.
CETTE OFFENSIVE CONSTITUE LE PLUS CUISANT ECHEC DU DEEP STATE, DONT LA TENTATIVE DE DOMINATION MONDIALE REPOSAIT SUR SON CONTROLE DU DOLLAR.
4 juillet 2026 = 250e anniversaire de la fondation des USA
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LA DEEP STATE CONNECTION | Par Phil Broq
L’idée de l’État profond (Deep State) qui laissent entendre qu’un groupe secret et puissant exerce un contrôle invisible et inexorable sur les gouvernements et les institutions mondiales. Ce concept fait l’objet de dénigrement allant jusqu’à le traiter de théories de conspiration. Cette notion qu’un groupe d’individus se fédère et cherche à nuire à l’ensemble de l’humanité est difficilement compréhensible pour une personne normalement constituée, immergée dans ses problèmes du quotidien. Il est donc légitime que cette méchanceté volontaire soit perçue comme une théorie farfelue par les non initiés ou autres intoxiqués par les médias de masse. Mais avec les révélations sur l’USAID, il est possible désormais de prendre non seulement du recul pour examiner de manière critique la réalité des structures mondiales mafieuses qui alimentent cette idée ; mais de plus, c’est aussi devenu quantifiable grâce aux déclarations de Musk et de Trump. Ainsi, ce que l’on appelle « l’État profond », ce réseau interconnecté de groupes d’élites, de mafias mondialisées agissant à travers des mécanismes de corruption, de chantage et de manipulation venant des Etats-Unis, est à présent percé à jour.
Le terme « mafia mondialisée » peut sembler excessif, mais il est nécessaire de comprendre que ces groupes agissent souvent selon une logique qui est calquée sur celle d’une organisation criminelle. On parle là de manipulation, d’extorsion, de chantage, de meurtres, de racket… Et avec une structure comportant des parrains, des capos, des hommes de mains et des assassins, à l’instar de la ‘NDrangheta calabraise, beaucoup plus discrète que la fameuse Cosa Nostra sicilienne ou que la Camorra napolitaine. Car la véritable spécificité de la ‘NDrangheta est que c’est à la naissance qu’on devient ‘Ndranghetiste, contrairement à la Camorra ou à Cosa Nostra. Ces réseaux ne cherchent pas seulement à accumuler frauduleusement des richesses, mais surtout à maintenir un contrôle sur les systèmes économiques, politiques et sociaux des nations. Comme pour cette mafia, les mondialistes réunis dans des club fermés, n’y entrent donc que si ses parents en sont déjà, même s’il faut faire ses preuves. Cette caractéristique rend plus puissante l’omerta, et plus rares les « repentis ». Ils utilisent des mécanismes de corruption, de chantage et de manipulation pour faire avancer leurs intérêts personnels ou ceux de leurs alliés, tout en bénéficiant de la fragilité des États et des structures démocratiques ainsi infiltrés.
En France, la capitulation de Sedan, le 2 septembre 1870, marque la fin du Second Empire et conduit à la proclamation de la République. Cet événement va mettre en exergue le lien avec la défense nationale qui donne son nom au gouvernement éponyme du 4 septembre 1870. L’arrivée à maturité du concept se matérialisera ensuite par le décret du 4 avril 1906 qui crée, en France, le premier Conseil supérieur de la défense nationale, en 1932 par l’avènement du premier ministère de la Défense nationale, suivi, en 1936, du Collège des hautes études de la défense nationale (CHEDN), ancêtre de l’Institut de hautes études de la défense nationale (IHEDN). La loi de 1938 sur l’organisation de la Nation en temps de guerre, à la rédaction de laquelle contribue Charles de Gaulle, poursuit cette dynamique. Et Le Livre Blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2008 introduit le concept de sécurité nationale qui vise à « parer aux risques et aux menaces susceptibles de porter atteinte à la vie de la Nation. » Nos textes juridiques et notre stratégie déclaratoire portent la trace d’un intense bouillonnement, sans permettre de statuer sur une claire définition de concepts. Pourtant le code de la Défense dispose dans son Article L1111-1 sur : « La stratégie de sécurité nationale ayant pour objet d’identifier l’ensemble des menaces et des risques susceptibles d’affecter la vie de la Nation. […] L’ensemble des politiques publiques concourt à la sécurité nationale. » Alors, la question est de savoir à quoi sert cet institut et surtout que fait l’armée, seule garante de notre sécurité à ce stade ? Est-elle aussi corrompue que nos dirigeants ? Car tout porte à le croire…
Car ces groupes mondialistes identifiés n’ont de cesse de mettre à l’épreuve la souveraineté nationale et donc sa stabilité et sa sécurité, en toute impunité. Ces réseaux, agissant telle une mafia de grands chemins, tirent profit des systèmes financiers mondiaux qu’ils se sont accaparés, et sont financés par les taxes et les impôts excessifs, sinon abusifs et imposés aux populations, travaillant dur, pour les soumettre. Cette mise en réseau des malfaisants est facilitée par des institutions telles que le Bilderberg, le Club du Siècle, le Forum économique mondial (WEF) et des organisations telles que la franc-maçonnerie. La corruption est un outil central dans le fonctionnement de ces réseaux. Les dirigeants politiques et économiques sont soudoyés ou manipulés par ces élites afin de favoriser des décisions politiques qui leur sont favorables. L’évasion fiscale, le blanchiment d’argent, le financement politique occulte et les contrats douteux sont autant de pratiques courantes permettant à ces réseaux de maintenir leur influence.
En effet, la concentration de pouvoir entre les mains de quelques centaines de personnes soulève des questions sur la légitimité des décisions prises à leur niveau et leurs implications pour les populations mondiales. Ainsi, la notion d’État profond est principalement associée une organisation secrète néfaste au peuple, agissant en coulisses, pour influencer ou manipuler les décisions gouvernementales à l’échelle mondiale. Cependant, il est plus pertinent de comprendre ce phénomène comme étant un réseau complexe, constitué de puissants intérêts privés et d’acteurs politiques, économiques et financiers qui collaborent, souvent de manière opaque, pour préserver leur pouvoir et leur maîtrise des peuples. Et ce réseau n’est pas nécessairement aussi mystérieux que le prétendent souvent les médias, car il repose sur des structures institutionnelles clairement établies et bien documentées, bien qu’elles agissent à couvert des décisions publiques.
Des organisations telles que le Bilderberg, le Club du Siècle ou le WEF ont pourtant pignon sur rue ! Même si elles réunissent ces élites mondiales pour des discussions privées, leurs décisions affectent les orientations économiques et politiques des États du monde entier. Ces groupes, bien qu’ils se présentent comme des lieux d’échange d’idées et de réflexion sur les problèmes mondiaux, sont régulièrement critiqués pour leur manque de transparence et pour leur influence disproportionnée sur les gouvernements. Ainsi, on sait que les présidents de la République Française ont tous été issus soit du Bilderberg, soit des Young leaders du WEF. N.Sarkozy, F.Hollande, E.Macron ou encore E.Philippe, ne sont que les parties visibles de ces candidats sélectionnés pour leur allégeance complète à ce système de caste.
Le Bilderberg, par exemple, réunit des chefs d’État, des dirigeants d’entreprises multinationales, des banquiers, des universitaires et des membres de la société civile. Tous ce beau monde se coopte et se forme à la mise sous tutelle des peuples. Ces rencontres sont tenues dans un strict secret, ce qui alimente les spéculations et pourtant des décisions cruciales sont prises derrière des portes fermées, sans la participation ni le consentement des peuples concernés. Les discussions au sein de ces forums ne sont jamais divulguées dans leur intégralité, ce qui permet aux élites de prendre des décisions impopulaires sinon en dépit du bon sens, influençant l’économie mondiale et les politiques nationales sans jamais avoir à rendre de comptes à la société.
Le Club du Siècle, autre cercle d’élites français longtemps présidé par le pédophile Duhamel, joue également un rôle clé dans ce réseau mondial. Il regroupe des membres influents de l’élite politique et économique française et européenne, bien à l’abri dans des salons feutrés et surtout loin des caméras. Bien que le Club se positionne comme un lieu de réflexion, il agit en réalité comme un moteur de la mondialisation économique et géopolitique coordonné avec des intérêts étrangers nuisible à notre pays. Ses membres, souvent des politiciens, des journalistes ou des dirigeants d’entreprises multinationales, exercent une pression indirecte mais considérable sur les axes que prennent les politiques nationales et internationales, mettant systématiquement en avant leurs intérêts personnels ou corporatistes, plutôt que ceux des populations.
Le WEF, fondé par Klaus Schwab, représente un autre acteur majeur dans ce réseau de parasites mortels. Bien qu’il se présente comme un espace de dialogue entre les leaders mondiaux pour résoudre les crises mondiales, c’est un des lieux où se fomente le chaos duquel ils espèrent retirer un ordre mondial à leur unique avantage. le WEF est largement critiqué pour son rôle dans la promotion de politiques économiques néolibérales et la concentration du pouvoir entre les mains de quelques grandes entreprises. Une sorte de marxisme fasciste maquillé sous des airs de libéralisme. Les recommandations émises lors de ces rencontres sont perçues comme étant exclusivement favorables aux multinationales et aux grandes puissances économiques, au détriment perpétuel des individus lambda.
Le point commun entre eux est que le chantage est une tactique fréquente employée par ces groupes de pression. Comme l’inversion accusatoire est pratiquée par les sionistes. Des informations compromettantes, fiscales ou sexuelles ou des dossiers secrets sont alors utilisés pour faire pression sur des responsables politiques ou des leaders d’opinion afin de leur forcer la main lors des votes. Les scandales liés à des abus de pouvoir, à des affaires de corruption ou à des comportements illégaux sont aussi utilisés pour maintenir ces élites au pouvoir, tout en dissuadant toute tentative de réforme ou de contestation.
Le détournement des taxes et des impôts, devenus un odieux racket, dus à l’appétit insatiable des mondialistes, jouent aussi un rôle crucial dans le financement de ces réseaux crapuleux qui s’enrichissent par des subventions. Et en imposant des charges fiscales lourdes sur les citoyens travaillant dur, les gouvernements, constitués par les agents sélectionnés de ces « clubs du mal », contribuent directement à nourrir ce système mafieux, tout en maintenant les individus la tête sous l’eau par diverses manœuvres de manipulation basées sur la peur. Les grandes entreprises et les élites financières, quant à elles, bénéficient de régimes fiscaux excessivement favorables, d’évasion fiscale et d’autres mécanismes permettant de contourner l’impôt, laissant les classes moyennes et populaires porter tout le poids de la fiscalité.
Les travailleurs, en particulier, sont les premières victimes de ce système, car ils sont contraints de financer des institutions, remplis d’improductifs, qui profitent directement à cette élite mondialiste. Ces ressources sont ensuite utilisées pour entretenir les structures de pouvoir mondiales qui échappent à tout contrôle démocratique et servent des intérêts privés plutôt que publics, ou des idéologies suicidaires. Observez seulement ce que fait le parlement européen et sa présidente non élue, autres représentants zélés de cette caste mafieuse vivant du vol de nos ressources et économies.
Un des événements marquants qui a permis de mettre en lumière ces dynamiques mafieuses mondialisées est l’effondrement de l’USAID (United States Agency for International Development). Cette agence, chargée de distribuer une grande partie de l’aide internationale, est désormais l’objet de multiples scandales liés à la corruption et au détournement de fonds, ainsi qu’à la mise en œuvre de politiques et d’idéologies destructrices, avec l’appui de la CIA et du Mossad. Plutôt que de venir en aide aux populations nécessiteuses, l’USAID a été utilisée comme un instrument de pouvoir pour imposer des politiques néolibérales, la déstabilisation de pays, l’assassinat de dirigeants et surtout pour renforcer l’influence des milliardaires États-Uniens et des grandes multinationales sur les pays en développement.
Les enquêtes menées par DOGE ont révélé que l’aide internationale distribuée par des agences telles que l’USAID était systématiquement détournée pour servir les intérêts d’entreprises américaines ou d’organisations internationales influentes, dans le but de renforcer leur domination économique et politique, ou pire encore pour remplir les poches des acteurs clés tels que les Clinton, Biden, Obama, Gates, Soros ou encore Fauci et Zelenski. Cette corruption des institutions mafieuses, cachées sous couvert « humanitaire », met en évidence le pouvoir de nuisance de ces élites mondiales et leur capacité à manipuler tous les systèmes de redistribution pour maintenir leur domination.
Une autre facette importante de ce réseau est la manipulation complète des informations avec les subventions honteuses versées à l’AFP ou à des milliers de journaux et journalistes sans scrupules. Ainsi, ces élites mondiales, grâce à leurs contrôles sur les grands médias, les institutions financières et les plateformes technologiques, sont capables de détourner les informations cruciales, sinon d’en créer des fausses, tout en orientant les discours publics et en dissimulant les véritables enjeux cruciaux pour la Nation. La diffusion de fausses informations, l’omission d’événements cruciaux et la propagation de récits biaisés sont autant de stratégies qui permettent à ces groupes de maintenir une façade de normalité tout en opérant dans l’ombre depuis des décennies. Cela va des attentats du 11 septembre 2001 à la fausse pandémie de 2020, en passant par les crises successives en tous genres jusqu’au financement de la guerre en Ukraine ou en Israël. Nonobstant les théories de genres, le wokisme et toutes les théories abjectes sorties des cerveaux malades des gens de Gôôôche. On ne le dira jamais assez, le gauchisme est une maladie mentale !
Car ce sont ces manipulations médiatiques qui permettent de contrôler aussi efficacement l’agenda politique, de marginaliser les voix dissidentes et d’éliminer toute opposition qui pourrait compromettre les intérêts des puissances mondialistes. En orchestrant ces manipulations, ces groupes renforcent leur emprise sur les peuples et neutralisent les tentatives d’opposition comme de réforme. Les véritables faiseurs de guerre, ce sont les médias ! Les clubs ou forums ne sont que les financiers qui en retirent les bénéfices. Ils vont jusqu’à créer et financer tous les terroristes du monde entier comme les agences de sécurité privée afin de manipuler l’opinion publique. Or, c’est toujours la même main qui finance !
De fait, il est évident que ce que l’on appelle l’État profond n’est pas seulement une entité abstraite, mais bien un réseau mondialisé de groupes interconnectés connus, qui agissent pour servir leurs intérêts personnels, au détriment de la démocratie et du bien-être des peuples. Ces individus largement identifiés et médiatisés, agissent comme une mafia mondialisée qui a infiltré toutes les institutions financières, politiques et médiatiques pour préserver leur pouvoir, leur richesse et imposer leur idéologie totalitaire basée sur la violence et la peur. Grâce à ces pratiques de corruption, de chantage et de manipulation, ces élites mafieuses ont mis en place un système immonde qui opprime les masses laborieuses tout en nourrissant leur propre influence et domination.
Ainsi, les révélations sur le rôle des agences comme l’USAID et le rôle de groupes comme le Bilderberg, le WEF, le Club du Siècle ou pire, l’AFP, nous montrent à quel point ces structures ont façonné le monde actuel et créé le chaos et le marasme contre lequel nous nous battons. La solution à cette situation réside dans une prise de conscience collective, dans la mise en application de la loi et de la défense nationale – même contre ce président fantoche qu’est Macron, comme c’est actuellement le cas contre Sarkozy – et dans la mise en place de réformes globales, appuyées par referendum populaire, qui viseront à réduire l’influence de ces élites mondiales et à restaurer les principes démocratiques, afin que les peuples retrouvent leur pouvoir et leur autonomie.
Il est grand temps de briser ce silence, de lever le voile sur cette mascarade criminelle qui gangrène notre monde. Ces élites, ces mafieux déguisés en politiciens et financiers, ont cru pouvoir nous contrôler éternellement, manipuler nos vies, nos ressources, et nous enchaîner à leur système de domination. Mais leur empire de mensonges et de corruption est en train de s’effondrer. Les révélations sont là, les preuves éclatent, et il est impossible de fermer les yeux plus longtemps sur l’injustice crasse qu’ils imposent à des milliards d’êtres humains !
Ces institutions comme le Bilderberg, WEF, USAID, et tant d’autres, sont des temples de la dépravation, des clubs fermés où se tissent les conspirations contre l’humanité, à l’instar des synagogues de Satan ou des loges maçonniques. Car c’est là que se regroupent ces hordes d’individus avides de pouvoir, de richesses et de contrôle, asservissant les peuples avec leur fiscalité absurde, leurs guerres, et leur système médiatique manipulé. Mais leur temps est révolu. La vérité ne peut plus être étouffée. Nous sommes les maîtres de notre destin, et il est temps d’éradiquer cette mafia mondiale une bonne fois pour toutes.
C’est à nous, les peuples, de prendre les armes, non pas contre nos voisins, mais contre ceux qui manipulent les fils du pouvoir dans l’ombre. Ceux qui, par leur cupidité et leur volonté de destruction, ont détruit des vies, des pays, et notre avenir. Il est temps de renverser cette tyrannie financière et politique. Nous devons agir, dénoncer sans relâche ces réseaux d’élites, et exiger la fin de ce système corrompu qui nous écrase, comme la punition de ces agents.
Phil BROQ.
Blog de l’éveillé