Les étrons humains que sont les gauchistes nous rabâchent — en s’adonnant à ce qu’ils nomment mépris de classe, attitude contre laquelle ils s’indignent le reste du temps — qu’ils sont plus diplômés que les « droitards ». Rendez-vous bien compte, chers camarades et amis, de ce qu’est en réalité leur supériorité d’esprit revendiquée : un verbiage creux prétendant à l’originalité, comme si cette dernière était synonyme de qualité, bien que la rime riche entre ces deux termes les associe sur le plan sonore.
J’ai, durant mes études scientifiques, été relativement préservé des vociférations débiles de ces créatures égarées, le sérieux du diplôme ayant permis d’effectuer un tri dès l’entrée. Il était tout de même frappant de constater que certaines personnes, absolument formidables lorsqu’il s’agissait de résoudre des problèmes physiques complexes, possédaient le niveau de réflexion d’un enfant de six ans (pour information, l’âge de raison communément admis est sept ans) : incapacité à ne pas voir que l’égalité est un mirage, volonté de se complaire dans les postures hédonistes les plus incapacitantes qui soient, soutien aux délires antiracistes les plus grotesques (tout en sachant pertinemment ce qu’est un gène), le tout imprégné de relativisme moral.
Ainsi donc, vous vous en doutez, le niveau de dégénérescence est bien plus avancé dans les filières de lettres et de sciences molles comme ceux qui les étudient. Sans sombrer dans un biais statistique des plus bêtes, voici un échantillon en image de ce qui se fait de pire dans les universités françaises. Ces parasites ne peuvent subsister que grâce aux subventions tirées des impôts de ceux qu’ils méprisent le reste du temps.
Le gauchisme est l’idéologie qui finance son échec permanent en spoliant allègrement les autres de leur réussite.
Mais sachez bien une chose : le confort n’est que temporaire, et s’il permet à de telles médiocrités de prospérer, il n’en retarde que mieux la chute, qui sera d’autant plus brutale.
Aussi, sachez que ces sous-hommes croient en eux. Ils n’ont pas honte de ce qu’ils sont. Croyez-en vous bien plus fermement, car vous en avez non seulement le droit, mais le devoir.
Vous êtes bien meilleurs que ces déconnectés de toutes les réalités : vous avez le sol, le sang, le ciel. Ne laissez jamais ces gens vous parler sur un ton méprisant. Humiliez-les dès que vous en avez l’occasion.
Concentrons-nous sur ce qui compte véritablement : nos familles, nos amis, notre travail, le sport, la prière, la lecture et l’écriture. Nous sommes l’avenir, parce que nous puisons dans le passé pour bâtir l’avenir.
Qui vive ? France !
GAUCHIR TERME DE MARINE (donner une forme courbe au bois)
GAUCHISTE=TORDU=HOMO FESTIVUS
La dégénérescence yankee gagnera l’Europe avec les films hollywoodiens, le rock — fut dénoncé par le Père Régimbald (1931-1988) —, qui par le rythme de sa syncope (1.2, 3 ;4) « violait les consciences par des messages subliminaux », puis viendra la beat generation où l’accent sera mis sur l’errance, le nomadisme ; Kerouac, Dos Passos, et le mouvement hippy, mettant en avant l’hindouisme, le bouddhisme, et les paradis artificiels (cannabis, LSD, mescaline, peyotl,) puis s’y ajouteront l’antimilitarisme et l’ « amour libre », Woodstock sera leur Grande messe, c’est l’époque d’Allen Ginsberg (1926-1997) et ses prises de position en faveur de, puis lui succédera le mouvement yippy de Jerry Rubin, le Do it (1938-1994), la matrice des mouvements antifa actuels. J’allais oublier l’abominable Docteur Kinsey (1894-1956) qui fit éclater toute la morale concernant la sexualité !
Guy Debord (1931-1994), auteur de La société du spectacle, dont la thèse est fondée sur la « séparation » comme mode exclusif des relations humaines, Essais Folio, 2018) que ce qui se présente dans le grotesque du post-libéral est : « L’égalité des possibilités se transforme en égalité de la contemplation des possibilités », leur béatitude temporelle c’est le face à face avec son spectacle qui nie sa réalité, l’homo festivus pense être le réel,. C’est le Coup du Grand-Duc (Andersen, Les habits neufs de l’empereur), ou Belise (Les femmes savantes de Molière), érotomane se met à piloter le Dragoon, formidable machine à asphalter, tellement énorme qu’il faut détruire tous les villages pour qu’elle puisse avancer, dernier roman de Giono (1895-1970) qu’il n’a pu achever.
Gauche en latin : SINISTER d’ où vient le mot SINISTRE …au propre comme au figuré, tout un symbole en lui même…
Dénoncer les tares de l’adversaire est facile et confortable. Mais à bien réfléchir… chacune de ses tares devient pour nous un avantage !
Il est en revanche moins aisé et même malvenu, du moins pour les plus stupides, de mettre en évidence et de combattre nos propres défauts… lesquels, n’échappant pas à la logique, sont pourtant à leur tour, et de toute évidence, un avantage pour nos ennemis !
Le principal de ces défauts, justifiant – hélas ! – l’attribut de « droite la plus stupide du monde » que nous imposent avec raison maints analystes, est cette incapacité à tirer des leçons de l’Histoire qui caractérise nos « élites ».
Histoire contemporaine qui nous apprend qu’il n’existe aucune prise de pouvoir QUI NE SE SOIT REALISEE EN DEUX TEMPS !
– 1 : Un premier temps qui voit s’unir toutes les forces d’opposition pour renverser le pouvoir en place…
– 2 : La véritable prise de pouvoir ne se faisant qu’en un deuxième temps, une fois le pouvoir précédent renversé…
Ainsi en fut-il en Russie soviétique… avec, en un deuxième temps, le reversement de Kerenski.
Ainsi en fut-il de la prise de pouvoir de Mao en Chine, qui s’était auparavant allié avec Tchang Kaï- Chek…
Ainsi en fut-il en Iran où les Ayatolas s’alliérent avec les communistes pour renverser le Chah Pahlavi…
Evidemment, passer par cette étape indispensable implique une bonne dose de sens pratique et de duplicité : mais ce qui se résume, en somme, à un minimum d’intelligence.
C’est cette intelligence qui fait cruellement défaut à cette dizaine de « p’tits chefs » de droite, jaloux de leur petit pouvoir, instrumentalisant la moindre divergence pour jeter l’anathème sur ceux chez qui ils ne voie en aucun cas des alliés mais seulement des concurrents.
Oui ! C’est d’abord la vanité de certains qui fait de cette droite française « la plus bête du monde » !
Et ce sont ces défauts – malvenus ! – qu’il faut traquer et corriger chez nous plutôt que de faire bien inutilement le catalogue des défauts – bienvenus ! – de nos adversaires !
Bien choisie la photo d’intellectuel attardé!
Lire l’essai de Jean Yves Dufour: L’esprit gauchiste.
D’accord avec Adrien Abauzit: La gauche est une maladie mentale.
Je pense que nous devrions apprendre
à penser par nous-mêmes et non en fonction des non-pensees des prisons idéologiques. C’est ainsi que je fonctionne.
Lorsqu’il y a quelques années nous avions étudié de fond en comble le livre de Jean Claude Pressac sur les crématoires nous avions souligné toutes les absurdités techniques des écrits de cet auteur.
Lors de sa sortie, ce livre avait été encensé par toute la presse et une série de scientifiques du CNRS. Avaient ils lus la moindre ligne ?
De même on connait le fameux article du Monde « on ne doit pas se demander comment un tel meurtre de masse a été possible techniquement, il a été possible techniquement puisse qu’il a eu lieu…etc »
Toute cette clique de personnages se croyant l’élite du pays et payés par le CNRS devrait être mise au chômage. Ils sont une honte pour l’esprit et l’intelligence et le génie des grands ingénieurs français du passé.
Je vois qui vous êtes, « professeur ». Certes, l’affaire Faurisson a été en quelque sorte le point d’orgue de votre carrière, mais peut-être faudrait-il un peu évoluer au rythme du temps qui passe, qui atténue et qui bientôt efface ?
« Une honte pour l’esprit et l’intelligence », dites-vous ? Je n’irais pas jusqu’à évoquer la moindre « honte » en ce qui vous concerne, mais quand comprendrez-vous que vous entêter à circonscrire notre combat dans le registre de la défensive est ce que peut souhaiter de mieux votre adversaire ?
Quand comprendrez-vous, surtout, que ce « c’est pas vrai »…. « c’est pas nous » qui relève d’une attitude défensive, nous dissuade de passer, au contraire, à l’offensive, en nous faisant accusateurs ?
Quand comprendrez-vous que ce terme de GENOCIDE, que l’adversaire à mis des décennies à introduire dans l’inconscient collectif, chargé de toute l’ignominie imaginable… NOUS POUVONS AUJOURD’HUI LE RETOURNER CONTRE LUI ?
Car la définition la plus évidente du terme GENOCIDE ne s’applique-elle pas à l’anéantissement de toutes ces dissemblances ethnoculturelles constituant toute la richesse de l’humanité, mais menacées par ces déplacements de populations, leur « intégration », le métissage et l’indifférenciation qui en résultent ?
Et ne pouvons-nous, dès lors, nous, ethno-différencialistes, nous exprimer en accusateurs contre le mondialisme génocidaire ? Et en accusateurs constituant, de plus, le seul obstacle contre ce que nous dénonçons comme le crime contre l’humanité le plus extrême qui ait jamais été ourdi à l’échelle de toute la planète ?
Pour résumer le dilemme : entre un génocide dont on nous accuse, mais daté de 3/4 de siècle… et un dont nous pouvons accuser nos adversaires aujourd’hui… comment pouvons-nous hésiter ?
Et pour dire les choses autrement : Combien de temps la droite française continuera-t-elle à mériter le vocable de « droite la plus bête du monde » ?
L’esprit de gauche est un esprit de rébellion.
Le gauchiste est quelqu’un qui d’abord conteste, ensuite revendique, et finalement renverse la table s’il n’obtient pas ce qu’il désire.
Comme on a pu le dire, « la gauche se construit en déconstruisant » et il faut retenir une autre phrase (de Théodore Kaczynski), également très juste et qui résume elle aussi tout le problème : « S’il était possible d’imaginer une société qui fût parfaite, des gauchistes lui trouveraient encore des défauts ».
Mais s’il conteste et renverse, le gauchiste ne propose ni n’apporte jamais rien de bon. Il y a même une explication théologique et eschatologique à cette nuisance de la gauche. L’esprit de gauche est un esprit de mensonge, le même que celui qui faisait dire à Satan, à Adam et Eve, qu’ils seraient comme Dieu s’ils mangeaient du fruit défendu (le gauchiste ne pense qu’à sa pomme – sans jeu de mots ! – sans réfléchir aux conséquences de ses désirs hédonistes) ; et le même que celui des communistes qui promettaient une société parfaite alors que ce fut un enfer.
La gauche, c’est l’esprit du Mal contre le Bien.