À la suite de la retraite générale du front de l’Est dans le secteur « centre » de la Russie blanche (Biélorussie), les soldats français de la Wehrmacht s’enterrent pour retarder la progression des Soviétiques et permettre à la 9e armée allemande de la Wehrmacht de se replier par la Magistrale pour éviter l’encerclement. Ils s’installent le près du Bobr, à une cinquantaine de kilomètres de la ville de Borissov.
Du côté allemand, se trouvent les Ier bataillon, 13e compagnie du IIIe bataillon et deux compagnies du IIIe bataillon, de la PAK régimentaire de la Légion des volontaires français, soit environ 600 hommes, assistés le premier jour d’une centaine de SS Polizei. Ils sont renforcés, le par quatre chars Tigres du Schwere Panzer-Abteilung 505 et 6 pièces de 37 mm de la PAK. Pendant les combats, ils recevront le soutien aérien de plusieurs Stukas. Ce Kampfgruppe s’élève, le , à presque 1 000 hommes, dont au moins 400 français commandés par le capitaine Jean Bridoux, fils d’Eugène Bridoux, secrétaire d’État à la Guerre puis sous-secrétaire d’État à la Défense nationale du gouvernement de Vichy.
Du côté soviétique, sont alignés quatre ou cinq bataillons à effectif complet de l’Armée rouge, épaulés par plusieurs chars T-34 et aussi des chars américains et anglais du programme Lend-Lease du 3e Corps Blindé de la Garde.
Le 26 et 27 juin 1944, le Kampfgruppe Bridoux de la Légion des volontaires français (LVF) reçoit l’assaut du 3e Corps Blindé de la Garde de l’armée soviétique, lors de l’offensive dite Opération Bagration.
L’assaut commence le 26 juin à quatre heures du matin. Bien que les Soviétiques aient un matériel lourd important — de nombreux canons, des katyushas, des mortiers lourds et de très nombreux chars — les Français résistent. Ils subissent 5 assauts et se battent même au corps à corps pour conserver un cimetière.
Les Français sont relevés le 27 juin. Ils ont perdu 41 hommes, ont 24 blessés mais ont détruit à peu près 40 chars russes et mis hors de combat plusieurs centaines de soldats de l’Armée Rouge.
Dans le cadre de l’aide du programme Lend-Leaseée, l’Urss reçut :
409.526 véhicules, dont 43.728 jeeps, 3.510 amphibies, 4.398 tracteurs, 12.161 véhicules de combat dont 1.239 chars légers et 4.957 chars moyens, 32.207 motocycles, 7.570 tracteurs spéciaux avec 3.216 moteurs de remplacement. 1.4 million tonnes de pétrole, 1.3 millions de tonne de carburant à haut indice d’octane pour avions, 3.6 millions de pneus avec chambre à air, 325.784 t d’explosifs, 136.190 pièces d’artillerie légères et armes automatiques, 35.800 stations radio émetteurs, 5.899 récepteurs, 348 appareils de localisation radio, 705 détecteurs directionnels, 538 altimètres, 800 compas radio, 3,400 km de câbles marins, 1,823 km de câbles sous-marins, 1,35,484 km de câbles télégraphiques, 1.900 locomotives à vapeur, 66 locomotives diesel électriques, 9.920 wagons plateformes, 120 wagons citernes, 100 wagons à bascule, 35 plates-formes pour engins lourds, 685.740 tonnes de rails et pièces dont 110.000 t d’axes et roues de wagons.
La générosité du capital au profit du prolétariat
Quelle générosité? Des deux cotés ce sont les juifs qui dirigent;
lire « Deux siècles ensembles » d’Alexandre Soljénitsyne et « l’Amérique juive » de Pierre-Antoine Cousteau. Impossible qu’une troisième voie non juive se positionne seul un choix binaire est possible l’ultra-socialisme ou l’ultra-capitalisme.
A cela s’ajoute les nécessités du moment:
L’objectif anglais de flinguer l’héritage industriel du deuxieme reich mission raté en 1918 malgré la germanophobie française servant d’idiot utile(Maurras et Barrès furent comme Clémenceau…).
Pour l’Amérique le new deal étant un échec économique et humain il fallait sauver le complexe militaro-industriel et relancer l’économie.
L’URSS n’a jamais caché que sa vrai ambition pour réaliser la révolution mondiale fut de mettre son armée sur le Rhin coeur industriel de l’Europe de l’ouest.