La Saint-Sylvestre n’a pas échappé à la « tradition » créée depuis quelques dizaines d’années par les colons dans les cités occupées de France : plusieurs dizaines et probablement plusieurs centaines de voitures ont été brûlées cette nuit. Les premiers incendies criminels ont été signalés dans le sud-ouest (vidéo-ci-dessous) et au Mans (Sarthe) (photo ci-dessous).
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=uCdvcPVnCCc[/youtube]Les autorités n’ont pas publié de bilan tronqué à l’heure actuelle. En raison de la vague de froid qui s’est abattue sur la France, il pourrait être « meilleur » que les années précédentes. Une seule voiture de brûlée en moins se transformerait en triomphe pour Manuel Valls, quand une seule voiture brûlée devrait le couvrir de honte et conduirait tout homme possédant la moindre once d’honneur à démissionner – si le sort des Français l’intéressait. Une seule voiture de brûlée de moins lui permettront de masquer les 30 000 à 40 000 autres brûlées cette année en France (il y en a eu 34 441 en 2013 selon les chiffres officiels).
Comme habituellement, la presse ne s’est fait l’écho que de quelques attaques perpétrées dans les communes les plus civilisées.
Des incendies criminels ont été signalés par la grande presse à Colmar et à Sarreguemines (une voiture brûlée à chaque fois), trois autres à Mâcon. La veille, une voiture avait été retrouvée brûlée à Épervans, près de Châlons. À part cela, aucune information : les consignes de discrétion du gouvernement ont été bien respectées. De nombreuses mentions, invérifiables, de voitures brûlées sont cependant apparues sur les réseaux sociaux, notamment en région parisienne, par des colons qui se réjouissent que de tels faits puissent se produire.
Rien d’important pour les médiats ni pour le gouvernement ; peu importe si demain matin 200, 500 ou 1 000 Français ne peuvent pas aller travailler parce que Manuel Valls refuse de mettre au pas les criminels et préfère s’attaquer aux patriotes.
Rien d’important pour le gouvernement d’occupation puisque François Hollande, peu avant, avait annoncé les seules et uniques priorités de leur République, très éloignes de la sécurité des Français et de leurs biens, et leur droit à vivre libres et souverains chez eux :
« Je fais de la lutte contre le racisme et contre l’antisémitisme une grande cause nationale »
a annoncé le laquais d’Israël lors de ses « vœux » hier, répétant des propos déjà entendus mille fois ces vingt dernières années dans la bouche de Jacques Chirac, de Nicolas Sárközy, de Manuel Valls. La priorité pour le gouvernement, c’est de lutter contre ceux qui refusent la destruction de la France, de son peuple, de son histoire, de son économie, de sa culture, qui refusent l’invasion et le pillage par les mafias étrangères.
Le silence ordonné aux médiats sur les incendies de voiture s’explique parce qu’il faut « en finir avec le découragement » : selon François Hollande, regarder la réalité en face, avouer la vérité, c’est « le dénigrement et le découragement ». Il vaut mieux, comme il en l’habitude, mentir aux Français, « les yeux dans les yeux », en évoquant « l’inversion de la courbe du chômage » ou « la baisse des impôts ». Vantant incidemment la loi Macron-Rothschild, il s’est surtout acharné à affirmer sa volonté de détruire ce qui fait que la France est la France, qu’elle fut une grande puissance. Pour François Hollande, ce qui est important c’est « de se transformer ». Libéralisation générale de l’économie, euthanasie, invasion, fédéralisme européen, la folie républicaine n’a pas de limite et s’annonce totalitaire :
« La France avancera donc l’année prochaine, dans tous les domaines et pour tous [sic] […] Ce combat, je le mènerai jusqu’au bout, contre les conservatismes, et ils sont nombreux, contre les populismes, et ils sont dangereux »
Agent de l’agenda mondialiste, François Hollande est loin d’être seul : la haine des Blancs, la haine des identités nationales, raciales, la haine des héritages sociaux, est partagée et appliquée partout dans les pays blancs. Alors qu’à Paris il annonçait un nouveau renforcement de la « lutte contre le racisme et l’antisémitisme », Angela Merkel à Berlin avait tenu le même discours, reprochant au mouvement Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA, Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes ou Pegida) de s’opposer au génocide des Blancs et de refuser l’invasion et l’islamisation du pays.
« Aujourd’hui, beaucoup de gens crient aussi tous les lundis ‘Nous sommes le peuple’… Mais en fait ils veulent dire : ‘vous n’avez aucune place ici, en raison de votre couleur de peau ou de votre religion’.
À tous ceux qui participent à ces manifestations, je dis : ‘ne suivez pas ces gens-là ! Car, dans leur cœur, trop souvent, il y a des préjugés, de la froideur, et même de la haine’. »