Sommaire
Commémoration de la bataille de Grandson en Suisse
Action de Lorraine nationaliste contre la loi Léonetti
Action du RF Paris contre la loi Léonetti
Martinquais et Algériens plus Français de souche que les Niçois et les Savoyards
Ratés de la dédiabolisation : un candidat FN dénonce la conquête de la France par l’islam
Vers la fin de la rue du 19 mars à Beaucaire
Un conseiller de Nicolas Sárközy mis en examen
Le tiers payant adopté en commission malgré le rejet massif du dispositif
Un commando très lourdement armé attaque une brasserie à Marseille
Une femme de 84 ans égorgée à Dreux
Le gouvernement Renzi menacé par un énorme scandale de corruption
ACTUALITÉ NATIONALISTE
Commémoration de la bataille de Grandson en Suisse
Le groupe Haute-Savoie nationaliste a participé à la journée commémorative de la bataille de Grandson en Suisse, organisée par Résistance helvétique (RH).
« Ce dimanche s’est tenu la journée commémorative de la bataille de Grandson. Des camarades de France voisine ont grossi nos rangs pour l’occasion. Les prises de parole ont été suivies d’un repas dans un restaurant de la région. Une journée conviviale qui permit à la fois de se recentrer sur notre histoire et d’organiser notre avenir.
On ne lâche rien ! »
rapporte RH qui propose un extrait du discours prononcé à l’occasion.
Action de Lorraine nationaliste contre la loi Léonetti
Après deux jours de débats, mardi 10 et mercredi 11 mars, la proposition de loi sur la « fin de vie » – euphémisme républicain désignant purement la mise à mort des souffrants – a été adoptée le mardi 17 mars 2015 à l’Assemblée nationale, par 436 voix pour, 34 contre et 83 abstentions. Le texte va de stupidité en stupidité, en effet, il donne un rôle accru à une personne de confiance, désignée pour exprimer la volonté du patient s’il ne peut plus le faire lui-même.
Juste avant le vote, ces petits prospectus ont été jetés depuis les tribunes par de courageux opposants :
Pourquoi les nationalistes se positionnent-ils contre l’euthanasie ?
Comme l’était l’avortement, l’euthanasie a à son tour comme but de repousser encore plus loin les limites de la transgression. L’interruption volontaire de grossesse (IVG) – encore un terme plus « doux » pour qualifier cette barbarie – se présentait à ses débuts comme une situation d’extrême urgence à ne pas prendre à la légère, elle est cependant aujourd’hui utilisée comme le moyen de contraception par excellence. Si l’euthanasie voit le jour dans notre pays, ne nous étonnons pas si au fil des années on recourt à ce moyen pour les malades mentaux ou les dépressifs, comme c’est le cas actuellement aux Pays-Bas et en Belgique, qui autorisent le suicide assisté.
Les forces de l’anti-France appellent au « droit de mourir dans la dignité », or, nulle n’est indigne face à la mort !
En affirmant que certaines vies seraient indignes au point que seule la mort viendrait les rétablir dans la dignité, cette société se rend délétère et abandonne les plus faibles, les plus fragiles de ses membres. On admire le Christ, car il soignait les lépreux, il ne les achevait pas. Il n’y a pas d’autre choix concevable que d’être aux côtés de ceux qui se battent chaque jour pour assurer la dignité d’une personne mourante, plutôt que de ceux qui, de loin, préconisent l’injection.
Au prétendu droit de mourir dans la dignité, il faut opposer le droit de vivre dans la dignité !
L’euthanasie est une démission collective. Elle est l’ultime option d’une société qui a abandonné l’ambition d’être une société, une communauté qui prend soin des siens, une société qui a abandonné l’ambition d’assurer la dignité de ses mourants. Par l’euthanasie, elle tend à effacer, à supprimer le problème, elle ne le traite pas.
La fin de vie assistée est le choix d’une société matérialiste, égoïste et individualiste. Elle cultive la jeunesse, la beauté, la fête et n’accepte pas la faiblesse, la fragilité. La mort est pourtant un moment à vivre, elle ne doit en aucun cas être hâtée. L’euthanasie est un choix de bien-portants pour des mourants et les demandes sont très minoritaires, de plus, sa légalisation portera un coup fatal au développement des soins palliatifs.
Une oncologue (spécialiste en cancérologie) rapporte à Rue89 qu’en 25 ans d’exercice, elle n’a pas connu de demande d’euthanasie qui dure. Les débats artificiellement entretenus et renouvelés par certains parasitent la réflexion. Faut-il bouleverser un fondement de notre vie sociale pour des cas peu fréquents, et que l’on peut grandement gérer ? La fin de vie ne doit pas être simplifiée à outrance, réduite à une question d’injection.
EUTHANASIE ? PAS QUESTION !
(Communiqué de Lorraine nationaliste)
Action du RF Paris contre la loi Léonetti
« À l’Assemblée nationale se déroulait hier soir le vote de la loi Leonetti. Les militants parisiens du Renouveau français ont tenu à protester contre cette loi infecte. Une quinzaine d’entre eux s’est retrouvée devant l’assemblée, munie d’une banderole où l’on pouvait lire “Soigner n’est pas tuer”. […] Les forces de “l’ordre” sont bien évidemment venues déloger nos militants, leur intimant l’ordre de rentrer chez eux, en les raccompagnant “courtoisement” jusqu’au métro le plus proche.
Le combat contre la loi Leonetti et contre l’euthanasie n’est pas terminé, il nous faut continuer de lutter pour que soit amélioré l’accompagnement à la personne, pour que le souci de nos législateurs soit de résoudre le problème et non de le supprimer ! »
a annoncé la section parisienne du Renouveau français.
FRANCE
Se taire et ne rien faire
François Hollande a tenu à se féliciter officiellement d’avoir obtenu au Conseil européen… l’organisation d’une minute de silence pour les victimes de l’attentat de Tunis. Le pantomime élyséen, incapable de faire face à l’invasion, la corruption, la criminalité, le chômage ou la désindustrialisation a officiellement considéré cette « victoire » comme « historique ».
Le même a cru utile de faire sur ses comptes sociaux la publicité du prochain numéro de la revue Society – en cette semaine de langue française, quel meilleur choix pouvait-il faire ? – où il pose selon la mode… hollandiste…
Martinquais et Algériens plus Français de souche que les Niçois et les Savoyards
« Je suis une Française de souche. […] Cette notion n’est pas une définition raciale. Je rappelle que les Martiniquais étaient Français avant les Niçois, ils sont Français de souche. De même que l’Algérie était française avant la Haute-Savoie »,
a répond Marion Maréchal-Le Pen à un journaliste qui lui demandait : « Êtes-vous comme votre grand-père une Française de souche? ».
« Cette référence est honnie par la classe politique, car elle révèle qu’il existe bien un vieux peuple français qui n’a quasiment pas changé pendant plusieurs siècles et dont est encore issue une majorité de nos compatriotes. C’est à ce terreau de référence que doivent aujourd’hui s’assimiler les nouveaux arrivants »,
a précisé « l’extrémiste » du FN rejetant comme le systme, l’existence des Blancs en France et estimant, comme le système, que l’assimilation de 15 millions de colons – plus quelques dizaines d’autres à venir – est possible.
Ratés de la dédiabolisation : un candidat FN dénonce la conquête de la France par l’islam
Alors que le Front national multiplie les candidatures « issues de la diversité » (sic) et notamment musulmanes, un candidat soutenu par le FN – et le groupuscule de Nicolas Dupont-Aignan Debout la France (DLF) – dénonce l’invasion et la conquête de la France par les… musulmans.
« Les enfants nés de l’immigration islamique se multiplient beaucoup plus vite que les Français de souche. […] Les musulmans, comme ils s’en vantent ouvertement, auront conquis nos territoires sans armes, uniquement par le ventre de leurs femmes. »
indique Dominique Droin, candidat à Rochefort, dans un tract, reprenant les thèses du « grand remplacement ».
« Le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste »,
affirme pourtant de son côté Marine Le Pen.
Vers la fin de la rue du 19 mars à Beaucaire
« Le fait d’avoir une rue du 19 mars 1962 peut être considéré comme une insulte pour tous ceux qui sont morts après. On a eu le massacre de la rue d’Isly à Alger le 26 mars, mais aussi le massacre d’Oran. Je pense qu’il faut effacer ce choix-là, et donner un nom qui rappellera la vraie histoire et qui ne blessera personne »
a déclaré le maire FN de Beaucaire Julien Sanchez, précisant que la souillure du précédent nom imposée par le Parti communiste et les gaullistes pourrait être lavée par l’adoption du nom d’un Beaucairois, civil ou militaire, mort pendant ce conflit.
Un conseiller de Nicolas Sárközy mis en examen
Jean-François Étienne des Rosaies a été mis en examen dans l’affaire dite du « Kazakhgate », concernant des faits présumés de corruption à l’occasion de contrats conclus sous la présidence de Nicolas Sárközy – en octobre 2010, l’Élysée s’était vanté de la signature de contrats pour une valeur de 2 milliards d’euros, pots de vin non compris. L’ancien préfet, qui était alors chargé de mission à l’Élysée, est poursuivi pour corruption active d’agent public étranger, trafic d’influence passif par personne chargée d’un service public et blanchiment d’influence passive.
Les enquêteurs le soupçonnent d’être intervenu auprès d’un sénateur belge pour permettre l’adoption en Belgique d’une mesure favorisant des affairistes kazakhs alliés de Nicolas Sárközy, en échange de « déblocages » au Kazakhstan. Trois individus, dont une avocate de Nice, Catherie Degoul, sont également mis en examen dans cette affaire.
Le sénateur UDI Aymeri de Montesquiou devrait être le prochain mis en examen. Son immunité parlementaire a été levée en milieu de semaine.
Brèves électorales et autres
* Atomisation. Selon une enquête de l’institut CSA, le FN est crédité de 28 % des voix au premier tout des élections départementales dimanche prochain, contre 27 % pour les listes UDI-UMP et 20 % pour le PS. Le Front de gauche obtiendrait 7 % des suffrages, les listes divers droite 5 %, divers gauche 4 %, EÉLV 3 % et les centristes 3 %, autant que les autres listes. Avec 60 %, la droite et l’extrême droite parviendraient à un plus haut historique devant une gauche atomisée à moins d’un tiers des votes.
* Astiquage. « Hollande ? Il quémande des rendez-vous à mon mari. Il s’assied à côté de lui et lui parle comme s’il était son cousin germain. Moi, j’ai tout préparé, avec des argenteries astiquées et des boissons sur un plateau. Il ne prend jamais rien. Je ne l’intéresse pas », a tenu à préciser Bernadette Chirac qui semble persuader qu’elle a pu exister autrement que parce que de nombreux individus devaient beaucoup à son mari.
* Manoeuvre. « Il faut notamment aujourd’hui, maintenant, geler la construction de toute nouvelle mosquée dans l’attente de la vérification de l’origine des financements », a déclaré, telle une Benyamin Netanyahou multipliant les propos aussi polémiques que vides de sens en fin de campagne, Marine Le Pen à propos du financement du terrorisme.
* Pas rité. La commission de propagande a invalidé les bulletins des candidats UMP du canton de Delle-Beaucourt, dans le Territoire de Belfort. Ils avaient pourtant été envoyés par la préfecture sous la responsabilité de la même commission. Cette dernière reproche au candidat Frédéric Rousse d’avoir placé sur le bulletin son nom avant celui de sa colistière Marie-Lise Lhomet, alors qu’ils auraient dû être mis par ordre alphabétique.
* Érosion. La gauche dirigera, jusqu’au 22 mars 2015, 61 des 101 conseils généraux, et 58 des 96 métropolitains. Sur ces derniers, sa défaite historique annoncée pourrait lui coûter une trentaine de départements, jusqu’à 40 selon certaines estimations ; certains pourraient même basculer à l’extrême droite. Le mode de scrutin pourrait permettre à la gauche de conserver certains départements où le PS serait pourtant largement majoritaire ; il pourrait également empêcher le FN d’emporter l’un des trois ou quatre départements très convoités par la famille Le Pen.
Le tiers payant adopté en commission malgré le rejet massif du dispositif
La commission des Affaires sociales de l’Assemblée a voté jeudi la généralisation progressive du tiers payant malgré l’opposition massive du monde médical à cette mesure. Elle permettra à tous les patients de consulter un médecin sans avancer d’argent ce qui, dans un pays occupé, aboutira notamment à la multiplication des abus de la part de gens venus piller la France et les Français.
Contre le dogmatisme et la suffisance méprisante du gouvernement, la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF), le principal syndicat de médecins, exige désormais l’abandon total de la réforme de Marisol ‘MST’ Touraine, alors que ses revendications se limitaient jusque-là à des discussions et une réécriture du projet de loi.
La CSMF appelle « tous les médecins libéraux et futurs médecins de participer à une journée santé morte (arrêt de toute activité) le 31 mars, date de la présentation du projet de loi de santé en séance publique à l’Assemblée nationale », après une nouvelle inutile réunion avec Manuel Valls, qui se montre aussi ferme avec les professionnels de santé et les nationalistes que lâche devant les criminels israéliens et les gangs dans les banlieues.
La confédération critique d’ailleurs virulemment les méthodes du gouvernement, constatant « l’échec de la période de concertation dont le Premier ministre porte maintenant l’entière responsabilité ».
L’avortement encore facilité
En même temps qu’ils validaient le tiers payant, les députés ont également supprimé le délai de réflexion de sept jours qui avait été adopté pour éviter la multiplication des meurtres d’enfants irréfléchis entre deux consultations « médicales » (sic) conduisant à un avortement.
Comme pour l’ensemble de la loi, cette mesure sera très peu discutée : le gouvernement a décidé d’utiliser la « procédure accélérée ». Cette dernière n’est pas aussi expéditive que le 49.3, mais elle permet de museler largement les députés, avec une seule lecture du texte par les deux assemblées.
Un commando très lourdement armé attaque une brasserie à Marseille
Plusieurs hommes, équipés de plusieurs armes de guerre – famas, kalachnikov, pistolet-mitrailleur et aussi arme de poing – ont attaqué la brasserie Le Terminus à Marseille (VIIIe arrondissement) dans la nuit de mercredi à jeudi.
Les criminels, visage masqué, se sont fait remettre les effets personnels des employés et des clients de l’établissement (portefeuilles, argent, montres, bijoux, téléphones, etc.) ainsi que la recette de la journée. Ils se sont enfuis sans avoir été arrêtés. N’ayant pas touché l’amour-propre de Manuel Valls et risquant de compromettre les mensonges gouvernementaux sur la « baisse de la délinquance » à Marseille, aucun moyen ne devrait être engagé sur cette affaire, comme pour la plupart des 3 millions de crimes et délits dont sont victimes les Français chaque année.
Une femme de 84 ans égorgée à Dreux
Un ou plusieurs criminels ont pénétré dans l’appartement d’une Française âgée de 84 ans à Dreux. L’occupante des lieux a été tuée de plusieurs coups de couteau ; son corps a été découvert mardi. La malheureuse victime a été vraisemblablement victime d’un égorgement, portant selon les médiats, « une très importante [plaie] au niveau du cou ». Ne s’agissant ni d’une juive, ni d’une députée PS franc-maçonne soufflettée, Manuel Valls n’a pas daigné évoquer le cas de cette Française assassinée au cœur de la France.
EUROPE
Le gouvernement Renzi menacé par un énorme scandale de corruption
La police italienne a interpellé hier Ercole Incalza, haut fonctionnaire qui dirige les grands travaux pour les gouvernements italiens depuis 25 ans. Il est accusé d’avoir détourné jusqu’à 3 % des 25 milliards d’euros investis dans quatorze grands chantiers publics en Italie ces cinq derniers lustres (TGV Vérone-Milan, autoroute Naples-Reggio, etc.). Grâce à des surfacturations, il aurait détourné 750 millions d’euros.
Une partie de cet argent a servi à acheter le silence de la classe politique italienne, notamment les ministres des Transports successifs. Le criminel est d’ailleurs un intime de l’actuel ministre des Transports Maurizio Lupi. Ce dernier refuse non seulement de démissionner, mais a obtenu le soutien de son parti, le Nouveau Centre droit (NCD, Nuovo Centrodestra). Le NCD menace de faire tomber le gouvernement si Matteo Renzi ne témoigne pas de sa confiance au politicien corrompu. Si le gouvernement italien s’est empressé d’adopter une loi antirévisionniste, la loi anticorruption, discutée depuis 2 ans, n’a, elle, toujours pas été votée.
ÉTRANGER
Pas d’accord de paix au Mali
Malgré l’acceptation de quelques groupes minoritaires, les rebelles touaregs ont rejeté l’accord de paix négocié en Algérie avec les autorités maliennes et accepté par toutes les parties au début du mois. Les plus importants groupes avaient affirmé qu’ils devaient en référer aux populations avant d’accepter. La Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), regroupant cinq groupes, a fait savoir qu’elle rejetait le texte. La CMA comme le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) ont demandé l’ouverture de nouvelles négociations.
Le gouvernement malien a opposé une fin de non-recevoir à cette demande. Les autorités maliennes refusent tout autre compromis avec les Touaregs,.
Le monde en guerre
* Afrique
-Mali. Les autorités ont annoncé l’arrestation de deux islamistes, soupçonnés d’avoir aidé les auteurs de l’attentat de Bamako le 7 mars dernier. Cinq personnes, dont un Français, avaient été tuées et huit autres blessées. L’un des auteurs présumés a été abattu le 13 mars. Les enquêteurs maliens, appuyés par des policiers français et belges, ont identifié un islamiste possédant la double nationalité russe et malienne ainsi qu’un chauffeur, souffrant d’un handicap physique.
-Nigéria. En recul depuis plusieurs jours après les offensives de la coalition et de l’armée nigériane, le Groupe sunnite pour la prédication et la lutte (Jama’atu Ahlis Sunna Lidda’Awati Wal-Jihad, dit Boko Haram) a lancé un assaut mercredi contre Gambaru (est), près de la frontière avec le Cameroun, faisant au moins dix morts. L’armée tchadienne avait chassé les islamistes il y a quelques semaines.
Des individus armés ont enlevé le frère de la ministre du Pétrole Diezani Alison-Madueke également présidente de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) hier à Yenagoa (sud). Sa sœur avait été enlevée en octobre dernier, une pratique courante dans le pays.
* Maghreb
-Tunisie. Les autorités ont annoncé l’interpellation de neuf islamistes, suspectés d’avoir aidé à l’attaque du parlement tunisien mercredi ou d’avoir apporté un soutien à la cellule terroriste ; l’attaque a fait vingt-trois morts, dont vingt touristes parmi lesquels figurent deux ou trois Français. L’attentat a été revendiqué par l’État islamique (ÉI). Les condamnations contre l’attaque ont été unanimes. Le Mouvement de résistance islamique (Ḥarakat al-Muqāwamah al-ʾIslāmiyyah, ou Hamas [ferveur]) palestinien a ainsi dénoncé ce « crime contre l’humanité et contre la Tunisie amie qui a ouvert une page offerte à la démocratie et à la passation démocratique du pouvoir ».
* Proche-Orient
-Irak. Les autorités ont révélé les conditions d’une attaque survenue à Ramadi (province d’al-Anbar, ouest) le 11 mars dernier. Les islamistes ont déposé une bombe dans un tunnel passant sous le quartier général de l’armée irakienne. L’attaque avait fait treize morts.
* Arabie
-Yémen. Des combats entre des membres des forces spéciales favorables au régime chiite du nord et des miliciens partisans de l’ancien président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi ont fait au moins cinq morts et treize blessés (six morts et vingt blessés selon une source sécuritaire) hier dans autour puis dans l’aéroport international d’Aden (sud). Les combattants du gouvernement auraient été forcés à se retirer et leur chef, le général Abdel Hafedh al-Sakkaf aurait quitté la ville.
Al-Qaïda Péninsule arabique (AQPA, Tanẓīm al-Qā‘idah fī Jazīrat al-‘Arab) a revendiqué l’assassinat d’Abdel Karim al-Khiwani, ancien journaliste, proche d’Abdel Malek al-Houthi et devenu cadre des milices chiites à Sanaa. Il avait reçu en 2008 le prix spécial d’Amnesty International pour les journalistes en danger.
Lors d’un autre incident, un ou deux avions de chasse ont survolé le palais de l’ancien président du Yémen, également à Aden, entraînant des tirs de DCA. Abd Rabbo Mansour Hadi a été mis en sécurité selon ses partisans.
* Asie
-Pakistan. Les talibans ont annoncé la mort de l’un de leurs chefs, Khawray Mehsud, lors d’une frappe aérienne réalisée dans la vallée de Kuram (nord-ouest) avec un drone de l’armée américaine qui a fait deux autres morts parmi les islamistes.
Retrouvez tous les rendez-vous nationalistes et identitaires sur notre page agenda.
© Jeune nation – 2015