Crépol : « On est là pour planter des Blancs ! » Foutons-les dehors !

C’est un jeune homme, présent et blessé la nuit des faits, qui est cité dans Le Dauphiné Libéré :

« J’ai entendu que dehors cela s’agitait, il y avait un attroupement, je suis sorti, je me suis pris un coup de couteau dans l’épaule et dans le dos, j’ai vu mon pote Thomas se faire poignarder, j’ai eu peur, je suis retourné dans la salle. J’ai vu un autre pote à moi se faire planter dans le dos, j’ai compressé sa blessure pour faire un garrot, il a été touché au rein. C’était l’horreur. Les agresseurs ont dit : « On est là pour planter des Blancs ! » (Le Dauphiné Libéré)

Témoignage corroboré par plusieurs autres victimes et témoins, puisque des victimes il y en a eu au moins 17 (de 16 à 65 ans), et des témoins plusieurs dizaines.

« Ils étaient une trentaine, d’après les amis de ma fille, raconte une habitante des environs. Ils criaient : « On va tuer du blanc ». (Paris Match)

Parmi les victimes, Thomas, 16 ans, mort des suites des coups de couteau :

« J’étais vers l’entrée et j’ai vu Thomas se faire planter un couteau dans le cœur et dans la gorge » (Hugo, 18 ans).

Et deux autres (parmi les 17 blessés) dont le pronostic vital est toujours engagé.

Un déferlement de barbares allogènes venus pour faire couler le sang de Blancs.

« Des jeunes de cité ont encerclé la salle des fêtes et plantaient les gens à l’aveugle. Le videur s’est fait trancher les doigts. » (Maxence, 18 ans)

Le crime raciste, l’assassinat motivé par la haine à raison de l’appartenance raciale, est, pour cette fois, évident.

Et prémédité très certainement, puisque certains des agresseurs seraient venus, puis partis, puis revenus avec des armes blanches :

«Deux jeunes sont arrivés au début de la soirée, ils n’étaient pas du coin. Ils sont entrés dans les lieux. Ensuite, le ton est monté avec les vigiles, qui ont découvert qu’ils avaient des couteaux sur eux. Ils leur ont ordonné de partir. Plus tard, à la fin de la soirée, ils sont revenus se venger en bande», rapporte un habitant.

Et ils ont déchainé leur pulsion raciste antiblanc :

« Ce n’était pas une rixe, ils sont venus pour tuer, ils étaient là pour nous tuer (…) La salle ressemblait à un abattoir », selon un des témoins.

« Une bande est venue pour tuer des gens. Ils n’étaient pas venus pour s’amuser mais pour faire du mal » selon les mots de la maire de Crépol, Martine Lagut.

Pas comme d’autres actes que la presse et les autorités publiques s’empressent de qualifier « racistes » ou « antisémites » en Une et en pleine page, et dont on apprend quelques jours ou semaines plus tard, en dernière page et en entrefilet, que la prétendue victime a tout inventé. Mais qui permettent de justifier des « marches » de République à Nation, de gonfler des statistiques et dénoncer une flambée, et encore de stigmatiser – toujours les mêmes – ceux dont on a décrété qu’ils sont les éternels « racistes », « antisémites » et autres « xénophobes » parce qu’ils dénoncent… la violence des allogènes et ceux qui ont contribué à les importer en France !

La justice a ouvert une information judiciaire pour « homicide et tentatives en bande organisée ». Mais pas de circonstances aggravante retenue semble-t-il, à ce stade, à raison du motif raciste antiblanc, dans cette affaire…

Selon le communiqué du procureur de la République, il est « faux d’affirmer que le groupe hostile serait composé d’individus tous originaires de la même ville et du même quartier». «Les liens qui peuvent exister entre les suspects possibles et en cours d’identification ne semblent pas reposer sur de telles logiques de territoires». Une « logique de territoire », la novlangue pour ne pas dire bande ethnique ?

Pourtant, nombre d’habitants, proches de Thomas et élèves qui le côtoyaient au lycée du Dauphiné affirment que les auteurs viennent du quartier de la Monnaie, une cité située à quelques encablures du lycée et souvent théâtre de règlement de comptes…

Neuf individus ont donc été interpellés le 21 novembre, selon Darmanin, dans les environs de Toulouse. Certains sont « très connus de la justice » (vols, effractions, port d’arme prohibé, drogue, refus d’obtempérer…) dont l’individu présumé auteur du coup de couteau mortel qui avait été condamné à amende de 200 euros pour le port prohibé… d’un couteau. Et en septembre 2023, la justice lui avait notifié son interdiction de détenir une telle arme…

Les suspects dont deux sont mineurs envisageaient de quitter la France en direction de l’Espagne ou du Maghreb. On attend d’avoir les noms, photos et pedigree publiés. Le seront-ils ?

M.àj. 22.11.2023 : On apprend ce jour que « les sept individus interpellés à Toulouse sont de type nord-africain, certains sont français » (Amaury Brelet, Valeurs Actuelles).

Les Nationalistes ont commenté :

« [ACTUALITÉ DE L’IMMIGRATION]

Meurtre de Thomas et attaque d’un bal à Crépol ou l’expression sans fard de leur projet pour la France.

Parce que vous ne calmerez jamais leurs atavismes avec des allocations ou de la gentillesse. Ni assimilation, ni intégration : DEHORS, pour notre sécurité et désormais notre survie. »

Foutons-les dehors !