Yad Vashem, l’Institut International pour la Mémoire de la Shoah, a été créé en 1953 pour « préserver la mémoire du passé et lui donner un sens pour les générations à venir ». Cette tentacule du judaïsme politique a bien sûr pour but d’empêcher que soit déchiré le voile du mensonge, en gardant le monopole de la récitation de la Shoah et en interdisant la recherche historique sur le sujet au profit de « la mémoire ».
En effet, « après trop de tentatives infructueuses pour relever le défi que leur avaient lancé les révisionnistes («Montrez-nous ou dessinez-nous une chambre à gaz nazie!»), ils ont préconisé l’abandon de la méthode historique ou scientifique au profit du recours à «la mémoire». Et ce qu’ils appellent leur «mémoire» n’est qu’un fonds de récits et de témoignages non vérifiés » (Mémoire juive contre histoire : ou l’aversion juive pour tout examen critique de la Shoah)
La « mémoire » en français !
Et depuis quelques jours, le site internet de Yad Vashem est disponible en français. Houtzpa !
Il permet donc de replonger dans « la mémoire », avec de nombreuses archives. « Pour les éducateurs qui peuvent être questionnés sur le sujet, c’est une manière très rationnelle d’avoir des réponses historiques assez incontestables », explique, sans rire, Philippe Lévy, coordinateur de « La Marche des Vivants » en France.
Tous les révisionnismes ne se valent pas ?
Le site recueille des faits et des témoignages, un rempart pour les générations futures pour éviter tout révisionnisme. « Grâce à ce site Internet, grâce à ces informations, c’est impossible d’oublie », assure Pierre-François Veil, président du Comité français de Yad Vashem.
Étrange attitude quand même, et bien peu scientifique, qui condamne tout révisionnisme mais uniquement en histoire et concernant le génocide juif et son mode d’exécution… En effet, l’objectif et la méthode révisionniste ne gêne personne quand leur objet est le boulangisme républicain, le sionisme, le procès Dreyfus, le Traité de Versailles ou les courants marxistes. Comprenne qui pourra…