Le fabricant pharmaceutique américain Pfizer se recentre sur le marché du traitement du cancer depuis la fin de la pandémie de Covid-1984 et la baisse de la demande mondiale de « vaccins » et de médicaments contre le coronavirus, a déclaré à Fox Business le PDG de la société, Albert Burla.
Pfizer espère obtenir de gros résultats – et de gros revenus – dans le domaine des médicaments contre le cancer. Son entreprise cherche à inverser le déclin de son activité post-Covid. La pandémie a apporté des revenus records au géant pharmaceutique. Rien qu’en 2022, les ventes totales de Pfizer se sont élevées à 157 milliards de dollars, dont 37,8 milliards de dollars pour le produit censé lutter contre la transmission et l’infection Covid et 18,9 milliards de dollars pour le traitement antiviral Paxlovid.
« En 2023, nous avons déclaré un chiffre d’affaires de 58,5 milliards de dollars, reflétant une baisse d’exploitation de 41 % d’une année sur l’autre, principalement due à une baisse significative des revenus de nos produits Covid-19 », a souligné Burla dans son dernier rapport aux investisseurs en mai.
Les actions de la société ont chuté de 42 % depuis fin 2022 et cela a conduit à une vaste campagne de réduction des coûts, notamment à des centaines de licenciements dans des usines pharmaceutiques au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Irlande.
Dans un entretien à Fox Business, Burla a salué les « très bonnes mesures de maîtrise des coûts », affirmant qu’elles avaient produit de « très bons résultats » début 2024 et se réjouissant que Pfizer soit également sur la bonne voie pour décrocher de nouveau l’or avec sa nouvelle stratégie !
Sans honte ni scrupule, l’ami de Von der Leyen avec laquelle il négociait par SMS l’achat de milliards de doses de son poison, Burla a déclaré :
« L’oncologie, c’est notre nouveau Covid. Nous avons fait ce que nous avons fait avec Covid. Nous sommes très fiers d’avoir sauvé le monde, mais c’est désormais derrière nous. Nous voulons recommencer et je pense que l’oncologie est notre meilleure chance d’y parvenir. »
Pfizer a annoncé son recentrage sur le traitement du cancer fin 2023 :
« Rien n’effraie plus les gens dans le monde que le cancer, car il touche tout le monde. J’espère que nous réussirons notre mission. Je suis optimiste et pense que nous verrons des progrès significatifs au cours des dix prochaines années ».
En janvier 2024, la société a annoncé qu’elle prévoyait de disposer d’au moins huit médicaments contre le cancer d’ici 2030 et de doubler le nombre de patients traités avec les médicaments de Pfizer, passant de 2,3 millions en 2023.
Fin 2023, le laboratoire pharmaceutique américain a acquis pour 43 milliards de dollars Seagen (anciennement Seattle Genetics), une société de biotechnologie spécialisée dans les médicaments à base d’anticorps monoclonaux. Ils sont conçus pour tuer les cellules tumorales tout en laissant les tissus sains relativement peu affectés. Seagen était auparavant connu pour son produit phare Adcetris, utilisé pour traiter le lymphome et le lymphome hodgkinien. Le médicament coûte environ 11,91 $ pour une dose de 50 mg.
Un autre médicament du portefeuille de la société qui a démontré des « performances phénoménales » est le Padcev. Il est utilisé pour traiter le cancer de la vessie et ses ventes « ont augmenté de 164% » depuis son acquisition par le géant pharmaceutique américain, a-t-il précisé. Le prix moyen du Padcev est de 4 446 $ par dose de 30 mg.
« Cela montre à quel point nous avons bien investi l’argent », s’est auto-congratulé Burla, commentant la performance de Padcev. Il a également promis à l’avenir des « médicaments à succès » qui « auront un impact significatif sur les patients atteints de cancer ».
Et sur les finances des organismes sociaux et assurantiels qui remboursent les produits à partir des cotisations des assurés, par la même occasion…
« Fils de survivants de la Shoah », Albert Bourla est PDG de Pfizer depuis le 1er janvier 2019. Avec sa copine Von der Leyen, ils reçoivent, en octobre 2021, la récompense du « distinguished leadership », décernée par l’Atlantic Council ! Et il a reçu à Jérusalem, le 30 juin 2022, des mains du président israélien Isaac Herzog, le prix Genesis, surnommé le « Nobel juif » par le magazine Times. Il est bien sûr membre du Forum économique mondial de Davos et des réunions du groupe Bilderberg.
Quiconque verrait un lien de cause à effet entre l’inoculation forcé de milliards de doses des produits appelé « vaccins » contre le Covid-1984 et l’explosion du nombre de cancers depuis lors, serait sans doute un esprit tordu complotiste ?
Voir aussi :
Le PDG de Pfizer récompensé par le prix « Nobel » juif
« Vaccins Covid-19 » : les mensonges de Pfizer, du gouvernement et des médiats
Négatif, Pfizer a toujours été dans l’oncologie, j’ai travaillé chez eux il y a 20 ans, c’est même là-bas que j’ai appris le mot oncologie et c’est infiniment plus lucratif qu’un vaccin à 5 euros, je ne peux pas donner les marge parce que c’est un secret professionnel, mais que ce soit en valeur absolue ou en multiple du coût de production, c’est phénoménale (et ça ne me gêne pas, je n’ai rien contre l’argent, c’est chez Pfizer que j’ai le mieux gagné ma vie, merci à eux, et en plus, la cantine était meilleure que bien des brasseries et restau de Paris, un régal tous les jour, le tout, à l’époque pour moins de 2 euros: des cuisses de lapin au jus de thym, des gambas aux riz sauvage et le tout net, précis, nickel en goût, texture et couleur, pas de la pâtée tiède et molle, les grains de riz, on avait l’impression qu’ils avaient été cuits un par un).
Au passage, une info intéressante qui donne à réfléchir sur les « progrès » médicaux, la France est très bien classée au niveau espérance de vie, mais elle ne fait pas mieux que les autres au niveau espérance de vie en bonne santé.
Non seulement la France attire toute l’immigration pas douée du monde, mais en plus, elle maintient en vie des millions de Parkinsoniens, Alzheimer, diabétiques etc.
Les seuls vrais responsables du CA de Pfizer sont ceux qui se précipitent sur les médicaments et spécialement sur les anticancéreux.
Rappel, l’âge moyen pour développer un cancer, c’est 67 ans: à cet âge là, on a la vie devant soi ;-)
Soigner les cancers qu on declanche avec des vaccins pourrit fabriques a l arrache . Cela ne vous rappelle rien? Autrefois on appelait cela des empoisonneurs de puis… Mais cela etant connote antisemite l expression est mal venue de nos jours.
Après avoir enquêté sur ces sujets en tant que responsable de la rubrique de défense des consommateurs de l’hebdo « Minute », j’ai publié trois livres :
– ENQUETE SUR UN SURVIVANT ILLEGAL, l’enquête étant de moi, mais le texte de mon épouse d’alors…
– LOIC LE RIBAULT, LE SCIENTIFIQUE QU’IL FALLAIT FAIRE TAIRE, lequel a été assassiné quelques jours avant l’édition de ce livre.
– CANCER HUIT ERREURS A EVITER POUR MULTIPLIER SES CHANCES.
Le drame de la médecine, c’est à dire des malades, c’est que la médecine moderne a totalement échappé au contrôle des médecins pour être dominée par le lobby industriel de la chimio pharmacie, qui n’est motivée que par le profit.
« Je ne suis pas le PDG des malades, m’a avoué un jour un PDG de labo (qui se reconnaitra peut-être…), et si je suis maintenu à mon poste, c’est pour servir des dividendes à mes actionnaires…
« Quant aux mandarins de la médecine… nous nous les payons comme des putes !
Qu’on comprenne bien que la MOLECULE CXHIMIQUE DE SYNTHESE est la seule admise par le lobby de la Chimio pharmacie.
Pourquoi ? Parce qu’elle est brevetable et que, dès lors que l’on a acquis le brevet, c’est à dire l’exclusivité, on peut pratiquer les prix les plus délirants sans crainte de les voir minimiser par la concurrence. Prix qui finissent par être acceptés par des responsables de la Santé publique conseillés par des « experts » corrompus autant qu’ils le sont eux-mêmes.
C’est suite à un signalement indigné par son propre personnel municipal que j’ai enquêté pour « Minute » sur les cas du Ministre de la Santé Douste-Blaty, Maire de Lourdes, dont les associations qui lui permettaient de « tenir » sa ville étaient largement subventionnés par les laboratoires.
Pourtant, une autre médecine pourrait exister. Une médecine connue depuis plus d’un siècle : la médecine quantique, déjà imaginée par ce chercheur étonnamment prolifique que fut Tesla, mais aussi par le français Antoine Prioré et agissant directement sur nos atomes par induction d’ondes électo-magnétiques.
Seuls les Russes, à ma connaissance, ont continué à progresser dans ce domaine. Mais qu’en est-il aujourd’hui ?
Par ailleurs, un minimum d’honnêteté m’oblige à dire ici qu’atteint par un cancer digestif, la médecine ne m’accordait généreusement que trois mois à vivre, lorsque je me suis soigné (comme Mitterrand à la même époque) avec les molécules du Docteur es sciences en biologie moléculaire Beljanski.
Trois mois à vivre… il y a de cela 23 ans et 10 mois !
SANS COMMENTAIRES…
Après avoir inoculé un produit cancérigène à des innocents (ou des pro-vax) avec leur pseudo-vaccin, ils vont soigner les cancers qu’ils ont provoqué ? Je ne fais aucunement confiance à Pfizer.
Guérir le cancer, j’ai toujours entendu cette promesse de la médecine. C’est vrai que des progrès ont été accompli pour certains cancers dont on peut guérir ou au moins connaître une rémission. Quand j’étais enfant, dans les années 70, c’était la mort assurée à court terme. Mais, bon pour la mise sur le marché de nouvelles molécules, les autorisations, on l’a vu pour les vaccins COVID, elles sont données par des institutions corrompues, alors elles sont plus chères, c’est bien pour le laboratoire, mais est ce qu’elles sont réellement plus efficaces ? Et puis, il y a de plus en plus de cancer. Cela ne peut pas s’expliquer uniquement par le vieillissement de la population. Alors, est ce que c’est la pollution, les perturbateurs endocriniens ?