The BookEdition, Anatomopathologie du wokisme (cahiers 1 et 2), 15 € chacun
Dans ce premier cahier de son « Anatomopathologie du wokisme », Jean-Michel Vernochet ne se livre pas à une simple critique, mais à une véritable dissection clinique de ce qu’il considère comme une maladie mortelle pour la civilisation occidentale. Le titre lui-même pose le cadre : le « wokisme » est un mal à analyser, dont il faut comprendre les causes et les effets.
L’ouvrage déploie une analyse qui lie indissociablement le politique, le démographique et le mental. Partant d’un état des lieux géopolitique, l’auteur articule sa pensée autour de la notion de « submersion », qu’il décline en sentiment migratoire, en projet de « Grand Remplacement », et en réalité politique incarnée par des figures comme Mélenchon ou Macron.
La force de l’analyse réside dans sa capacité à relier des phénomènes en apparence distincts. Vernochet établit un lien entre la « mort du monde blanc » (illustrée par les exemples de la Rhodésie ou de l’Afrique du Sud) et ce qu’il nomme la « pollution chimique et santé publique », où les perturbateurs endocriniens joueraient un rôle. Il s’attaque enfin à la « néo-science », qu’il s’agisse du « fascisme et obscurantisme » ou du « dogmatisme scientifique » sur le climat, considérés comme des facettes du même mal.
C’est un essai radical, qui utilise des termes chocs pour poser un diagnostic sans concession sur les périls qui, selon l’auteur, menacent notre monde.
Dans ce second cahier de son « Anatomopathologie du wokisme », Jean-Michel Vernochet poursuit sa dissection clinique de ce qu’il considère comme une idéologie mortifère. Le fil conducteur de cet opus est la « négation du réel », que l’auteur décline en plusieurs chapitres pour en exposer les manifestations.
L’analyse s’ouvre sur une critique de la gouvernance mondiale et du « freudo-marxisme », présentés comme les deux faces d’une même idéologie totalitaire. Vernochet s’attaque ensuite à ce qu’il nomme la « confusion mentale au chaos sociétal », où il analyse l’idéologie et la théorisation de la révolution sociétale comme une « rupture épistémologique ». Il y voit une « science sans conscience » et un art déconstruit, qualifié de « culture de l’immonde ».
La dernière partie de l’ouvrage aborde frontalement les conséquences de cette négation du réel : l’antispécisme, la « guerre idéologique » et, enfin, l’avènement d’une « termitière transhumaine ». Pour l’auteur, la censure, la désinformation et la « tyrannie consensuelle » sont les outils de ce projet, qui aboutit à un « Grand remplacement idéologico-théologique ».
C’est un essai dense, à la langue volontairement polémique, qui pose un diagnostic radical sur une idéologie qu’il juge être une menace existentielle pour la civilisation.
Disponible sur :
Samedi 22 novembre 2025 à la librairie Duquesne de 15h00 à 18h00, Jean-Michel Vernochet dédicacera son dernier livre : « Anatomopathologie du wokisme » (cahiers 1 et 2) ainsi que ses précédents.

































Jeune Nation TV












En parlant de Wokisme, je passe par la rue des Petits Carreaux et voilà ce sur quoi je tombe:
positivement infecte, récupération odieuse de héros et d’une bande dessinée qui ne leur appartient absolument pas.
https://www.tiktok.com/@rues_de_paris/video/7466410330244025622
Il est une évidence que le wokisme est le réchauffé des 68tards, néocons, protestants-talmudistes américains. En revanche, en parler et plus tard remercier Trump pour son combat, c’est ne pas parler des vrais priorités. Une extrême-droite dont les derniers éléments deviennent sionistes, un soutien à Trump le sioniste rabique, une non dénonciation du génocide des Palestiniens, une non dénonciation de la réalisation Trump-Netanyhaou du Grand Israël, en commençant par une Trump Tower à Gaza Riviera.
La chasse à la gay-pride à San Francisco, on s’en fout. Nous ne sommes pas américains.L’extr^me-droite antiwoke qui soutient Guillaume Faye, cela fait marrer.