Ce dimanche 10 octobre 2021, les nationalistes languedociens se sont rassemblés pour la troisième année consécutive, dans la matinée, pour rendre hommage à Pierre Lespinasse, magistrat du Parquet général toulousain assassiné le 10 octobre 1943 par des terroristes apatrides, peu avares de sang français, pour avoir rempli son devoir et envoyé à la guillotine Mendel, dit Marcel, Langer, autre terroriste communiste, rebaptisé résistant, interpellé quelques temps auparavant en gare Saint-Agne en possession de quantité d’explosifs.
Il est essentiel de comprendre que le régime actuel, qui pousse des cris d’orfraie à chaque fois qu’un musulman vient commettre un attentat en France, au nom des valeurs de la république, est, par sa nature même, incapable de nous protéger de ce danger.
En effet, non seulement il a organisé la venue sur notre territoire national de ceux-là mêmes qui commettent ces forfaits, mais en outre et plus fondamentalement, il est lui-même issu des actes terroristes de Langer et de ses émules.
Comme l’a rappelé dans son bref discours d’hommage notre Ami Pierre Marie Bonneau, Bossuet disait avec raison que « Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. »
Après avoir déposé une gerbe florale en hommage, les militants ont retrouvé, en pleine nature, à côté de Toulouse et sous un chêne pluri-centenaire, nombre de sympathisants et de curieux venus pour la septième édition de notre maintenant traditionnel « Cassoulet nationaliste toulousain », arrosé d’un bon vin rouge du Roussillon.
Notre chef et ami Yvan Benedetti a pris la parole, rappelant les enjeux de cette période cruciale de notre histoire et la nécessité de ne pas nous laisser aveugler par les mirages électoraux, dont beaucoup ne font que refléter les illusions entretenues par ce régime qui mène consciencieusement notre Patrie à la ruine.
Nous nous sommes quittés en fin d’après-midi, pleins d’espoir et conscients des devoirs qui pèsent sur nos épaules de nationalistes déterminés.
C’est l’enracinement dans la durée, malgré les épreuves et les contretemps, qui fait la force d’un mouvement, et nous avons, dimanche dernier, encore une fois prouvé que rien ne pourrait altérer notre volonté.
En avant pour la Révolution nationale !
« il est lui-même issu des actes terroristes des langer et de leurs émules » armés par les vicieux sur leur ile et soutenu, jusqu’à ce jour , par les valeureux héros du général. Le guide pouvait très bien envisagé de prendre la suite du maréchal, sans effusion de sang . Cette option, préconisée par P. Laval, voulait éviter toute rupture dans la gestion de la France, car Laval, pacifiste, craignait la guerre civile. De la même façon que les chambres avaient donné les pleins pouvoirs à P Pétain, le gouvernement de Vichy voulait convoquer les chambres auxquelles il aurait remis le pouvoir, afin que celles-ci accueillent les libérateurs et administrent provisoirement le pays .Les contacts en ce sens avec Londres n’ont jamais reçu une quelconque réponse , car Charles avait fait son choix, et sa prétention exigeait qu’il fût le seul à recevoir les lauriers .
En fait il a préféré la haine entre les français, accompagnée de flots de sang, à la réconciliation nationale .
Il est donc totalement ahurissant d’entendre les Z, la marine sans voile et les restes des partis se référer à l’homme de grande taille, pour faire du bien à la France .