Entre victimisation, revendications pécuniaires et lamentation, plusieurs dizaines d’Africains ont mené quatre jours de protestation à la mode juive devant le théâtre Gérard Philippe de Saint-Denis contre « Exhibit B ». Cette « performance » – du non-art contemporain (NAC) – s’était déroulée sans le moindre problème il y a quelques mois à Paris. Mais à la suite de leurs homologues occupants l’Angleterre qui se sont mobilisés à Londres au début de l’automne et ont obtenu son annulation, les colons en France ont tenté leur chance.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=zGf1wyMww1Y[/youtube]À Londres, c’est clairement sous le signe du racisme antiblanc que les Africains ont manifesté, brandissant entre autres des pancartes contre le « white privilege », un concept raciste antiblanc popularisé par le communiste Theodore W. Allen et le marxiste Juif Noël Ignatiev (cf. la traduction publiée par Jeune nation d’un article de Kevin McDonald : « Psychopathologie et haine raciale de soi chez les Blancs »).
Les manifestations ont été marquées par des débordements violents, notamment la destruction d’une vitre de la porte d’entrée du théâtre. Il n’y a eu au total que deux arrestations, le dernier jour : les manifestations avaient été plus calmes, mais les deux individus avaient réussi à pénétrer dans la salle de spectacle.
Ces rassemblements haineux ont aussi rappelé la virulence de ceux auxquels les Blancs ont apporté la santé, l’éducation, la culture, et qui ont été importés par dizaines de millions en Europe après l’invasion de notre continent par l’armée américano-soviétique en 1945. Certains Européens reniés en ont même fait les frais, comme le montre la vidéo ci-dessous :
La pièce du non-artiste contemporain sud-africain Brett Bailey prétend dénoncer à travers le prisme du racisme antiblanc, le comportement des Européens vis-à-vis d’Africains, pendant que ceux-là vendaient leurs frères aux esclavagistes arabes, juifs ou protestants, mangeaient leurs ennemis, et considèrent le massacre de l’ethnie voisine à coups de machette comme une joyeuse tradition.
Le prochain happening de la société antiblanche – un spectacle dénonçant les Blancs lui-même attaqué par des étrangers dénonçant le racisme des Blancs – commencera à partir du 7 décembre, date à partir de laquelle, et pour une semaine, débute une série de représentation au Centquatre. Ce « haut lieu culturel » parisien est un établissement public de coopération culturelle (EPCC), financé par le contribuable français.
La pièce a reçu le soutien de l’Asiate Fleur Pélerin, la Ligue des droits de l’homme (LDH), du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) et encore le Comité inter mouvements auprès des évacués (CIMADE) notamment. Le directeur du Centquatre a coécrit une lettre adressée à ses « chers spectateurs » et son « cher public » qui résume la maladie mentale qu’est le non-art contemporain :
« […] Cette émotion naît particulièrement ici de la vibration palpable qui existe entre des hommes qui se regardent : nous – spectateurs – pris dans le regard direct des acteurs. Leur silence est ici relayé par un texte qui accompagne chacun des tableaux de manière bien plus implacable que des paroles proférées. […] Cette œuvre d’art plaide pour la renaissance d’un sentiment d’humanité – quand l’Homme a-t-il arrêté d’être humain ? Savons-nous, nous, Hommes du XXIe siècle, être humains ? L’un des ressorts du théâtre est de tendre le miroir d’un certain monde pour mieux l’interroger. C’est le sens de l’art. Le théâtre est éminemment – depuis toujours – un art qui crée du débat dans la cité. Le geste poétique devient politique. […] Exhibit B aura lieu. Exhibit B touche droit à l’âme, dans sa conscience et bien au-delà. »
Le raciste antiblanc et cogneur de femmes Lilian Thuram a tenu à apporter son éclairage sur les faits, comme Agnès Tricoire, qui n’hésite à traiter racistement les manifestants noirs « d’absurdes » (à deux reprises), en usant d’un ton paternaliste rappelant les heures les plus noires de leurs républiques colonialistes.
« Ce spectacle est absolument fondamental sur la question de ce que c’est que le racisme, jusqu’où ça va, qu’est que le regard de l’autre, comme on regarde l’autre. Comment le euh… enfin… le…tout ce sur quoi travail le spectacle en général, et celui, cette œuvre en particulier c’est-à-dire comment est-ce qu’on regarde, comment on est regardé…, euh… qu’est-ce que nous apprend de regarder, comment ça nous dérange, comme ça nous bouleverse complètement. »
précise cette avocate travaillant pour la LDH.