DES VIES BRISÉES, une famille anéantie, un bébé décédé, voilà ce qu’a provoqué le vendredi 10 février, à la tombée de la nuit, sur une route départementale de Seine-et-Marne, vers Villiers-en-Bière, l’humoriste quinquagénaire Pierre Palmade qui roulait en voiture alors qu’il était sous l’emprise de la cocaïne et de drogues de synthèse consommées une demi-heure à peine avant que ne se produisît le terrible accident. L’enfant de six ans est défiguré à vie, il ne pourra plus parler et manger comme il le faisait auparavant, aux dires des médecins. Son jeune père de 38 ans qui a subi de multiples opérations aura également de graves séquelles à vie. Il sera handicapé à 80 %. Quant à sa belle-sœur de 27 ans, elle a perdu son bébé de six mois et demi. Les médecins ont déclenché une césarienne en urgence mais hélas le bébé n’a pu être sauvé. A ce jour, l’autopsie n’a pas permis de savoir avec certitude si l’enfant est né vivant et a respiré quelques instants avant de rendre son âme à Dieu ou s’il est mort-né. Et cela change tout d’un point de vue juridique. Car du fait de la légalisation de l’avortement, le fœtus n’a pas de statut juridique. Si on n’arrive pas à prouver que le bébé est né vivant, si on ne peut pas démontrer qu’il a respiré avant d’expirer, Pierre Palmade ne pourra pas être poursuivi pour homicide involontaire, la mère éplorée de l’enfant ne pourra recevoir aucune indemnité car un fœtus de six mois et demi, en parfaite santé jusque-là, parfaitement viable, ayant des bras, des jambes, un corps formé et un cœur qui bat n’est pas, aux yeux de la législation de notre pays décadent et apostat, un être vivant. Il n’est même pas une chose. On peut en effet obtenir une indemnité, des réparations financières pour la destruction d’un objet, d’un véhicule, on ne peut rien obtenir pour la mort d’un bébé provoquée par un chauffard.
Voilà où nous en sommes dans un pays que l’on dit civilisé. On mesure à quel point la légalisation de l’avortement, déjà un crime abominable en soi, a des conséquences absurdes, inhumaines et insupportables. Non, Madame, ce que vous portez dans votre ventre depuis plus de six mois, ce sur quoi vous veillez comme la prunelle de vos yeux, ce que vous avez de plus cher au monde, ce qui fait votre joie et votre espérance, ce qui est votre raison de vivre et de vous battre n’est rien. Ainsi le veut « le droit des femmes à disposer de leur corps ». Ainsi le veut l’émancipation féminine, ainsi l’exige la dignité humaine, ainsi le nécessité la conquête de la liberté. Voilà les discours que l’on tient pour faire accepter l’inacceptable, pour essayer de légitimer ce qui n’est qu’un odieux assassinat, un massacre des innocents, un sacrifice humain. La cour de cassation a ainsi refusé d’accorder à plusieurs reprises des indemnités à une mère dont l’enfant à naître avait été tué dans un accident provoqué par un tiers car, au nom du « droit à l’avortement », le fœtus n’a pas de statut juridique. Rien que cette ignominie suffirait à condamner définitivement notre société désorientée !
CETTE AFFAIRE Palmade est un triste condensé de toutes les tares d’un monde décadent, désaxé et dépravé : la drogue, aujourd’hui si répandue, surtout dans la jeunesse qui n’est nullement protégée de ce fléau, le sexe à outrance, et singulièrement la sexualité de groupe entre hommes avec tout ce qu’elle induit de comportements violents, suicidaires, sauvages, l’alcool consommé sans modération, les orgies à n’en plus finir, l’usage de seringues pour consommer des drogues stimulant la libido et favorisant une activité sexuelle intense, torride et durable. Et comme la transgression appelle la transgression, le mal appelle le mal, la déviance appelle la déviance, la déchéance appelle la déchéance, voilà que l’on parle depuis quelques jours, à la suite de la dénonciation faite à la police par un ancien proche de Palmade, de vidéos pédopornographiques qui mettraient en scène des garçonnets de sept et neuf ans et dont l’humoriste ferait une consommation assidue. On le verrait ainsi dans une vidéo se féliciter de son impunité sur le sujet. Si la brigade de protection des mineurs prend cette affaire très au sérieux et a procédé à plusieurs perquisitions des deux domiciles de l’humoriste, son appartement dans le IIIème arrondissement de Paris et sa résidence secondaire à Cély-en-Bière où les enquêteurs sont repartis ce lundi 20 février avec deux sacs en plastiques contenant les effets personnels de l’acteur, on ne sait pas à ce stade si le comédien est allé plus loin que ce visionnage, en soi déjà scabreux et délictueux, même s’il a souvent dit qu’il recherchait des partenaires sexuels bien plus jeunes que lui. Affirmer qu’il y a des liens entre l’homosexualité et la pédomanie, ce qui est pourtant une évidence, est aujourd’hui considéré comme de l’homophobie, un délit passible d’un an de prison ferme et de 45 000 euros d’amende. Et pourtant les faits sont têtus. L’acteur homosexuel Jean Marais lui-même avouait que, plus il avançait en âge, plus il recherchait de très jeunes éphèbes. Et il suffit de lire l’œuvre de Montherlant ou de Roger Peyrefitte pour être convaincu des liens étroits entre pédérastie et pédomanie.
Les compagnons de débauche de Pierre Palmade, qui étaient également ses passagers lors de l’accident, ne sont pas mineurs mais ils ont une vingtaine d’années de moins que lui. L’un est un immigré marocain en situation irrégulière, Mohcine E.A, âgé de 33 ans. Il devait être sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français mais ayant été mis en examen avec le statut de témoin assisté pour non-assistance à personne en danger (il a fui rapidement avec son comparse les lieux de l’accident), il devra rester en France jusqu’à la fin de l’enquête et du procès, paradoxe de cette affaire. Le deuxième passager est un Français d’origine africaine, Malik Sambou G., âgé de 34 ans, qui venait d’être condamné, une semaine avant l’accident, à douze mois de prison dans une affaire d’usage et de trafics de stupéfiants (déjà !) et avait interdiction d’entrer en contact avec l’acteur. Une interdiction qu’il s’est bien gardé de respecter au vu des événements. Apparemment, les deux hommes se fréquentaient sexuellement depuis 2007, s’étant connus sur un site de rencontre, ce qui signifie que Sambou G. avait à l’époque à peine 18 ans !
CETTE affaire est aussi révélatrice de l’évolution démographique de notre pays dans la mesure où elle ne met en scène quasiment que des immigrés, que des étrangers. Seul le conducteur Pierre Palmade est un Français de souche, un Blanc. Tous les autres sont des allogènes. Tant les compagnons de débauche de Palmade que les victimes innocentes de l’accident : une famille kurde de nationalité turque : un père, son fils et la belle-sœur avec son bébé. Cet épisode tragique est hélas un résumé de la France d’aujourd’hui et de demain : un Grand Remplacement qui avance de manière accélérée et les derniers Blancs, pour beaucoup d’entre eux hélas, LGBTistes, toxicomanes, individualistes, irresponsables et dégénérés. C’est bien la France qu’on nous concocte : à la submersion migratoire s’ajoute la subversion morale, à l’immigration de masse se superposent la dilution, la décomposition et la putréfaction internes. Cette affaire effroyable de bout en bout est tout un symbole : le dépravé Pierre Palmade ne fait pas d’enfant, n’aura pas de descendance (et en un sens, vu son état actuel, c’est sans doute mieux ainsi). Mais les immigrés, moins corrompus sur ce point, eux, en font, même s’ils ne répugnent pas non plus, à l’instar des Occidentaux, à utiliser des méthodes modernes et moralement très contestables puisque le bébé, hélas décédé, a été fabriqué en laboratoire. C’est un bébé éprouvette, un enfant créé par fécondation in vitro (FIV) car les parents ne pouvaient le concevoir par voie naturelle.
On a décidément tout dans cette affaire. Tout y est sordide et glauque de bout en bout. Tout y est à pleurer. Et il ne faut pas croire hélas qu’il s’agit là d’une exception, d’un cas particulier. Les mœurs dépravées et l’attitude irresponsable, immature et criminelle de Pierre Palmade (qui est pourtant loin d’être la pire des personnalités du show-biz !) sont globalement celles du Tout Paris Tout Pourri. Que l’on songe à la mort dans des conditions sordides de l’ancien directeur de Sciences Po, l’inverti Richard Descoings, que l’on se souvienne de la mort, il y a quelques années, dans une orgie avec consommation de cocaïnes et d’autres substances mortifères, d’un jeune homme au domicile parisien du PDG de TF1 international, son cœur ayant lâché devant l’excès de drogues, que l’on songe encore à la mort du banquier Stern retrouvé à son domicile, pourtant ultra-sécurisé, dans une combinaison en latex laissant à penser à des jeux sadomasochistes violents ayant mal tourné.
SI L’ON SAVAIT la réalité des mœurs et des comportements des puissants qui nous dirigent, et pas simplement les personnalités du show-biz, mais plus généralement les décideurs, les politiciens, les hommes en vue, on serait effrayé. Comment s’étonner dans ces conditions que ces tristes sires imposent des législations immorales, qu’ils promeuvent non seulement l’homosexualité mais toutes les dépravations, du changement de sexe des mineurs à la constitutionnalisation de l’avortement, qu’ils encouragent la dépénalisation des drogues et de l’euthanasie, bref qu’ils nous préparent l’enfer sur terre ?
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RIVAROL, <[email protected]>
Source : Éditorial de Rivarol
La depravation d’un pays la FRANCE…………..De pire en pire avec l’accord de nos POLITIQUES tous plus pourries les uns que les autres