L’homme aux deux alliances nous explique que la paix c’est la guerre.
Totalement discrédité et déconsidéré, il essaye d’exister politiquement. Comme au moment du Covid, c’est la fuite en avant et le prétexte pour renforcer l’Europe fédérale au dépend de notre souveraineté protectrice. La nouveauté, c’est cet appel grotesque à l’amour de la Patrie !
La guerre en Ukraine, pays largement artificiel, ne nous concerne pas. La Russie n’est pas notre ennemi. Ce qui nous concerne, c’est la sécurité dans nos villes, la prospérité pour notre peuple, la défense de notre identité et le respect de nos enfants.
Pas un franc pour la guerre !
Les nôtres avant les autres !
Cessons de nous laisser manipuler par une sémantique trompeuse !
– Quand les forces de l’ordre son confrontées à des français manifestant sur la voie publique, cela s’appelle du maintient de l’ordre…
– Mais quand c’est le sang français qui coule, au rythme d’attentats perpétrés par des étrangers ou se considérant comme tels, cela s’appelle un ETAT DE GUERRE.
Une guerre dont les belligérants d’origine étrangère n’en proviennent pas moins des banlieues de nos métropoles et dont les complices prospèrent dans les travées de notre Assemblée Nationale, de notre Sénat, dans nos ministères et jusqu’au palais de l’Elysée.
C’est cette guerre là qui constitue à la fois un péril à court terme, par la violence des hostilités, et un risque d’anéantissement, à plus long terme, par l’objectif de ces hostilités : la submersion démographique du peuple de France.
C’est pourquoi le prétexte d’une prétendue agression ourdie par un gouvernement situé à plus de 2 800 kilomètres doit être dénoncé comme ce qu’il est : une tentative pour nous dissimuler la trahison de ceux qui, au cœur de nos villes et au plus haut niveau de l’Etat organisent la dhimmitude de notre peuple.