Communiqué du CLAN
Le 24 juillet 2013, le conseil des Ministres de leur République a décrété la dissolution de l’Œuvre française (OE) et des Jeunesses nationalistes (JN). Le Comité de liaison et d’aide aux nationalistes (CLAN) apporte son soutien total aux dirigeants et aux militants de ces deux mouvements qui subissent la répression brutale de l’État, par une mesure qui prétend empêcher les fils de France de s’engager pour la défense de leur pays. D’ores et déjà, le CLAN accompagne et soutient toutes les initiatives prises pour faire casser ce décret.
Au-delà du plan juridique, notre association organisera dès la rentrée une série de réunions à travers la France pour dénoncer les actes toujours plus honteux de la dictature socialiste et pour montrer au pouvoir que non seulement nous ne lâchons rien, mais que chaque coup renforce notre détermination.
« On ne dissout pas l’Œuvre française, ni les Jeunesses nationalistes, pas plus qu’on ne peut dissoudre la France ou les Français. Car ce ne sont pas des partis, des syndicats d’intérêts avec leurs belles permanences, leurs créances, leurs employés, leurs prébendes, leurs mandats… ce sont des mouvements qui prennent leur origine dans la France, c’est le souffle de vie de cette Patrie irrévocable, qui s’incarne en chacun de nous. Un mouvement ne s’arrête pas, c’est son essence même »
ont déclaré Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac dans un communiqué dans lequel ils ont fait connaître leur refus de cette prétendue « dissolution » et leur volonté intacte de poursuivre la lutte pour la France aux Français. Le CLAN fait siennes ces paroles et continuera à se tenir aux côtés de tous ceux qui font face à la répression.
Le CLAN.
Ci-dessous le communiqué publié par Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac.
Dissolution ? Non !
À l’issue du conseil des ministres du mercredi 24 juillet, Manuel Valls a annoncé la dissolution de l’Œuvre française et des Jeunesses nationalistes, actée par voie de décret présidentiel. Nous faisons donc un recours en référé suspensif devant le Conseil d’État afin d’obtenir l’annulation de cette forfaiture. On ne dissout pas l’Œuvre française, ni les Jeunesses nationalistes, pas plus qu’on ne peut dissoudre la France ou les Français. Car ce ne sont pas des partis, des syndicats d’intérêts avec leurs belles permanences, leurs créances, leurs employés, leurs prébendes, leurs mandats… ce sont des mouvements qui prennent leur origine dans la France, c’est le souffle de vie de cette Patrie irrévocable, qui s’incarne en chacun de nous. Un mouvement ne s’arrête pas, c’est son essence même.
L’Œuvre française vit en nous et c’est dans nos cœurs, dans nos âmes qu’il faudrait que l’illégitime, le Hollande, vienne la chercher. Car si notre mouvement vieux d’un demi siècle, trouve sa légitimité dans la France historique, ceux qui prétendent la dissoudre en sont dénués. Leur République assoit sa légitimité sur le peuple. Or le peuple n’a plus ni confiance, ni même respect pour ce Président fantoche qui n’a eu de cesse de souiller notre France. Et que dire d’un Valls pas même encore français quand l’Œuvre française voyait le jour, lui le larbin des lobbys communautaristes, l’otage des racailles de Trappes, lui le yorkshire de garde aux ordres et abois. Pour aboyer il aboie ! Et même il mord ! Il n’y a pas plus agressif que ces petits roquets qui se prennent pour de grandes montures ! Mais combien il faut être petit pour prendre d’aussi grands airs ! Devant les caméras, il est là. Dans les salons feutrés de l’Élysée, il est là. Mais où était-il quand les cadavres étaient dépouillés à Brétigny, pas même fichu de faire arrêter ceux qui ont commis ces actes innommables au nez des forces de l’ordre, le Zorro des salons bobos, armé de son micro et de sa plume.
C’est dans la répression qu’une nouvelle aristocratie révolutionnaire voit déjà le jour. Notre Mère Patrie n’a pas fini d’enfanter des nationalistes ! Le gouvernement passera que nous serons toujours là, nous, fils et filles de France. Nous ne vivons pas aujourd’hui dans l’attente de la mort symbolique qu’il voudrait nous donner, nous portons la vie, toujours debout et fiers de ce que nous sommes. Nous ne renierons rien.
L’Œuvre française comme les Jeunesses nationalistes sont plus qu’un nom, ils sont une éthique de vie, et nous continuerons à vivre, ils sont une famille, et nous resterons soudés, ils sont une doctrine, et nous continuerons à penser, ils sont porteurs d’amour pour notre France et nous continuerons à aimer. Que Hollande le sache, que Valls le sache, car nous l’affirmons haut et fort : les Nationalistes vivront ! Et si ça n’est plus demain à notre bannière que vous nous reconnaîtrez, vous nous reconnaîtrez car nous serons toujours là, derrière vous, anonymes, dans vos déplacements, dans vos représentations, et demain dans votre défaite. Vous valserez avant nous et selon les règles de votre propre système.
Dissoudre l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes ? Foutaise !
Une seule réponse claire et définitive : N-O-N !
Dissolution ? NON !
Alexandre Gabriac
Président des Jeunesses Nationalistes
Yvan Benedetti
Président de l’Œuvre française, envers et contre tout
Vive les Blancs.
Oui vive la France aux français !!!!! Il y a trop d’injustices à notre égard !!!!! La Révolution mais quand ? Depuis plus de 30 ans on a de cesse de voter des lois liberticides, des lois en faveur des étrangers !!! Qui va être le meneur ? Car il faut un chef ?