Aujourd’hui quand on pense aux féministes, on fait le lien avec des Femen ou des cheveux bleus ou encore des pro avortements mais si le féminisme a vu le jour, c’est qu’il y avait de réelles injustices.
Tout a commencé à la fin du XVIIIe siècle, plus précisément en 1791 quand Olympe de Gouges réclame l’égalité entre hommes et femmes dans sa « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne » qui stipule dans son 1er article « La femme naît libre et demeure égale à l’homme en droits ». Mais son combat qui fait d’elle une des premières féministes n’a alors que peu d’impacts. Elle est même guillotinée deux ans plus tard.
Plus tard, dans le Code Civil napoléonien, on y voit écrit noir sur blanc que la femme est « mineure » et que « tout pouvoir de décision revient à l’époux ». A cette époque, la condition juridique de la femme est beaucoup plus contraignante qu’avant la Révolution. La femme mariée doit attendre le début du XXe siècle pour voir ses droits évoluer.
Le mouvement féministe commence à se structurer à la fin du XIXe siècle. A ce moment-là, les revendications sont principalement portées sur le droit de vote, l’éducation et les conditions de travail. Le mouvement souhaite aussi faire évoluer la place de la femme dans la « société patriarcale » en proposant des réformes sur la dépendance économique des épouses, les tâches ménagères et la répression morale différente.
Le féminisme s’est donc voulu défenseur de la femme dans notre société en pleine évolution où des inégalités entre les hommes et les femmes existaient encore dans les domaines professionnels, juridiques et civiques.
Le 21 avril 1944, les femmes obtiennent le droit de vote ; elles se rendent aux urnes pour la première fois l’année d’après, le 29 avril 1945.
Le 13 juillet 1965, les femmes peuvent exercer une profession et ouvrir un compte bancaire à leur nom.
Le 23 mars 2006 est votée une loi relative à l’égalité salariale entres les femmes et les hommes afin de supprimer les écarts de rémunération.
Le 6 août 2012 est redéfinie la loi sur le harcèlement sexuel qui renforce les sanctions et déploie de fortes mesures de prévention contre le harcèlement dans le monde professionnel.
Alors où en sommes-nous en 2023 ?
Il semble que nous assistons à une véritable guerre menée contre les hommes, contre la virilité. Nous l’avons vu dernièrement avec cette affiche du festival de la masculinité à Nantes où pas un seul vrai homme n’était représenté sur l’affiche.
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Simone de Beauvoir ne voulait pas tant la libération de la femme.
Elle voulait qu’elles se libèrent de leur essence féminine vue comme une aliénation, que les femmes se libèrent d’être femme.
Et aujourd’hui, on ne reconnaît même plus l’essence, raison pour laquelle on demande aux hommes de se déconstruire.
La marche infernale.
La vraie question, dans ce cas comme dans tant d’autres, n’est pas tant de savoir qui a moralement tort ou raisons, mais d’étudier à partir de quel rapport de force l’un progresse dans l’opinion publique alors que l’autre recule au point d’en être réduit à mener un combat d’arrière garde.
Certains gagnent les faveurs de l’opinion et imposent leurs lois… D’autres, les tenants de l’ordre naturel, ne peuvent que constater l’étendue de leur défaite, et la seule question est : POURQUOI ?
Mais oui : Pourquoi ? Quelles armes idéologiques ont-elles été employées contre nous, auxquelles nous n’avons pas su répondre ? Et pas su répondre, parce que nous n’avons pas su les identifier et mesurer leur nuisance !
Qu’on m’excuse de me référer une fois de plus à l’un des plus fins observateurs de notre société, auteur des vingt livres constituant son étude de la « Comédie humaine », Emile Zola : « L’EGALITE N’EXISTE PAS ! UNE SOCIETE QU’ON BASERAIT SUR ELLE NE SAURAIT VIVRE. »
Le mythe égalitaire est en effet l’élément de désintégration par excellence utilisé par les inspirateurs des révolutions les plus meurtrières. Celui qui a jeté les hommes contre les hommes, qu’il soit inspiré par Rousseau ou par Marx. Celui qui jette les races contre les races… Les générations contre les générations… Et celui fait exploser aujourd’hui l’ultime cellule de la société qui résistait encore : la famille.
Nous n’avons pas à nous justifier par apport à des critères prétendument moraux imposés par nos adversaires. Le seul critère moral conforme à la nature est le RESPECT DES DIFFERENCES.
Car, qu’on fantasme ou non sur le mythe égalitaire, les différences entre espèces, entre races, entre sexes, tant au plan biologique qu’au plan mental, lequel est conditionné lui-même par la biologie, s’imposent et s’imposeront toujours.
D’où il découle que le fantasme égalitaire est une violente agression contre ce qui distingue la femme de l’homme.
Et c’est pourquoi le prétendu féminisme revendiquant l’égalité est un insulte à la féminité telle qu’elle fut te tous temps honorée en occident civilisé.
Ho la la ! J’ai tendance à écrire trop vite et à multiplier les étourderies… Au point que la rédaction de « Jeune Nation » va finir par m’envoyer au fond de la classe avec un bonnet d’âne ! A moins qu’elle ne me censure définitivement …
La citation concernant l’égalité, que vous pouvez lire plus haut, est assurément d’Emile Zola, mais le « Docteur Pascal » est le 20ème volume de la série des « Rougon-Macquart ». Livre passionnant pour nous autres, identitaires, car il donne la clef de l’oeuvre principale d’Emile Zola qui se résume ainsi : « L’hérédité, voilà ce qui mène le monde » .
La « Comédie Humaine d’Honoré de Balzac », qui fut d’une génération antérieure à celle de Zola, n’a donc rien à voir avec mon propos.
Je vous prie d’accepter mes excuses.