L’islam, religion d’amour, de tolérance et de paix, allait trouver sa place petit à petit dans leur République. Des disciples qui, à en croire les professionnels de leur laïcité pensaient qu’ils étaient, pour « 99,9 %, viscéralement attachés à leur modèle laïque ». Et on allait vivre ensemble, dans l’harmonie la plus complète. Sauf que cela ne marche pas et ne marchera pas…
Dans les faits, leur fameuse laïcité recule, sous les coups de boutoir des revendications communautaristes musulmanes dans nos entreprises, nos écoles ou nos cantines, le droit des femmes régresse et la multiplication des voiles islamiques dans nos rues est de plus en plus vécue comme une agression contre nos valeurs.
Leur assimilation, qui avait permis d’accueillir des millions d’étrangers qui accepteraient nos règles, n’est plus de mise car, nous avons, à sa place, la construction d’un État dans l’État, par des militants qui pensent que les règles religieuses doivent s’imposer aux lois des hommes. Jusqu’à ce jour, les nouveaux venus n’agressaient pas les habitants du pays qui leur ouvrait les bras. Cela a changé, et chacun sait que, dans nos prisons, l’islam est la religion majoritaire, et qu’on parle d’environ 80 % de détenus musulmans.
Les assassinats musulmans se ressemblent et se succèdent. Magnanville quelques heures après Orlando, quelques semaines après Bruxelles, quelques mois après le Bataclan. Et leur patron de la Sécurité dite intérieure a annoncé à leur Assemblée anti-nationale que le pire était à venir. Bref, la France ressemble de plus en plus, tous les jours, à la femme battue d’un mari violent dont les coups risquent de devenir mortels.
Face à cela, deux solutions. Soit on considère le mariage entre la France et l’islam indissoluble, et on continue à nous enfumer avec l’islam de France et on parle d’État de droit pour justifier que des Abballa soient en liberté. Soit on fait du Valls, qui nous raconte qu’on n’a pas de chance, mais que nos enfants vont connaître une vingtaine d’années de terrorisme avant que les choses ne se calment… peut-être un jour. Et ils continuent à faire entrer de plus en plus de « migrants » musulmans en France.
Soit on applique le principe de précaution, on se sépare, pour éviter un drame, et on se partage les enfants :
– La France garde les siens, ceux qui considèrent la loi des hommes souveraine.
– L’islam emmène les siens, ceux qui militent pour la charia, dans un des cinquante-sept pays musulmans de la planète.
La séparation est alors définitive. Il n’y a plus d’islam en France ou de France, pour le plus grand bonheur des amoureux de la liberté, de la nation et des apostats arabo-musulmans. Dans une séparation actée, quand le mari violent refuse de partir, ce sont les forces de l’ordre qui interviennent.
À moins d’être résigné à ce que la France devienne musulmane, il n’y a pas d’autre solution. Plus elle tardera à être mise en place, plus le coût de cette séparation sera élevé, des deux côtés, alors Français non-reniés réveil-toi : soit prêt pour la révolution Nationale !
François Palaffittes